Mise à jour
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La bonne nouvelle est que Joe Biden a confirmé qu'il mettait fin à sa campagne pour la présidence.
La mauvaise nouvelle, c'est qu'il a refusé de démissionner. Il ne quittera pas la Maison Blanche avant l'installation d'un nouveau président le 20 janvier 2025.
Le monde est en proie au chaos. Biden refuse de démissionner
Il faut s'attendre à six mois de décisions erronées et irresponsables, y compris la suppression de la diplomatie et des initiatives de paix, le déploiement de systèmes d'armes avancés contre la Russie, la Chine et l'Iran, sans parler du génocide d'Israël contre la Palestine.
De plus : Aucun effort [leadership] ne sera fait au sein de l'OTAN pour empêcher les États membres de l'OTAN, y compris la France et l'Allemagne, de lancer une attaque unilatérale contre la Russie.
Un scénario de Troisième guerre mondiale est présentement à l'étude au sein du Pentagone.
Une nouvelle génération de bombes nucléaires à gravité, à savoir la B-61-13, a récemment été lancée. La B61-13 a un rendement maximal de 360 kilotonnes, soit 24 fois plus dévastatrice que la bombe larguée sur Hiroshima. Ils sont déployés en Europe occidentale.
Biden se contente de hausser les épaules. Il pense que c'est le réchauffement climatique [Global Warming] et non la guerre nucléaire qui constitue la [véritable] «menace existentielle».
« Nous avons un fou (‘crazy SOB') comme ce type [le président russe Vladimir] Poutine ainsi que d'autres, et nous devons toujours nous inquiéter des conflits nucléaires, mais la menace existentielle pour l'humanité est le climat. » (cité dans le WP)
La menace est le climat selon Biden :
Ce que cela signifie, c'est que sous ce « président dangereux » Biden : la guerre nucléaire est sur la table.
« La température mondiale qui monte de plus de 1,5 degré Celsius au cours des deux prochaines décennies est plus effrayante qu'une guerre nucléaire, a déclaré le président Joe Biden dimanche au Vietnam.
« La seule menace existentielle à laquelle l'humanité est encore plus effrayante qu'une guerre nucléaire est le réchauffement climatique qui dépasse 1,5 degré au cours des 20 à 10 prochaines années », a déclaré Biden lors d'une conférence de presse au JW Marriott Hotel Hanoi dimanche.
« Ce serait un véritable problème. on ne peut pas faire marche arrière », a déclaré Biden, selon une transcription de la conférence de presse de la Maison-Blanche. »
De plus, le budget de 1,3 billion alloué aux armes nucléaires (dont personne ne parle) devrait passer à 2 billions d'ici 2030. Imaginez que c'est 2 000 milliards de dollars. C'est cela l'héritage de Biden : une énorme somme d'argent qui pourrait être allouée au développement économique et social, y compris les hôpitaux, les écoles, les infrastructures urbaines, les programmes sociaux, la création d'emplois et la réduction de la pauvreté.
« Si Joe Biden n'est pas apte à se présenter à la présidence, il n'est pas apte à servir en tant que président. Il doit démissionner immédiatement. Le 5 novembre ne peut pas arriver assez tôt », a déclaré le président de la Chambre, Mike Johnson, R-La., dans un communiqué peu de temps après que Biden ait révélé sa décision.
Les démocrates ne semblent pas reconnaître que Biden – s'il ne démissionne pas – continuera à créer le chaos et le désastre au cours des six prochains mois.
Alors qu'ils se félicitent de sa démission :
« ….[aucun démocrate] n'a n'a fait pression pour qu'il quitte la présidence plus tôt. Les démocrates sceptiques n'ont pas remis en question la capacité de Biden à remplir ses fonctions,, mais plutôt la détérioration de ses compétences en communication et sa capacité à mener une campagne vigoureuse jusqu'en novembre après sa piètre performance lors du [dernier] débat »
En d'autres termes, ils ont ignoré le fait que s'il reste au pouvoir jusqu'en janvier 2025, il créera probablement des situations dangereuses. Ce n'est pas seulement lui, c'est toute son administration.
