29/12/2010 alterinfo.net  10 min #47069

L'opération Wikileaks est une opération Rothschild.

Voici la preuve que l'avocat de Julian Assange de Wikileaks est lié à la branche anglaise des Rothschild.

L'avocat de Julian Assange, de Wikileaks, est Mark Stephens.
La preuve en est, par exemple, ce tout premier paragraphe d'une dépêche AFP datée du 15/12/2010 à 11:34, intitulée « WikiLeaks : l'avocat de Julian Assange se plaint de n'avoir pas accès à son client » et publiée notamment dans le point au lien suivant :
 lepoint.fr
Extrait :
« Mark Stephens, l'un des avocats du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, s'est plaint mercredi de n'avoir pas un accès suffisant à son client, emprisonné depuis plus d'une semaine dans l'attente d'une décision sur son éventuelle extradition vers la Suède. »
Or Mark Stephens est aussi un avocat au service des Rothschild.
En effet, le Waddesdon Manor appartient aux Rothschild. En voici la preuve :
 fr.wikilingue.com

(Au passage, on remarquera que le Wiki-Lingue est vraiment beta !)
Et l'un des cabinets d'avocats du Waddesdon Trust, dont l'un des buts est l'entretien du Waddesdon Manor, est Finers Stephens Innocent (FSI) :
 charityperformance.com

Voici maintenant le site internet du cabinet d'avocats Finers Stephens Innocent (FSI). Vous pourrez y voir défiler sur la gauche une série de photos dont celle de Mark Stephens et à droite une publicité pour le Julian Assange Defence Fund :  fsilaw.com

CQFD : l'avocat de Julian Assange est au service des Rothschild.
L'on a appris récemment que Julian Assange était en Angleterre depuis trois mois. C'est par conséquent depuis sa résidence anglaise qu'il a organisé les trois dernières séries de "fuites" de documents "secrets".
Si Julian Assange a organisé ces diverses séries de "fuites" depuis l'Angleterrre, c'est bien sûr pour être au plus prêt de ses maîtres, les Rothschild, propriétaires du Waddesdon Manor dont l'avocat est aussi celui de Wikileaks.

Les Rothschild sont les grands maîtres du sionisme

C'est à Lord Rothschild que fut adressée en 1917 la déclaration Balfour sur la création d'un foyer national juif en Palestine.
 monde-diplomatique.fr
2 novembre 1917
Cher Lord Rothschild,
J'ai le plaisir de vous adresser, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration ci-dessous de sympathie à l'adresse des aspirations sionistes, déclaration soumise au cabinet et approuvée par lui.
« Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays. »
Je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste.
Arthur James Balfour

La loi Rothschild, cause de l'endettement de la France
Extraits d'une biographie de Georges Pompidou :
Georges Pompidou fit parti du cercle restreint des proches du général de Gaulle, et cette proximité lui valut d'être nommé chef de son cabinet d'avril 1948 à 1953.
En 1953, il entra à la banque Rothschild, où il occupa rapidement les fonctions de directeur général et d'administrateur de nombreuses sociétés. Ce fut pour lui l'occasion de participer à la vie économique du pays, d'accroître le champs de ses compétences et d'établir un éventail plus large de relations.
Il rédigea néanmoins, durant cette période d'intense activité, trois présentations de classiques illustrés sur Racine, Taine et Malraux.

...
Le général de Gaulle élu à la présidence, Georges Pompidou retourna pendant quelques temps vers le monde de l'entreprise en réintégrant la banque Rothschild.
Membre du conseil constitutionnel en 1959, il profita également de cette période pour rédiger une anthologie de la poésie française.
Georges Pompidou s'installa à l'Élysée le 15 juin 1969. Son mandat fut écourté par son décès le 2 avril 1974 à Paris.
3 janvier 1973, réforme de la Banque de France
Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d'avance au trésor :
« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la banque de France. »
Ce qui signifie que l'article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l'État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu'avant cette loi, quand l'État empruntait de l'argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.
Autrement dit : auparavant, l'État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s'enrichir aux dépends de l'État en lui prêtant avec intérêt l'argent dont il a besoin.
Cette décision correspond à une privatisation de l'argent et ramène la nation au même rang que n'importe lequel de ses citoyens.
L'accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là. Voici en effet un graphique représentant l'évolution de la dette, avec et sans intérêt. La courbe rouge représente bien sûr la dette constatée, calculée avec les intérêts.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir.
La dette à fin 1979 était de 239 milliards d'euros (*), déjà injustifiables ; la dette à fin 2008 s'établit à 1327 milliards d'euros ! Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d'euros et nous avons payé 1306 milliards d'euros d'intérêts.
1327 - 1306 = 21 Milliards d'Euros ! : Si nous avions pu créer notre monnaie - faire exactement ce qu'ont le droit de faire les banques privées -, la dette publique serait quasiment inexistante aujourd'hui.

