23/11/2025 reseauinternational.net  3min #297007

Alerte : cancers post-vaccin, l'étude qui fait trembler le silence

par Profession Gendarme

Ils ont injecté. Maintenant les corps parlent. 8,4 millions de patients. Une base de données nationale. Un pays sans Big Pharma. Juste les chiffres. Juste les morts.

Et les résultats ? Un carnage sous anesthésie médiatique.

Une étude publiée dans Biomarker Research révèle ce que des médecins courageux dénonçaient déjà à voix basse :

une explosion de cancers dans l'année qui suit la vaccination COVID. Pas des impressions. Pas des cas isolés. Des statistiques. Des corrélations. Des organes ciblés.

Les chiffres qui tuent le doute : 1 an après l'injection, +69% de risque de cancer de la prostate, +53% pour le poumon, +34% pour l'estomac, +35% pour la thyroïde, +28% pour le côlon et le rectum, +20% pour le sein.

(Source : Biomarker Research, 2025) Et on ose encore dire que «les vaccins COVID sont sûrs et efficaces» ?

Ils ont tout dénié - jusqu'à l'évidence

Pendant qu'on supprimait des comptes, pendant que des soignants étaient suspendus, pendant que des familles enterraient leurs proches trop jeunes, trop vite...

Les données s'accumulaient.

Et la pente devenait irréversible. Ce n'est plus un débat d'opinion, c'est un crash sanitaire mesurable.

Pas un cas sur millions : un récit collectif dissimulé

Le mythe : «Les vaccins ne font que sauver». La réalité : une fraction de la population développe, dans les 12 mois, des tumeurs foudroyantes. Ces cancers ne sont pas normaux :

agressifs, jeunes, multiorganes, réfractaires

souvent détectés chez des personnes sans antécédents

liés temporellement à l'injection... mais jamais déclarés comme tels

Les mécanismes ? On les connaît

Les nanoparticules lipidiques ne restent pas dans le bras. Les études Pfizer l'avaient montré dès 2020 (biodistribution sur rats, ovaires, foie, ganglions). Mais on vous l'a caché.

L'inflammation chronique, la dérégulation immunitaire, l'activation des cellules endothéliales :

le terreau parfait pour faire flamber des cellules précancéreuses. Et tout ça... pour un virus à 0,05% de létalité chez les jeunes.

L'omerta médico-médiatique ne tient plus

Pourquoi cette étude sud-coréenne fait peur ? Parce qu'elle n'est pas européenne. Pas américaine. Pas sous influence. C'est un pays qui a les moyens de suivre ses citoyens avec rigueur, sans pression industrielle. Et maintenant que le chiffre est là, qui va répondre ?

L'OMS ?

Pfizer ?

Ursula von der Leyen ?

La question qui doit être posée :

Combien de morts silencieuses va-t-on encore tolérer pour ne pas admettre l'erreur ? Ceux qui savent se taisent. Ceux qui parlent sont punis. Mais les chiffres, eux, ne se censurent pas.

SOURCE : Biomarker Research - 2025 1-year risks of cancers associated with COVID-19 vaccination  biomarkerres.biomedcentral.com

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ALERTE : CANCERS POST-VACCIN : L'ÉTUDE QUI FAIT TREMBLER LE SILENCE

🩸Ils ont injecté. Maintenant les corps parlent.

8,4 millions de patients. Une base de données nationale.
Un pays sans Big Pharma. Juste les chiffres. Juste les morts.

📉 Et les résultats ? Un carnage...  pic.twitter.com/CdwKCbUBDH

- Jhon Doe (🇧🇪-BX) (@jhondoe2509)  September 28, 2025

source :  Profession Gendarme

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