Dans une interview accordée au Journal du Dimanche et publiée ce 2 mai, le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer s'est opposé à l'écriture inclusive, jugeant qu'elle ne favorisait pas la transmission de la langue. Cette écriture «non genrée» fera l'objet d'un débat au Sénat à compter du 6 mai prochain.
L'écriture inclusive est promue par quelques associations féministes et vise à transformer l'écriture classique, notamment en insérant des points médians auxquels on ajoute des suffixes féminins et masculins (ex : les citoyen·ne·s) dans le même mot.