28/09/2024 reseauinternational.net  15min #257453

Pédocriminalité, une réalité

par Serge Charbonneau

Le 4 juillet 2023, sortait le film «Sound of Freedom» ou «Le son de la liberté».

Un film qui traite du trafic humain et surtout de l'exploitation sexuelle des enfants.

Le film fut présenté dans nos médias de masse comme étant un film soutenu par les médias conservateurs américains. C'est-à-dire ces gens qui penchent vers le très méchant, le raciste, le sexiste et diabolique Donald Trump.

Nos grands médias qui disent défendre «le bien» sous-entendent que cette production se base sur des théories «conspirationnistes». Ils y voient la marque de l'organisme dit «complotiste» QAnon. Cet organisme soutient qu'il y a une guerre larvée entre Donald Trump et des élites gouvernementaux identifiés comme étant un État profond ou Deep State. Une oligarchie qui contrôle les milieux financiers et les médias et qui commet des crimes pédophiles.

Voici quelques titres pour connaître comment le film fut présenté :

« Sound of Freedom Is a QAnon Fever Dream»

« Porté par les adeptes de QAnon, le film "Sound of Freedom" fait un carton»

« QAnon supporters are promoting 'Sound of Freedom»

« Sound of Freedom»: un film fétiche des adeptes de QAnon»

« Sound of Freedom va sortir en France après son immense succès auprès des complotistes américains»

Pourquoi donc un tel acharnement contre ce film ?

Un film somme toute assez banal.  On l'a même qualifié de navet. Un film à la sauce classique des films américains. Le seul point fort de ce film c'est son sujet. Un sujet tabou. Un sujet «interdit» : le trafic sexuel des enfants.

De voir ce déchaînement de la presse et ce silence des politiciens vis-à-vis ce docudrame est très significatif. On constate que la production met le doigt sur un point hyper sensible : la pédophilie. Cette réaction politico-médiatique nous fait réaliser que les réseaux pédophiles ne sont pas dans la jungle colombienne comme nous le fait croire le navet Sound of freedom. Les pédophiles sont au pouvoir et contrôlent la presse et la politique.

Souvenons-nous aussi de Jeffrey Epstein.

Et n'oublions pas Ghyslaine Maxwell.

Comment est-ce possible que ce dossier IMPORTANT soit toujours balayé sous le tapis de l'hypocrisie ?

En décembre 2023 on disait : « Affaire Epstein : une juge ordonne de dévoiler 180 noms liés au défunt criminel »

Le 4 janvier 2024, partout on disait : « Les documents sur Jeffrey Epstein sont rendus publics»

Ce fut un gros pétard mouillé. Beaucoup de noms, aucune enquête, aucune arrestation, aucun suivi. La super liste de noms ne nous a pas sortis de la jungle colombienne du fameux «son de la liberté» !

Aucun politicien n'a été importuné. Ce serait donc tous des anges comme ce bon Bill Clinton qui passait  des cigares à ses stagiaires..

Le rapport de Kenneth Starr page 1317 :

« Monica Lewinsky a raconté» (p. 1317 du fameux rapport Starr) comment «il [Bill Clinton] a mâchonné le cigare, puis l'a pris en main et l'a regardée avec un air cochon. Elle ajoute : j'ai regardé le cigare, nos regards se sont croisés et je lui ai dit, on peut faire ça aussi, si vous voulez.»

 Mlle Lewinsky a offert des caresses buccales au Président à neuf occasions.

Durant toutes ces occasions, le Président a caressé et embrassé ses seins nus. Il a touché ses parties génitales (à elle), à la fois à travers ses sous-vêtements et directement, amenant (la jeune femme) à l'orgasme à deux occasions. À une occasion, le Président a inséré un cigare dans son vagin. À une autre occasion, elle et le Président ont eu un contact de parties génitales à parties génitales.

Généralement, les scandales sexuels sont un arrêt de mort pour la vie publique d'un politicien ou d'une personnalité. Ce ne fut pas le cas de Bill.

Il a poursuivi ses conférences et a accumulé des millions tellement sa popularité s'est maintenue !

« Le couple Clinton a gagné 25 millions de dollars pour des discours»

Nous sommes en droit de nous demander si Hilary a pu aussi profiter du même cigare que celui utilisé en ce 7 janvier 1996.

