par Gilbert Guingant
Des personnages qui n'écoutent jamais sinon, pour saisir au vol, n'importe quel mot, et vont vous le retourner en hors de propos. Nous quittons, là, la connaissance, pour chuter dans le seul reconnaitre, le déchiffrer. Ce qui ne reste que dans la superficie extérieure des réalités. Et ne va jamais plus loin. Alors que vous êtes dans le fond des choses, le fond qui nous fait découvrir les fondations de tout, ils barbottent dans la forme, forme mise là pour détecter les imposteurs, les fausses semblances ! Aussi, et, au sens fort, ces «dirigeants» (sic) ne... savent rien. Ce sont des ignorants, congelés dans leurs morgues mortes, qui vous ignorent et vous dédaignent désastreusement. Actuellement, pour des raisons indéfendables, ces incompétences 1ères dominent le monde des apparences (soit les affreux mensonges médiatiques !)...
L'heure de leurs déconfitures est arrivée !
Saisis dans leurs postures qui agrippent maladroitement, qui griffent ridiculement le vernis extérieur, ils ne saisissent plus rien. Aucunes préhensions des com préhensions. Les preuves sont en train de se dérouler.
Ces psychorigides se sont tellement bétonnés, à l'intérieur, qu'ils «n'entendent» plus que leur propre monologue insonorisé. Donc plus la moindre «information fiable» ne vient d'eux. Ils ne savent pas ce qu'est un raisonnement et ne peuvent rien nous expliquer. Ceux qui les suivent vont s'égarer. C'est bien ce qui se passe depuis plus de 7 ans en France ? Ces psychorigides/atteints de rigidités mentales sont bien en train de nous détruire ? Ces dangers «publics» qui osent se prétendre défenseurs de la République, alors qu'ils sont les exacts «extrémistes» de sa destruction par le vice. Leur... solitude mentale effroyable n'extériorise que leur monde «ultra simplifié», avec un langage bébé inaudible, qui ne contient absolument rien de sérieux. Aussi ? Soit, vous entrez dans leurs balbutiements sans pensée (et à la virgule ultra maniaque près !), soit vous êtes un terroriste déviant ne méritant pas d'être... entendu. Vous vous imaginez, ici, un génie au milieu de cette gadoue mouvante ? Vous qui ne quittez pas la ligne droite de la raison pratique vous voici diffamé par ces tordus, ces sinueux, ceux qui dévient et dérivent, dévient toujours plus ? Puisque - par effets de rond dans l'eau - vous ne méritez pas, non plus, de vivre, version monstres sionistes. De tels Fanatismes des sommets se sont rarement rencontrés dans l'Histoire !!! Les faux pouvoirs actuels : une forêt de psychorigides leur est nécessaire pour continuer.
1. Valence en Espagne
Que voilà une brève caricature de ces... désaxés (ayant perdu l'axe de l'équilibre mental !) ! C'est qu'ils sont dans le «moment» (sens de Hegel) où se durcit toujours plus leur enveloppe mortuaire de... statues de pierre. Un exemple extrêmement dramatique va rendre incachables leurs déchéances sociétales : il s'agit de la mortelle inondation (évitable) de Valence au Sud de l'Espagne du 29 Octobre. Ce n'est pas «de n'avoir pas été avertis» qui a surmultiplié la mortalité. Mais de tout ce qui a précédé. C'est-à-dire tout l'entassement, année après année, du fait que des dirigeants psychorigides n'aient jamais rien écouté, ni retenu, ni compris des inondations passées. Et que le poids des stupidités des sommets pourrait peser jusqu'à 90% dans les causalités directes.
«Ne nous reste plus qu'à nous adapter, ce qui est tout à fait possible, car cela ne nécessite pas d'accords internationaux. En Espagne, on pourrait contrôler les inondations grâce à... un reboisement massif des montagnes et à des systèmes de captage de l'eau à la source, en construisant des microcanaux sur ces pentes.
Ces derniers représenteraient des... freins à l'arrivée de l'eau et, en même temps, permettraient de restituer progressivement l'eau aux rivières et marais. C'est non seulement possible, mais ce serait peu coûteux et générateur de nombreux emplois» (The Conversation. com)
2. Plus généralement le très urgent à faire contre les inondations ?
Poursuivez la lecture vous allez capter... Nous voici au temps où il existait de vrais débats, soit sans inexcusables... censures et autres barrages puérils. Ayant assisté, voire initié, à un paquet de débats, un argument m'a marqué, à vie, la tête-cœur... «Mais vous avez tout fait pour obtenir de parfaits... toboggans qui accélèrent les eaux en furie. Vous êtes inexcusables !» Cet homme s'adressait à des «responsables» politiques, administratifs ou de grandes sociétés. Responsables, que du vent alors ?
