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Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.
La porte-parole de la diplomatie russe a souligné que les pays occidentaux ne remettaient plus en cause l'existence du missile stratégique «Bourévestnik». Cette reconnaissance tardive, selon elle, s'accompagne d'une vive inquiétude face aux capacités militaires avancées que la Russie est désormais en mesure de déployer.