Georges Pompidou a été le directeur général de la banque Rothschild ; il en était le valet, il n'est par conséquent pas étonnant qu'il ait fait cette loi du 3 janvier 1973 qui interdit à l'État français de battre monnaie et qui a endetté la France d'une façon structurelle et incommensurable auprès de banques privées comme la banque Rothschild.
C'est pourquoi, cette loi, je propose de l'appeler désormais la loi Rothschild.
NOTE (*) : La dette à la fin 1979 était en réalité de 82,8 milliards d'Euros, soit 21% du PIB ; mais en tenant compte de l'inflation, cela fait aujourd'hui 239 milliards d'Euros.

« Libération » abrite WikiLeaks
 liberation.fr

Libération a décidé de participer au mouvement de soutien qui se met en place sur le Net pour empêcher l'asphyxie du site.
 liberation.fr
Par LIBÉRATION.FR
Nous avons choisi d'empêcher l'asphyxie de WikiLeaks à l'heure où des gouvernements et des entreprises cherchent à bloquer son fonctionnement sans même une décision de justice. Comme des milliers d'autres sites, Libération.fr a décidé de participer au mouvement de soutien qui se met en place sur le Net en répliquant le contenu de WikiLeaks à la virgule près. Ces sites dits « miroirs » peuvent être hébergés par tout un chacun disposant d'espace sur des serveurs. C'est ce que nous avons fait afin d'empêcher que disparaissent de la Toile les informations de WikiLeaks sélectionnées avec les journaux partenaires. Nous avons donc ouvert cette adresse :
wikileaks.liberation.fr.

« Libération » de Sartre à Rothschild

 monde-diplomatique.fr
Fondé en 1973 par Jean-Paul Sartre, Libération voulait « donner la parole au peuple » et « lutter contre le journalisme couché ». Pour accomplir un tel projet, l'équipe du journal s'accordait sur l'essentiel : pas de publicité, égalité des salaires, le capital aux salariés.
Au début des années 1980, Libération s'est lancé à la conquête des annonceurs publicitaires et des cadres urbains à haut revenu. Il a ouvert son capital. Le journal militant s'est transformé en entreprise de presse, rachetée par le groupe Chargeur en 1996 puis renflouée en 2005 par le banquier Edouard de Rothschild. Aux salariés, ce dernier a expliqué qu'il était « utopique de vouloir différencier rédaction et actionnaire ».
Depuis vingt-cinq ans, le quotidien camoufle son conservatisme économique par ses « audaces » culturelles. Car Libération fut aussi le laboratoire d'une métamorphose. Celle d'une gauche convertie au libéralisme, aiguillonnée par des médias eux-mêmes acquis à ce nouveau culte. A travers l'analyse d'un cas exemplaire, ce livre examine les ressorts d'une révolution conservatrice dans la vie intellectuelle française.

Tentative de traduction du passage de Chossudowsky intitulé : « Wikileaks Social and Corporate Entourage »

 mai68.org
Entourage social et entrepreneurial de Wikileaks
Wikileaks et The Economist ont conclu une relation très étrange. En effet, Julian Assange, le fondateur et rédacteur en chef de Wikileaks, a remporté en 2008 The Economist's New Media Award.
The Economist est étroitement lié aux élites financières de Grande-Bretagne. Il s'agit d'un organe d'information qui a, tout compte fait, soutenu la participation de la Grande-Bretagne à la guerre en Irak. Le rédacteur en chef de The Economist, John Micklethwait, a aussi participé à la réunion du groupe Bilderberg en Juin 2010.
The Economist porte également la marque de la famille Rothschild. Sir Evelyn Robert Adrian de Rothschild a été président de The Economist de 1972 à 1989. Son épouse Lynn Forester de Rothschild siège actuellement au conseil d'administration de The Economist. La famille Rothschild détient également un grand nombre d'actions de The Economist. Ancien rédacteur en chef de The Economist (1974-86), Andrew Stephen Bower Knight est actuellement président de la J. Rothschild Capital Management Fund. On dit aussi de lui qu'il est membre du Comité de direction (1986) du Bilderberg.
La grande question est de savoir pourquoi Julian Assange reçoit le soutien d'un organe d'information anglais, The Economist, connu avant tout pour être toujours impliqué dans la désinformation ?
N'avons-nous pas affaire à un cas de « dissidence fabriquée », où l'action de soutenir et récompenser les efforts d'Assange pour Wikileaks, devient un moyen de contrôler et manipuler le projet Wikileaks ; et, du même coup, de l'intégrer aux médias traditionnels ?
Il convient également de mentionner un autre fait important : L'avocat de Julian Assange, Mark Stephens, du Finers Stephens Innocent (FSI), un important cabinet d'avocats de l'élite londonienne, se trouve être aussi le conseiller juridique du Rothschild Waddesdon Trust. Bien qu'en soi cela ne prouve rien, ce fait doit néanmoins être examiné dans le contexte plus large de l'entourage social et d'entreprise de Wikileaks : le New York Times, le CFR, The Economist, Time Magazine, Forbes, Finers Stephens Innocent (FSI), etc.

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