Ce cigare devenu avec la robe bleue tachée de sperme et les cassettes enregistrées de conversations salaces une des pièces à conviction brandies  le 11 septembre 1998 par Kenneth Starr pour prouver que le chef de l'État avait menti quand il avait affirmé sous serment qu'il n'avait jamais eu de «relations sexuelles» avec Monica.

Ce rappel du croustillant rapport de Kenneth Starr sert à démontrer que la morale est bien élastique. Et ceux qui contrôlent l'élasticité de la morale sont nos bons journalistes convertis à la propagande et au maintien de la l'image morale de leurs patrons qui les nourrit.

Nos dirigeants sont en bonne partie des pervers et de fieffés menteurs. Nous sommes gouvernés par des adeptes du sexe et des pédocriminels. La pédocriminalité est une réalité que l'on nous cache.

Jeffrey Epstein ne s'est pas suicidé. Les manipulateurs de l'opinion publique nous prennent pour des imbéciles. Tout le récit de ce supposé suicide repose sur des invraisemblances criantes. Et il est même possible que le corps présenté comme étant celui de Jeffrey Epstein ne soit pas Jeffrey Epstein.

Il est très probable que Jeffrey Epstein avait des documents visuels montrant les travers sexuels de plusieurs grands personnages. Il est très probable que ces documents ont été mis en sécurité par Epstein. Des documents qui pouvaient être livrés au public au cas où un malheur arriverait à Jeffrey !

Oui, nous basculons dans de la théorie complotiste, mais si on observe l'inertie de la réalité face à ce dossier Epstein, force est de constater que cette théorie tient la route.

RIEN ABSOLUMENT RIEN N'EST SORTI POUR CONDAMNER QUI QUE CE SOIT DES ÉLITES QUI NOUS DIRIGENT.

Il faut aussi considérer ce mouvement indéniable qui cherche à «normaliser» la pédophilie. Le mouvement mondial pour aiguiller les enfants vers «les joies du sexe» s'installe de plus en plus partout en occident. Les manuels scolaires sont clairs. Dès 5 ans, on oriente les enfants vers le sexe.

 Le site québécois Alloprof qui dit être un organisme de bienfaisance pour aider la réussite scolaire est très explicite dans leur mission pour orienter les enfants vers le sexe :

« Éducation à la sexualité : quelques conseils pour les nouveaux enseignants»

Utilisation du langage et du vocabulaire

Lorsque vous parlez de sexualité avec vos élèves, il est important d'utiliser la vraie terminologie. Par exemple, dites «vulve» au lieu de «noune» et «fellation» au lieu de «pipe».

Hétéronormativité

Dans les conversations liées à la sexualité, l'hétérosexualité est souvent implicitement supposée. Les termes tels que «chum», «blonde», «homme» et «femme» font partie des discours prédominants. Utilisez des termes plus neutres sur le plan du genre, tels que «partenaire» ou «personne».

Le problème avec ce type de langage «chum», «blonde», «homme» et «femme» réside dans le fait que les élèves qui ne s'identifient pas comme «cisgenres» ou hétérosexuels peuvent se sentir exclus si leur réalité n'est pas prise en compte dans la discussion.

Avertissements : aborder la sensibilité

Parler de sexualité peut parfois se traduire par du bavardage et des rires en classe. Ce genre de comportement est très commun, surtout chez les groupes d'élèves plus jeunes. Certains sujets sont plus susceptibles de susciter plus de rires (de gêne) que d'autres, comme la masturbation, les jouets sexuels, et parfois même l'homosexualité.

Pour éviter de perdre le contrôle, rassurez-les en leur mentionnant que les discussions liées à la sexualité sont souvent taboues et qu'il est tout à fait naturel de ressentir de l'inconfort à certains moments lorsqu'on aborde ce sujet.

Depuis septembre 2024, un nouveau programme « d'Éducation à la sexualité » est mis en place dans les écoles québécoises.

Ce programme se donne la mission «d'éduquer sexuellement» les enfants dès la maternelle !

Oui, dès la maternelle !

Le ministère de l'Éducation du Québec dit :

«L'éducation à la sexualité dans les classes d'éducation préscolaire permet aux élèves de mieux connaître et « apprécier» leur corps.

