Francesca Albanese a exhorté jeudi à Genève les entreprises à mettre fin à leurs relations avec Israël pour arrêter "l'économie du génocide"
- "Il s'agit d'un des génocides les plus cruels de l'histoire moderne." a souligné la rapporteure spéciale des Nations pendant une conférence de presse au siège de l'ONU
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Communiqué commun
Un mois après l'ouverture du Salon du Bourget, Gaza, Soudan, Russie : le commerce de la mort se poursuit. Nous irons jusqu'à la Cour de cassation.
Suite à nos mobilisations et à nos recours juridiques collectifs, le gouvernement a ordonné de recouvrir de draps noirs les stands d'exposition de certaines entreprises israéliennes au Salon du Bourget.
Des travailleurs de la technologie et des partisans de la Palestine se rassemblent devant les Nations Unies pour dénoncer le rôle des entreprises technologiques dans le soutien au génocide israélien à Gaza.
Cela survient après que la rapporteuse spéciale de l'ONU, Francesca Albanese, a révélé dans un nouveau rapport que plus de 48 entreprises mondiales profitent du gén
Daniele Perra
È stato pubblicato dall'ONU il rapporto "From economy of occupation to economy of genocide", firmato dall'inviata Francesca Albanese, che descrive la particolare connessione tra diversi settori del mondo imprenditoriale multinazionale e le politiche coloniali israeliane. Qui si cercherà di analizzarlo nel dettaglio.
L'inviata ONU Francesca Albanese da tempo si occupa della situazione dei diritti umani nei Territori Occupati e nella Striscia di Gaza.
Par Jonathan Ofir
Un nouveau rapport de la rapporteuse spéciale de l'ONU Francesca Albanese dévoile le nom des entités qui tirent profit du génocide perpétré par Israël à Gaza.
La Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967, Francesca Albanese, a publié le 30 juin un rapport fondateur intitulé « De l'économie de l'occupation à l'économie du génocide ».
Le Rapporteur spécial des Nations Unies a nommé 61 multinationales qui contribuent directement à l'occupation, à l'apartheid et à l'offensive militaire israélienne contre Gaza et en tirent profit. Nombre d'entre elles fournissent des armes, des systèmes de surveillance, des équipements et un soutien financier.
« Sans surprise, des députés et des Lords britanniques détiennent des actions ou des fonctions rémunérées dans plusieurs de ces entreprises, et nombre d'entre eux ont voté contre un cessez-le-feu à Gaza, tout en profitant personnellement des violences en cours », soulignent les militants britanniques
Photo extraite de cet article publié en Espagne (ElPais), intitulé « Francesca Albanese, relatora de la ONU para los territorios palestinos ocupados: 'Israel comete crímenes como respira. Hay que pararlo' «
(El Pais, édition du 26 juin 2025).
Par Nicolas Boeglin
Le 3 juillet 2025, la rapporteuse spéciale des Nations Unies sur les droits du peuple palestinien, la juriste italienne Francesca Albanese, a présenté son rapport intitulé : « De l'économie de l'occupation à l'économie du génocide«.
Par Chris Hedges
Francesca Albanese, rapporteur spécial sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967, informe les journalistes au siège des Nations unies
On ne peut pas en dire plus sur l'ampleur inimaginable des ravages causés par le génocide à Gaza. Francesca Albanese, rapporteuse spéciale des Nations Unies sur les territoires palestiniens occupés, a suivi le génocide et rejoint Chris Hedges dans cet épisode de « The Chris Hedges Report » pour faire la lumière sur la situation actuelle à Gaza, notamment à travers des extraits de son prochain rapport sur les profiteurs du génocide.
Par Chris Hedges
La guerre c'est du business, et ainsi en va-t-il du génocide.
Le dernier rapport présenté par Francesca Albanese, rapporteuse spéciale sur les territoires palestiniens occupés, dresse la liste de 48 entreprises et institutions, dont Palantir Technologies Inc., Lockheed Martin, Alphabet Inc., Amazon, International Business Machine Corporation (IBM), Caterpillar Inc., Microsoft Corporation et le Massachusetts Institute of Technology (MIT), ainsi que des banques et des sociétés financières telles que Blackrock, des assureurs, des sociétés immobilières et des organisations caritatives, qui, en violation du droit international, tirent des milliards de dollars de l'occupation et du génocide des Palestiniens.