Par Peter Koenig
Les médecins péruviens pour la vérité ont publié une courte vidéo, expliquant les risques énormes des trois différents types de vaccins actuellement sur le marché au Pérou. Deux d'entre eux sont génétiquement modifiés d'une manière ou d'une autre et affecteront l'ADN humain. Les humains deviendraient des « transhumains », comme le maïs, le soja, le coton génétiquement modifiés - et bien d'autres encore.
L'élément marquant de cette nouvelle est qu'il existe encore un autre médicament, appelé IVERMECTINE, qui a été approuvé par la FDA et déjà appliqué avec succès dans le sud du Pérou, en Argentine et ailleurs. Voir ce document.
L'ivermectine, un médicament connu depuis plus de 60 ans, a été appliqué avec succès pour de nombreuses maladies infectieuses - y compris la cécité des rivières, dans toute l'Afrique. Il a été fortement recommandé par l'OMS, à une époque où l'OMS avait encore un « côté humain ».
[Capture d'écran. Source : https://www.nature.com/articles/d41586-020-02958-2]
Le troisième vaccin consisterait à recréer une version plus faible du virus dans votre corps. Il s'agit du type de vaccin le plus traditionnel. Mais aucun d'entre eux n'a été sérieusement testé.
Les transgéniques n'ont même pas été testés sur les animaux. Et les quelques tests volontaires qui ont été effectués en particulier avec le vaccin Moderna ont donné des résultats désastreux. Si aucun des 40 volontaires robustes n'est mort, tous ont eu de graves effets secondaires, de graves problèmes de santé et ont dû être hospitalisés - et les conséquences à long terme ne sont pas connues. Comment ils s'en sortent maintenant, Pfizer-BioNTech, Moderna et AstraZeneca, revendiquent jusqu'à 95% d'efficacité. Quelle blague !!! Jamais testé - et mentir aux gens, pour qu'ils acceptent la fraude.
Les conséquences à long terme de l'un de ces vaccins ne sont pas connues, ils ne le seront pas avant longtemps. Et personne ne peut poursuivre les sociétés pharmaceutiques, elles sont « immunisées » en vertu de la loi nationale sur les vaccins pour enfants (NCVIA) ratifiée par la Cour suprême en 1986 (42 U.S.C. ||300aa- 1 à 300aa-34).
Les sociétés pharmaceutiques ne peuvent jamais être poursuivies pour les dommages causés par leurs vaccins.
L'un des effets à long terme des vaccins Covid-19, peut être la réduction de la virilité pour les hommes et de l'infertilité pour les femmes. Cela correspond au programme d'eugénisme de Bill Gates, Rockefeller et associés (Bill Gates TedTalk en 2010 - « Innovating to Zero«). Il donne un aperçu de ce que le clan Gates et ses collaborateurs ont à l'esprit pour l'avenir de l'humanité.
Avec le soutien de l'OMS, Bill Gates a lancé en 2010 et 2014 au Kenya un programme de vaccination contre l'anatoxine tétanique (TT) :
En 1993, l'OMS a annoncé un « vaccin contraceptif » pour la « planification familiale ». Les recherches publiées montrent qu'en 1976, les chercheurs de l'OMS avaient conjugué l'anatoxine tétanique (TT) avec la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) pour produire un vaccin « contraceptif ». La conjugaison de l'anatoxine tétanique avec la hCG provoque une attaque des hormones de grossesse par le système immunitaire. Les résultats escomptés sont des avortements chez les femmes déjà enceintes et/ou la stérilité chez les receveuses non encore fécondées. Les inoculations répétées prolongent la stérilité. Actuellement, les chercheurs de l'OMS travaillent sur des vaccins anti-fertilité plus puissants utilisant l'ADN recombinant. Les publications de l'OMS montrent que l'objectif à long terme est de réduire la croissance démographique dans les « pays moins développés » instables. En novembre 1993, des publications catholiques sont apparues indiquant qu'un vaccin abortif était utilisé comme prophylactique contre le tétanos. En novembre 2014, l'Église catholique a affirmé qu'un tel programme était en cours au Kenya. Trois laboratoires de biochimie indépendants accrédités à Nairobi ont testé des échantillons provenant de flacons du vaccin antitétanique de l'OMS utilisé en mars 2014 et ont trouvé de la hCG là où elle ne devrait pas être présente. En octobre 2014, 6 flacons supplémentaires ont été obtenus par des médecins catholiques et ont été testés dans 6 laboratoires accrédités. Là encore, de l'hCG a été trouvée dans la moitié des échantillons. Par la suite, le laboratoire AgriQ Quest de Nairobi a, dans le cadre de deux séries d'analyses, de nouveau trouvé de la hCG dans les mêmes flacons de vaccin qui s'étaient révélés positifs auparavant, mais n'en a pas trouvé dans 52 échantillons qui, selon l'OMS, étaient des flacons du vaccin utilisé lors de la campagne 40 au Kenya et portaient les mêmes numéros de lot d'identification que les flacons qui s'étaient révélés positifs pour la hCG. Étant donné que l'hCG a été trouvée dans au moins la moitié des échantillons de vaccins de l'OMS dont les médecins impliqués dans l'administration des vaccins savaient qu'ils avaient été utilisés au Kenya, notre opinion est que la campagne « antitétanique » du Kenya a été raisonnablement remise en question par l'Association des médecins catholiques du Kenya en tant que front pour la réduction de la croissance démographique.
Le gouvernement kenyan a poursuivi l'OMS - qui bénéficie d'une immunité judiciaire, mais celle-ci a dû présenter des excuses officielles.
