par Oleg Nesterenko
À la suite de l'adoption par le parlement de la Géorgie (pays du Caucase), le 1er mai dernier, de la loi sur les «agents étrangers», toute une avalanche de critiques, d'avertissements et de menaces directes et voilées s'est écroulée sur le gouvernement géorgien de la part des «défenseurs de la liberté, de la démocratie, de la libre parole et des droits de l'homme» composés de l'intégralité des pays du camp occidental, les États-Unis d'Amérique en tête.