Sa phrase s'appuie sur un nombre de crimes «contre le bon sens», s'accumulant depuis trop d'années. Et le désespoir de cet homme surgit de tant de stupidité réjouie de ceux qui ne méritent pas de rester aux «responsabilités» !
Qu'est ce qui fait d'un fleuve «naturel» (qui construit sa propre forme avant les interventions de malades des si peu humains !) un si dangereux toboggan ? Sinon d'avoir raboté, arasé, nivelé, bref détruit toutes ses rives et ses après-berges !!!
L'œuvre donc de véridiques voyous, de «casseurs» enragés des dits sommets. Qu'il faut écarter de toute décision... collective. Pourquoi est-ce un immense danger de «casser» les berges d'un fleuve, en aplanissant ses «virages», en coupant ses arbres, juste pour «cacher à la vue les racines pendantes» ?
Ainsi pourquoi couper tous les arbres des bords de fleuves («parce que ce n'est pas beau sur la photo ?») ? Alors que la nature les a mis là afin «d'éponger» tous les surplus brusques et ravageurs des eaux. Et que rien, non rien ne peut remplacer cette «ingénierie de l'intelligence» des haies ; lorsque les entrelacements de fines racines font réseau. Et que ces négligées haies vous enserrent de leurs fermes bras tant d'eaux. Et de vents furieux aussi si nous pensons aux nœuds serrés de leurs bronchioles branchiales. Tout un chef d'œuvre saccagé par des barbares obsédés que d'argent fou et de réputations stipendiées !
Puisque, après les bords de fleuve, vous avez tous les entrelacs de futées futaies, des haies et tant de quadrillages intelligents qui «retiennent» la terre. Et ne vont pas la laisser se gaspiller dans le tumulte des ruissellements perdus à jamais. Alors l'agencement de haies pluriséculaires arasé pour l'œil archi crétin de ces bureaucrates plus qu'inconscients. Ou bien ces automobilistes tarés avec leurs commentaires : «ces vieilleries accrochées aux bords de rivières ou ces nids à poussière qui obstruent la vue», tout ça c'est de la «merde» faut tout... raser, peler, tuer, massacrer. Alors que la nature avait «inventé» ces parfaites parades pour nous... protéger des furies des flots. Et que, privés de tant et tant de ces intelligentes protections, nous nous faisons massacrer - le tout étant évitable en laissant la nature faire ! ; évitable aussi si, nous les humains, n'obéissons plus à ces grossiers tas d'incompétents. Qu'ils obéissent, eux, à ceux qui savent - ça va faire quasi plus d'un demi-siècle que ces fous malades n'obéissent plus à ceux qui savent. Voyez-les faire de la nature sacrée une «photo sur papier glacé». Et qu'ils te massacrent tout ce qui «gêne» la photo. Cela «gêne» les arbres et leurs racines-éponges salvatrices - on «coupe» ! Voici que nous subissons ces égarés psychorigides qui se croient «maitres de tout», ayant tous les droits sur tout. Or, pour ces désaxés : être «maitres de tout» se prouve, chez eux, en cassant tout, en dévastant, en détruisant tout. Ces barbaries sont évitables dans les... évitables... inondations - suffit de faire savoir l'étendue maléfique de leurs incompétences. Qu'y pouvons-nous, geignez-vous ? Déjà voir les réalités comme elles sont. Des inondations amplifiées car tout est raboté «pour la vue» c'est eux, toujours eux, qui sont... derrière ces horreurs. La nature serait l'esclave inerte de leurs lubies ; nous serions des touristes à vie ne prenant de précautions nulle part. Et ne quittant plus la nursery sans futur de la société dite de consommation. Celle qui ne peut que tuer la nature. Regardez-les jeter par-dessus leurs épaules, avec indifférence, des morceaux de nature comme si c'était des déchets !!!