Y a-t-il vraiment un besoin chez les enfants du primaire pour ainsi les «éduquer sexuellement» ???

N'était-ce pas plutôt un besoin adulte visant à satisfaire une nouvelle idéologie ?

Et j'oserais même dire :

N'était-ce pas plutôt un besoin adulte visant à satisfaire une perversité ?

D'où vient cet engouement occidental pour éduquer sexuellement, très tôt, les jeunes enfants ?

L'enfant a-t-il besoin de connaître rapidement «les joies» du sexe ?

Le plaisir de la masturbation ?

La satisfaction de la fellation ?

Les multiples pénétrations ?

L'organisme « Aider son enfant » nous fait «comprendre» le programme d'éducation à la sexualité de nos enfants au primaire

On nous fait comprendre pourquoi leur parler de masturbation !

On nous précise pourquoi leur expliquer l'alphabet LGBTQ+

On nous informe que la sexualité de nos enfants se développe dès la naissance.

Les enfants du primaire manifestent des comportements sexualisés tout au long de leur parcours. Donc l'éducation à la sexualité commence très tôt dans l'enfance et doit être le fruit d'une collaboration entre l'école et la famille.

Une collaboration ? Vraiment ?

Nous avons tous été enfants. Qui donc a ressenti un manque d'éducation sexuelle lors de son enfance ?

Nous avons tous fait l'apprentissage du sexe à notre vitesse et à notre degré.

Plusieurs d'entre nous ont profité d'une trousse de docteur comme prétexte à la découverte sexuelle. Nous avons découvert les mystères et les plaisirs du sexe avec les voisins-es, les cousins-es, les amis-es.

Nous avons joué aux docteurs et à travers ce jeu passionnant nous avons fait la découverte de nos corps, et ce, à notre rythme. Avec nos mots d'enfants nous savions ce qu'était le pipi ou la pitoune ou encore la noune ou peu importe le mot utilisé.

Chacun, chacune, au moment personnel où nous en étions rendus, nous avons découvert que ce frottement du pipi ou de la pitoune nous donnait des sensations qui donnaient le goût de récidiver.

Moi, à mon époque (année 50-60), je sentais la menace du p'tit Jésus qui voyait tout et qui était partout. On me disait qu'il n'aimait pas ça qu'on se la touche. Au primaire, on m'amenait à l'église pour que j'aille confesser ce geste répréhensible. Je procurais sans doute des plaisirs inavouables au curé derrière sa grille de confessionnal. Et malgré tout ça, j'ai survécu sans aucun traumatisme. La découverte de la sexualité se faisait à mon rythme.

Et un fait presque incroyable : on ne m'a jamais dit à quoi sert un pénis et j'ai tout de même eu deux enfants !

Depuis toujours il y a une certaine catégorie d'adultes qui ont toujours voulu enseigner aux enfants à quoi sert un pénis ou une vulve et même un trou de fesse. Combien d'histoires infantiles sexuelles ont été vécues chez les louveteaux, les scouts ou dans les pensionnats et les sacristies ? À ce sujet je vous invite à visionner le film « Grâce à Dieu» (facilement disponible sur Netflix et autres plateformes).

La perversité pédocriminelle prévaut dans beaucoup de milieux. Le pouvoir, qu'il soit économique, politique ou religieux a son lot de pervers qui abusent de jeunes enfants ou d'adolescents-es. Il y a des milliers d'histoires d'abus que nous connaissons tous. Des camps de vacances aux services religieux en passant par les orphelinats. (Au Québec « Les orphelins de Duplessis», Les orphelins de Duplessis - Le documentaire ,  une tragique histoire qui n'en finit pas !

Aussi « les enfants autochtones»

«150 000 enfants autochtones arrachés à leur famille et à leur nation et placés dans des pensionnats, dont certains n'avaient que trois ans. Un vaste programme colonial visant à acculturer les nations autochtones. Un système visant à «tuer l'Indien dans l'enfant !»

On viole, on tue, on enterre !

« En mai 2021, des fouilles menées au moyen d'un radar à pénétration de sol mettent au jour les restes de 215 enfants inhumés dans des tombes anonymes.»

En juin 2021, au Canada,  1 184 corps d'enfants ont été découverts dans trois charniers.

