
par Mike Borowski
Jérémie Mercier est un auteur français formé à l'ENS de Lyon et titulaire d'un doctorat en sciences. Il s'est orienté vers l'accompagnement en santé et le développement personnel, en proposant des programmes en ligne et en publiant plusieurs ouvrages. Dans «Quand les masques tombent - Je ne crois plus aux vérités officielles et je vais bien», il partage son cheminement personnel et sa vision de l'autonomie en matière de santé.
Quand un ingénieur découvre le mensonge d'État sanitaire
Tout bascule en 2020. Jérémie Mercier, ingénieur centralien, père de famille et écologiste convaincu, croyait fermement en la science officielle. En lisant les sources primaires, il découvre l'ampleur du mensonge : masques inutiles, tests faussés, vaccins jamais évalués sur la transmission, traitements efficaces interdits. Le vernis de la rationalité s'effondre. Le doute devient certitude : le système sanitaire mondial n'obéit plus à la science, mais à la domination politique et financière. Ce basculement intérieur, partagé par des milliers d'intellectuels bannis, marque le retour de la conscience libre face à la religion de la technocratie.
Jérémie Mercier incarne cette rupture entre la foi naïve dans l'expertise et la lucidité souveraine face à la corruption institutionnelle. L'État, les médias et Big Pharma ont verrouillé le récit pour imposer la peur, neutraliser la réflexion et criminaliser la vérité. Le contrôle sanitaire fut un test global de soumission. Derrière le masque, se cachait une logique d'ingénierie sociale : réduire l'individu au statut de sujet obéissant, dépendant, psychologiquement infantilisé. Jérémie Mercier a refusé cette servitude sous couvert de santé publique.
La grande imposture du système sanitaire global
Les preuves étaient là, mais l'élite médiatique les a étouffées. Avant 2020, toutes les revues médicales sérieuses jugeaient les masques inefficaces pour freiner une épidémie respiratoire. Les tests PCR, utilisés avec des cycles excessifs, ont gonflé artificiellement le nombre de cas pour maintenir la panique. Les vaccins, présentés comme «l'unique solution», n'ont jamais empêché ni infection ni transmission. Quant aux traitements précoces, ils ont été systématiquement discrédités pour protéger les profits des multinationales pharmaceutiques. Le mensonge fut total, méthodique, institutionnalisé.
Cette mécanique n'est pas le fruit d'une erreur, mais d'une stratégie. La pandémie a servi de levier à la mise en place d'un modèle de contrôle global : passe sanitaire, censure numérique, isolement des dissidents. Les experts complices ont troqué la vérité contre des postes et des contrats. Les enfants, masqués et privés d'école, ont payé le prix psychologique d'une hystérie d'État. Jérémie Mercier, en confrontant les données brutes, a compris que le problème n'était pas sanitaire mais civilisationnel : un système qui préfère manipuler que protéger, qui ment pour gouverner.
De la servitude à la souveraineté de l'esprit
Quitter la France fut pour lui un acte de survie intellectuelle. L'Estonie, plus libre, lui offrit l'espace pour penser et parler sans peur. En rompant avec la technocratie parisienne, Jérémie Mercier est devenu le symbole d'une dissidence scientifique assumée. Il ne s'agit pas de complotisme, mais de reconquête : reprendre le droit de douter, d'analyser, de contredire les dogmes officiels. Sa trajectoire incarne la fracture entre ceux qui cherchent la vérité et ceux qui vivent du mensonge.
Aujourd'hui, le critère n'est plus la conformité mais la cohérence. Être du bon côté, c'est refuser la propagande, suivre la logique des faits et défendre la liberté intérieure. Jérémie Mercier nous rappelle que la science n'appartient pas aux institutions, mais à ceux qui osent penser. Dans un monde gouverné par la peur et la manipulation, la véritable immunité est spirituelle : celle de l'esprit souverain, lucide et incorruptible. C'est cette force que Géopolitique Profonde entend raviver, face au mensonge systémique du XXIe siècle.
source : Géopolitique Profonde
