Y a t-il eu « trumperie » sur la marchandise? C'est ce que semble penser Washington, qui sanctionne à tour de bras la Russie. Le président Poutine est en colère, on le serait à moins, s'il n'a rien à se reprocher. Il faut dire que le dérangeant Donald (pas le canard, l'autre) n'est pas en odeur de sainteté. Nous sommes dans le domaine du « hacking », de l'influence réelle ou supposée, d'intervenants extérieurs pour contrecarrer les plans établis. Comme nous sommes en pleine guerre de l'information, sachons raison garder et attendons la suite. Ils semblent atteint d'espionnite paranoïde, ça doit pouvoir se soigner non?..
La Russie est en colère. Après une série de sanctions et l'expulsion de 35 diplomates russes des Etats-Unis, conséquence de l'ingérence de Moscou dans l'élection présidentielle américaine, le Kremlin a promis des mesures de rétorsion « adéquates ».
L'administration américaine accuse la Russie d'avoir orchestré des piratages informatiques qui ont mené au vol et à la publication de milliers d'e-mails de responsables démocrates, brouillant le message de la candidate Hillary Clinton. La Russie a rejeté « catégoriquement » ces « accusations infondées », affirmant que Washington voulait « détruire » ses relations avec Moscou.
Fermeture de l'école anglo-américaine de Moscou
Des responsables américains ont affirmé avoir eu connaissance d'informations selon lesquelles les autorités russes auraient ordonné la fermeture de l'école anglo-américaine de Moscou, fréquentée par de nombreux enfants de diplomates, sans pouvoir les confirmer.
>> A lire aussi : Obama accuse indirectement Poutine et met en garde Trump
Le vainqueur de la présidentielle américaine, le républicain Donald Trump, qui n'a cessé de répéter qu'il ne croyait pas aux accusations d'ingérence russe, s'est abstenu de critiquer les sanctions décidées par Barack Obama. Il est « temps de passer à d'autres choses plus importantes », a-t-il indiqué dans un bref communiqué, précisant qu'il rencontrerait, « dans l'intérêt de notre pays et de son peuple formidable », les chefs du renseignement américain « la semaine prochaine » pour faire le point sur cette affaire.
La Russie est en colère. Après une série de sanctions et l'expulsion de 35 diplomates russes des Etats-Unis, conséquence de l'ingérence de Moscou dans l'élection présidentielle américaine, le Kremlin a promis des mesures de rétorsion « adéquates ».
L'administration américaine accuse la Russie d'avoir orchestré des piratages informatiques qui ont mené au vol et à la publication de milliers d'e-mails de responsables démocrates, brouillant le message de la candidate Hillary Clinton. La Russie a rejeté « catégoriquement » ces « accusations infondées », affirmant que Washington voulait « détruire » ses relations avec Moscou.
Fermeture de l'école anglo-américaine de Moscou
Des responsables américains ont affirmé avoir eu connaissance d'informations selon lesquelles les autorités russes auraient ordonné la fermeture de l'école anglo-américaine de Moscou, fréquentée par de nombreux enfants de diplomates, sans pouvoir les confirmer.
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Le vainqueur de la présidentielle américaine, le républicain Donald Trump, qui n'a cessé de répéter qu'il ne croyait pas aux accusations d'ingérence russe, s'est abstenu de critiquer les sanctions décidées par Barack Obama. Il est « temps de passer à d'autres choses plus importantes », a-t-il indiqué dans un bref communiqué, précisant qu'il rencontrerait, « dans l'intérêt de notre pays et de son peuple formidable », les chefs du renseignement américain « la semaine prochaine » pour faire le point sur cette affaire.
Source 20Minutes
Voir sur le sujet:
Piratage lors de la présidentielle: Washington expulse 35 agents russes
Piratages lors de la présidentielle américaine: Le FBI accuse Moscou et le groupe de hackers Fancy Bear
Pour équilibrer la balance, l'avis de Sputnik
«Offensive de désinformation russe», la sonnette d'alarme est tirée en Europe
Contraints de reconnaître que Moscou gagne la «guerre de l'information», les politiciens européens crient à la désinformation qui est, selon eux, une arme au cœur de la nouvelle doctrine militaire russe, dont l'objectif consiste à «faire dérailler les processus démocratiques» en Occident.
Affolés, des experts européens préviennent qu'après l'Ukraine, les États européens sont de plus en plus menacés par les campagnes de désinformation pilotées par le Kremlin, alors que les médias occidentaux n'hésitent pas à rendre la Russie responsable de l'essor du populisme tant en Europe qu'aux États-Unis.
/...
Voir:
Moscou fatigué des mensonges US sur les hackers russes
Les sanctions US contre Moscou, une «agonie de cadavres politiques»
En parlant de manipulation, nous avons aussi un petit billet de RT sur l'OSDH, chère à nos médias, qui en reprennent les « dépêches »
L'«OSDH» : un seul individu, dans une maison en brique, quelque part au Royaume-Uni