Le Cheikh Raed Salah, président du mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948, a décidé, en coordination avec l'équipage d'avocats, de poursuivre le gouvernement britannique, et l'insistance sur le suivi du dossier ainsi que de ne pas quitter Londres avant que la Cour intérieure d'engage à la divulgation des raison qui l'ont poussé de prendre cette procédure.
La ministre britannique de l'intérieur, Theresa May, avait déjà publié, le 29 juin dernier un ordre exigeant d'expulser le Cheikh Raed Salah des territoires britannique sous prétexte de l'antisémitisme.
Le tribunal de l'immigration britannique a déterminé, le 26 et 27 septembre pour examiner l'appel présenté par le Cheikh Raed Salah sur l'ordre de l'expulsion émis contre lui.
Le tribunal tiendra demain 14 septembre une séance pour délibérer sur la légalité de la procédure et l'ordre d'expulsion, dans une tentative de préempter les séances d'appel afin de légitimer l'action.
L'avocat Hassan Abou Hussein qui défend le Cheikh Raed Salah a déclaré que le ministère britannique de l'intérieur s'est basé sur un ordre administratif, accusant le Cheikh Raed Salah d'antisémitisme.
Des juristes voient que l'appel judiciaire représente un défi et un embarras à Londres, mais ils ne comptent pas sur lui, parce qu'il sera soumis à des justifications administratives et de renseignements et que le tribunal tentera de sauver la face et la dignité de l'Etat.
Le mouvement islamique a confirmé dans un communiqué son intention d'aller au dossier du Cheikh Raed Salah jusqu'à la fin, démontrant que l'arrestation est une décision sioniste effectuée par la Grande-Bretagne.
Il a décidé de reporter l'appel jusqu'au 14 octobre prochain, jusqu'à la fin du tribunal et le retour du Cheikh Raed Salah dans les territoires palestiniens occupés en 1948, en raison de la coïncidence des délibérations de la Cour avec le Festival "Al-Aqsa est en danger".