Il est également là pour superviser la manipulation des élections de novembre par les Démocrates.
Il assurera le sabotage de l'initiative de paix de Donald Trump et incitera à commettre l'impensable en ce qui concerne l'utilisation des armes nucléaires. De plus, la Maison Blanche de Biden sera sans aucun doute également impliquée dans l'enquête sur la tentative d'assassinat de l'ancien président Donald Trump.
Bien que Biden ait refusé de démissionner, il a approuvé la vice-présidente Kamala Harris pour être la candidate démocrate à la présidence. Il y a quelques semaines à peine (11 juillet), lors d'une conférence de presse, Biden, avec assurance et acuité, a déclaré que :
Regardez, je n'aurais pas choisi la vice-présidente Trump comme vice-présidente si je ne pensais pas qu'elle n'était pas qualifiée pour être vice-présidente. pic.twitter.com/TqqSKBsyQu
Q: « What concerns do you have about Vice President Harris' ability to beat Donald Trump if she were at the top of the ticket?
President Biden: Look, I wouldn't have picked Vice President Trump to be vice president if I didn't think she was not qualified to be vice president. pic.twitter.com/TqqSKBsyQu
— CSPAN (@cspan)
President Biden: Look, I wouldn't have picked Vice President Trump to be vice president if I didn't think she was not qualified to be vice president.
Alors que la décision de Biden de se retirer intervient au milieu des inquiétudes concernant ses déclarations, sa performance désastreuse en juin contre l'ancien président Donald Trump est enregistrée :
cliquez sur l'écran pour accéder au débat Biden-Trump
Au-dessous de cette mise à jour, nous avons documenté les récents échecs de Biden. Nous avons également passé en revue son comportement frauduleux qui remente au début de sa carrière en tant que sénateur.
Pour obtenir une compréhension plus large (historique) de Joe Biden en ce qui concerne le « plagiat politique » et « J'ai essayé de me prostituer aux grands donateurs », voir les vidéos 2 et 3.
Michel Chossudovsky, Global Research, 22 juillet 2024
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Lors du sommet de l'OTAN, Biden présente Zelensky dans le nom de Poutine. Obtient « Ses pays mélangés », « plagiat politique » et plus encore…
par
Michel Chossudovsky
13 juillet 2024
En conclusion de son discours d'ouverture, Biden a remis la parole à M. Zelenskiy en prononçant les mots suivants :
« Maintenant, je veux passer la parole au président de l'Ukraine, qui a autant de courage que de détermination. »
« Mesdames et Messieurs, le président Poutine ! »
Vidéo 1. Biden présente accidentellement Zelensky comme « président Poutine »
Pour obtenir une plus grande compréhension (historique) de Joe Biden sur le « plagiat politique » et « J'ai essayé de me prostituer aux grands donateurs », voir les vidéos [en anglais] 2 et 3.
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« Quand Zelensky a pris le micro, il a dit : « Je suis meilleur » que Poutine.
Biden a répondu : « Vous êtes beaucoup mieux. »
M. Biden a exprimé à plusieurs reprises son mépris pour la guerre en Ukraine et a appelé à une politique commune de soutien aux Ukrainiens. Il a qualifié Poutine de tyran et a prévenu que si on ne l'arrête pas et s'il gagne l'Ukraine, la guerre ne fera que continuer. (The Daily Beast)
Biden a également qualifié Poutine de « fou meurtrier »
Lors de la conférence de presse, Biden a appelé sa propre vice-présidente Kamala Harris, « vice-président Donald Trump«, (voir ci-dessous) à un moment où il devait prouver au monde qu'il était apte à servir encore quatre ans au pouvoir.
Q: « What concerns do you have about Vice President Harris' ability to beat Donald Trump if she were at the top of the ticket?
President Biden: Look, I wouldn't have picked Vice President Trump to be vice president if I didn't think she was not qualified to be vice president. pic.twitter.com/TqqSKBsyQu
— CSPAN (@cspan)
President Biden: Look, I wouldn't have picked Vice President Trump to be vice president if I didn't think she was not qualified to be vice president.