Ce n'est que la pointe «connue» de l'iceberg ! Le trafic et les abus sexuels des enfants sont l'un des tabous, l'un des secrets le mieux gardés dans notre monde de la perversité hypocrite.

Plusieurs enquêtes ont mis à jour des atrocités vécues par des milliers d'enfants. DUTROUX, EPSTEIN, PUFF DADDY : KARL ZÉRO BALANCE ! .

Le film, « Les survivantes, à l'affiche au Québec à l'automne 2024, nous livre des témoignages troublants. Un film À VOIR.

Aux États-Unis, Mme Tara Lee Rodas, du département de la Santé et des Services humanitaires ( Department of Health and Human Services a alerté le Congrès américain concernant le trafic d'enfants. Elle accuse le gouvernement américain de complicité dans le trafic d'enfants. Elle explique comment les enfants sont amenés à la frontière puis transférés au ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), où ils sont mis en relation avec des «parrains». Souvent ces «parrains» sont impliqués dans des activités criminelles telles que le travail des enfants et le trafic sexuel.

Le gouvernement américain est au courant de ces activités criminelles, mais ne prend pas aucune mesure appropriée pour y mettre fin.

Mme Rodas était bénévole pour l'Operation Artemis mis en place par l'administration Biden Administration en 2021. Un plan pour endiguer le désastre humanitaire à la frontière Mexique - É.-U..

Elle dit :

«Je croyais que j'allais aider à placer les enfants dans des foyers aimants, mais au lieu de cela, j'ai découvert que les enfants étaient victimes d'un trafic via un réseau sophistiqué. Cela commence par leur recrutement dans leur pays d'origine, puis on les passe clandestinement à la frontière américaine pour ensuite les livrer à des «parrains» qui sont des criminels, des trafiquants et des membres de groupes transnationaux d'organisations criminelles.»

Un trafic humain qui rapporte des milliards de dollars !

Selon Mme Rodas, 85 000 enfants sont ainsi disparus. BREAKING NEWS: HHS Whistleblower Claims US Government Is 'Middleman' In Child Trafficking OperationBREAKING NEWS: HHS Whistleblower Claims US Government Is 'Middleman' In Child Trafficking Operation , devant le sous-comité de l'intégrité, de la sécurité et de l'application de la loi en matière d'immigration est important.

Malgré sa dénonciation,

RIEN N'A ÉTÉ ENTREPRIS POUR METTRE FIN À CET ODIEUX TRAFIC.

 En juillet 2024, plusieurs autres lanceurs d'alerte ont dénoncé ce trafic devant le Sénat américain.

À travers le monde, on peut trouver beaucoup d'histoires semblables. La pédocriminalité existe et est lucrative.

Parallèlement à ce sordide trafic infantile, le mouvement politique woke qui vise à normaliser les rapports sexuels avec les enfants, a le vent dans les voiles.

En 2018, une vaste campagne mondiale (occidentale) pour « l'Éducation complète à la sexualité» fut lancée. L'Organisation mondiale de la santé (l'OMS) dit que : les principes directeurs internationaux des Nations Unies préconisent de commencer l'ECS à l'âge de 5 ans.

 L'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (l'UNESCO) dit [33]:

«les ministres peuvent :

travailler conjointement, s'agissant par exemple des secteurs de l'éducation et de la santé, à l'élaboration d'un agenda commun pour les jeunes ;

réexaminer d'urgence, etmodifier si nécessaire, les lois et politiques existantes afin de promouvoir un accès indépendant à l'ECS (Éducation Complète à la Sexualité ;

mettre en place et généraliser une ECS adaptée à l'âge, dès l'école primaire et pour toute la durée de l'enseignement formel.»

La volonté de pousser très tôt les enfants vers le sexe est notable.

On nous impose cet enseignement sexuel précoce, on le normalise dans nos écoles du primaire et même à la maternelle.

Pourquoi donc nos gouvernements occidentaux disent-ils qu'il faut former sexuellement les enfants au plus tôt ?

Quels sont les véritables objectifs de ce mouvement mondialiste «woke» ?

Dans un prochain article, je vous livre quelques documents utilisés dans nos écoles pour «éduquer sexuellement» nos enfants.

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