Selon les chiffres officiels de l'Institut Paul Ehrlich, les enfants auraient trois fois plus de risques de mourir du vaccin que du Covid, qui est très rare chez les enfants. Malgré ces chiffres et les avertissements de divers experts du monde entier, les politiciens et les médias allemands encouragent énergiquement la vaccination la plus rapide possible des enfants.
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Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre demandant que les vaccins Covid ne soient pas administrés aux enfants. Les médecins soulignent que l'opinion scientifique dominante est que le vaccin ne peut pas conduire à une immunité collective. Selon eux, on ne sait toujours pas si le vaccin empêchera la propagation du virus et pendant combien de temps il assurera une protection. Des nouveaux variants du virus pourraient être résistants au vaccin, et nous ne connaissons pas encore les effets sur la croissance, le système reproductif ou la fertilité.
« Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n'est pas dangereuse pour eux », écrivent les 93 médecins. Selon eux, les enfants devraient pouvoir retrouver rapidement une vie normale et les tests et l'isolement fréquents devraient cesser. Les médecins déclarent qu'il ne faut pas se précipiter pour les vacciner tant qu'on n'a pas toutes les assurances/, car le Covid ne présente aucun danger pour les enfants.
Malgré les avertissements de différents experts du monde entier, les politiciens et les médias en Allemagne font une grosse publicité pour que les enfants soient vaccinés aussi vite que possible, bien que les chiffres officiels de l'étude actuelle sur la vaccination des enfants de 12 à 17 ans parlent un langage clair. La fiche actuelle de données des sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech montre qu'environ 80% des 1 097 enfants qui ont participé au test vaccinal se sont plaints d'effets secondaires. Chez 393 participants, soit plus d'un tiers, ces effets secondaires étaient « moyennement graves ». Et chez sept enfants, les groupes pharmaceutiques eux-mêmes ont qualifié les effets secondaires de graves. Cela représente environ 0,6%. Dans le document, Pfizer et BioNTech ont donné le terme « grave » à des réactions qui provoquent « une incapacité prolongée ou substantielle » ou « entraînent la mort ».
Or, compte tenu de ces résultats, si on vaccinait effectivement un million d'enfants, au moins 6 000 d'entre eux subiraient un dommage grave. Et très probablement, certains de ces enfants mourraient. Selon les informations publiées par l'Institut Paul Ehrlich, il y a jusqu'à présent dans le cadre de la campagne de vaccination, un décès pour 56 400 personnes vaccinées. Cela signifie que, même selon les chiffres officiels, les enfants et les jeunes gens ont trois fois plus de risques de mourir de la vaccination que de la maladie. Face à ces faits révélateurs, les médias et les politiciens non critiques qui font la promotion du vaccin Covid depuis des mois, semblent ignorer toute éthique et toute responsabilité. Acceptent-ils sciemment de faire du mal à de nombreux enfants en bonne santé ? Et est-ce possible qu'un cartel politico-pharmaceutique soit littéralement prêt à marcher sur des cadavres ?
Tant que ces crimes ne cesseront pas, il est de la responsabilité de chaque individu de devenir lui-même actif, d'éclairer et de dénoncer cette prétendue attention portée à nos enfants pour ce qu'elle est : un crime !
source : kla.tv