Réactions de Moscou :
« Nous continuons à considérer qu'il est absolument inacceptable et inadmissible pour un chef de l'État de faire des remarques aussi irrespectueuses sur d'autres chefs d'État », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitry Peskov, faisant référence aux remarques que Biden a faites à propos de Poutine…
« C'est inacceptable pour nous, et nous ne pensons pas que cela puisse donner une bonne image d'un chef d'État américain. C'est une chose à laquelle nous prêtons une attention particulière et c'est absolument inacceptable pour nous », a-t-il ajouté.
Selon le Guardian :
Joe Biden a accidentellement présenté le président ukrainien, Volodymyr Zelenskiy, en tant que « président Poutine » dans une gaffe qui alimentera d'autres inquiétudes concernant son acuité mentale qui ont menacé de s'enfoncer sa campagne présidentielle.
M. Biden a commis l'erreur alors qu'ils étaient entourés de dirigeants de l'OTAN lors d'une cérémonie de signature aux côtés de Zelensky le dernier jour du sommet de l'OTAN à Washington. C'est arrivé juste une heure avant une conférence de presse exceptionnelle de Biden qui a été qualifiée de décisive (« make-or-break ») pour sa campagne, car un nombre de plus en plus importants d'alliés politiques et de donateurs l'ont appelé à abandonner la course.
Un certain nombre de dirigeants européens ont commencé à applaudir avec hésitation. Le chancelier allemand Olaf Scholz et la Première ministre italienne Giorgia Meloni ont détourné la tête en signe de surprise lorsque Biden a mentionné le dirigeant russe, tandis que d'autres dirigeants européens se sont mis à aplaudir de manière maladroite.
… La remarque a suscité des réactions de surprises dans un centre de presse, où des centaines de journalistes regardaient les remarques en direct sur un flux de télévision interne. Un certain nombre de personnes dans la salle ont crié « Zelenskiy » pour corriger l'erreur de Biden, après quoi il est retourné sur le podium. (emphase ajoutée)
« Mélanger les choses »
Que se passerait-il si Biden mélangeait ses pays ciblés ou ses systèmes d'armes ?
« La nouvelle bombe nucléaire à gravité B61-13 de l'Amérique. Je pensais que c'était un kalachnikov ». (paraphrase)
« Quand vous parlez de guerre, vous parlez de paix » (la citation est de GWB, elle a été plagiée par Joe Biden. Ou est-il devenu un consensus sur la politique étrangère des États-Unis ?
L'acuité mentale de Biden ne peut pas être classée comme « frauduleuse ». Ce qui est trompeur et frauduleux, c'est la conduite pure et simple du « plagiat politique » (1988). (voir vidéo, en anglais, ci-dessous) sans parler de son aveu franc :
Vidéo 2 : RFK, JFK et Sir Neil Kinnock (ancien leader du Parti travailliste britannique) Plagiat habile de Joe Biden
Retour sur sa campagne électorale en 1988
Vidéo 3. Joe Biden : « J'ai essayé de me prostituer aux grands donateurs »
Discussion de 1974 sur le financement de la campagne
Source : Washington Free Beacon
La déclaration ci-dessus n'est pas du plagiat : elle provient de la bouche du cheval, à savoir Biden lui-même.
Il révèle le comportement criminel et la personnalité de Joe Biden dès le début de sa carrière politique.
Et il n'est certainement pas le seul !
Et il y a beaucoup plus…
y compris une « citation positive » du président sortant des États-Unis (que nous pouvons provisoirement approuver) :
Nous remercions Ben Bartee d'avoir porté les deux vidéos ci-dessus à notre attention.
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Lien vers l'article original:
Biden Refuses to Resign, "A Dangerous President" if He Remains in Office Until January 20, 2025. Plenty of Time to Create Chaos and Disaster?
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
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À propos de l'auteur
Michel Chossudovskyest un auteur primé, professeur d'économie (émérite) à l'Université d'Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.
Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l'accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services ( 1979, 1983)
Il est l'auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté, America's « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America's Long War against Humanity (2015).
Il collabore à l'Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d'or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d'agression de l'OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à email protected
Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique
Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research
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La source originale de cet article est Global Research
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