La nature a bien une «stratégie» complète et complexe, où tout est intriqué, solidarisé, agrégé, où le mot gigantesque est bien que tout est «Régulé», où chaque élément (aussi important que les autres du fait de sa nécessité pour l'ensemble !) concourt et court pour le bien du grand tout. Nous avons commencé à vous conter ces «merveilles de la nature». Au point que jamais aucun argent hébété pourra... les acheter. Vu qu'elle se donnent, s'offrent, se font gratuites. Et que nous ont assez prouvé n'être que des irresponsables qui osent encore être là ? Puisqu'un fois qu'ils auront été... virés - nous pourrons tout reconstruire. Le PLAN de la nature est là, il n'y a qu'à lui obéir avec joie. Tous regardant le même horizon ? Que la nature doit être «en vrai» protégée et pas trop les intérêts indignes de la lie des ultras avares capitalistes (les déjà «finis» !)... Oui, tant que ces psychorigides seront là, la nature ne pourra pas être protégée. Ces ignares vandales doivent être empêchés de... nuire. Et, dès leur départ, «tout sera remis en place», et rétablis les virages nécessaires au fleuve, redressés les arbres honorés, les haies congratulées et la biomasse respectée. Les racines spongieuses des arbres pendront en douceur. Si retrouvée, dans le même temps, «l'intelligence» des haies ; lorsque les entrelacements de fines racines font réseaux serrés. Et que ces négligées haies vous enserrent de leurs fermes bras tant d'eaux. Et de vents furieux, aussi, si nous pensons aux nœuds étroits de leurs bronchioles branchiales. Les dessous des sols nous demeurent invisibles, ils sont pourtant... vitaux ! C'est comme cela que tout ceci fonctionne. Et on s'en fout des photos à la con si elles conduisent aux destructions de la vie. Nous voulons la vraie vie non la consumation des infantiles !
La nature sait «gérer» sa structure et à la... perfection. Elle a même prévu comment résister au mieux aux inondations ! Vu que, chez elle pas de déchet, rien n'y est expulsé, jeté, toute chose est donc infiniment respectée. Ce qui souligne sa tranquille supériorité par rapport aux superficiels humains. Dans la nature «tout est à sa place». Arbres éponges en cas d'inondations afin de «répartir» les chocs, plus précisément de «laisser au temps», la possibilité de résorber au maximum intelligemment. Ne faire que «déplorer» les résultats de leurs barbaries alors que ce sont EUX qui ont transformé une «simple» inondation en «catastrophe sur luge incontrôlable» - là, c'est carrément obscène, c'est la pornographie des immoralités. Cela souligne le... vous devez... partir...
S'y ajoute le fait indéfendable que vous aviez préféré vous empêtrez dans votre égoïsme personnel qu'entrer dans la compréhension «collective» des choses. Comme de n'être sempiternellement vus que vous tous seuls et personne d'autre : ce qui vous enlève toute circonstance «atténuante» !
3. Face aux catastrophes majeures il ne se voit que le peuple autoorganisé ?
Valence le jour d'après ? Les garages souterrains restent sous l'eau, il faut des plongeurs pour retrouver les «disparus». Non pas de stars, pas de «responsables» ; ils ne parleraient que d'eux seuls ! Mais que ces braves gens qui parcourent des kilomètres et des kilomètres, venant des alentours à pied. Les bras chargés d'aides matérielles. Le matin, des gamins nettoyaient, avec peu d'outils, les voies publiques. Les tee-shirts bourbeux, les godasses empaquetés de boue durcie, les bas de pantalons ruisselants encore. Les journalistes ne tendent les micros qu'aux petites gens, il n'y a personne d'autre. C'est que, dès que «cela va mal», disparaissent les bourgeois, donc si honteux d'eux-mêmes. Trop mal dans leurs peaux ! Les informations leur viennent directement des hommes de terrains présents... Ici, le peuple vient réparer sans que personne ne soit venu les chercher. Les compassions leurs sortent naturellement de leurs vies. Sans un mot superflu. Aucun intérêt personnel ne les pousse. Que le don naturel de «faire société», la vraie !
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Tout savoir sur les psychorigides ?
Celles et ceux qui dominent actuellement. Or ils sont ceux qui refusent de vivre en direct, d'aller vérifier par eux-mêmes les comportements et les discours. Jusqu'à l'aberration de crâner sottement dans des «je refuse de lire (ou d'écouter) pour savoir vraiment».
Bon, punissez-vous vous-mêmes, fripouilles de..., mais, de grâce, ne punissez pas les autres. Sans leurs consentements.
Puisque - le vrai désastre qu'apportent vos immobilismes, vos découragements de pacotilles, de vos non participations insensées à la vie sociale collective - est que tout soit bloqué, figé. Vus que vos entêtements sans têtes bouchent, suicidairement, tous les accès au futur.
Oui que, de votre méfait fait, tout soit bloqué, figé.
Vus que vos entêtements sans têtes bouchent, suicidairement, tous les accès au futur !
Phénomène similaire : l'insouciance effroyable face à l'autosuffisance alimentaire !
source : Imagiter