Puisque Bill Gates et sa fondation sont derrière cet engouement obsessionnel pour le vaccin (vaxxer), et qu'ils sont soutenus par l'institution même - une organisation des Nations unies - imaginez ! - OMS - pour laquelle Bill Gates est l'un des plus grands bailleurs de fonds, il n'est pas improbable que les vaccins Covid contiennent des composants de stérilisation similaires - dont l'effet ne sera peut-être pas visible immédiatement - mais seulement dans le temps, et surtout, la virilité et la fertilité affaiblies peuvent être transmises génétiquement aux générations futures.
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Revenons aux trois vaccins que mentionne le médecin des Médecins pour la Vérité du Pérou. Le vaccin basé sur la réplication d'une version plus faible du virus - n'a pas non plus été testé. Le vaccin contre la tuberculose - un type similaire - a été testé pendant 17 ans avant d'être appliqué à grande échelle. Le vaccin suivant contre le SRAS a été testé pendant 5 ans ½.
Nous parlons de risques énormes. Et avec la peur - la peur extrême inculquée aux gens - il est probable qu'il y aura de longues files d'attente lorsque les vaccins seront disponibles. Les gens pensent qu'après avoir été vaccinés avec l'un d'eux, ils seront libres de rentrer chez eux et que la vie reviendra à la « normale ».
Ce ne sera pas le cas. Soyez vigilants. La vie ne reviendra pas à la normale.
Seule notre résistance acharnée peut éventuellement permettre un retour à quelque chose de similaire à ce que nous connaissions dans le passé comme étant « normal ». Mais il faudra une nouvelle « normalité. » faite par le peuple, pour le peuple ; et NON par une élite ultra-riche - dont les 193 gouvernements membres des Nations unies et leurs parlements respectifs ont été cooptés, achetés, controlés, soudoyés. On assistera pas à une « nouvelle normalité », comme le propose le Forum économique mondial (FEM) - La Grande réinitialisation - la Remise à zéro (Klaus Schwab - juillet 2020), ou le FMI, La Grande Transformation.
Ce n'est que le début. Si vous vous laissez convaincre par ces politiciens malhonnêtes - comme c'est le cas du premier ministre Boris Johnson qui ordonnent que la vaccination commence la semaine prochaine, c'est-à-dire dans la semaine commençant le 7 décembre 2020, avec un vaccin qui n'a pas été testé, vous risquez d'avoir de mauvaises surprises.
Les gens, victimes du programme britannique de vaccination à grande vitesse [warp-speed], n'ont aucune idée de ce qui leur est injecté. Cet homme, premier ministre du Royaume-Uni, est inhumain. Le tort -danger- qu'il peut infliger à la population britannique est criminel. Un « Bojo », un homme qui est au service d'un ordre supérieur, mais qui ne sert en rien les citoyens du pays, qu'il a été choisi pour les représenter, les citoyens qui paient son salaire. Si jusqu'à présent, la vaccination n'est ni imposée ni obligatoire, elle est néanmoins fortement alimentée par une propagande de peur.
La solution ? - Premièrement, pas de panique [peur] ; deuxièmement : la désobéissance civile. Boycotter le programme de vaccination, exiger d'être traité par des alternatives, comme l'Ivermectine - et il y en a beaucoup d'autres - dont beaucoup sont interdites par les gouvernements. Ils ont été forcés de les interdire, en suivant des « ordres » supérieurs qui sont au service de l'industrie pharmaceutique, pour la soif de profit. Ce sont des billions de dollars que les campagnes de vaccination susceptibles de générer.
Dites non à la vaccination massive, et comptez sur l'immunité des populations, qui est la phase suivante logique. Aucun vaccin n'est nécessaire. Ne vous laissez pas abattre par la peur.
Défendez vos droits. La peur détruit votre véritable estime de soi.
Vos droits civils et humains ne peuvent pas, je le répète, NE PEUVENT pas être supprimés, comme les 193 gouvernements membres des Nations unies ont l'intention de le faire. Voir aussi L'agenda secret de la Banque mondiale et du FMI.
Malheureusement, il ne reste guère de gouvernement qui ne soit coopté, corrompu ou acheté par ces soi-disant « puissances supérieures et obscures ». Ces « puissances » qui pourraient bien être liées à des gens comme Joe Biden et Barak Obama en ne cessant de faire allusion au fait que nous serons confrontés à un hiver très sombre. Cette allusion, répétée à mainte reprises, se présente comme un véritable rituel.
Aucune constitution au monde ne leur donne le pouvoir légal de supprimer vos droits civils et humains. N'écoutez pas les grands médias, cherchez des informations alternatives. Et lorsque vous voyez que ces « autres » informations ont soudainement disparues d'internet, de Youtube ou qu'elles sont « vérifiées », vous savez ainsi que « vous êtes sur la bonne voie ».
Nous n'avons jamais assisté dans l'histoire récente à une période de censure aussi importante par les médias traditionnels [mainstream] qui, en même temps, diffusent de « fausses nouvelles ».
Soyez vigilant.
Soyez sûr de vous.
Ne cédez pas à la peur.
Peter Koenig
Article original en anglais :
Boycott the Vaccination Program: The FDA-approved Drug Ivermectin Inhibits the Replication of SARS-CoV-2 but Nobody Talks About It
Traduit par Maya pour Mondialisation
Photo en vedette : Capture d'écran. Femme autochtone au Pérou. Source : aa.com.tr
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Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l'environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et de l'eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne telles que Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO) et bien d'autres encore. Il est l'auteur de Implosion - An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed, une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d'expérience de la Banque mondiale dans le monde entier.
Peter est également co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes » (Quand la Chine éternue) : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press - 1er novembre 2020). Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2020