29/08/2021 lilianeheldkhawam.com  14 min #194326

Des informations affluent et sont défavorables au vaccin.

Un drame parmi tant d'autres. La cause est politique et non pas sanitaire.

Les informations sur les vaccins anti-Covid s'accumulent. Et non seulement elles ne font pas pencher la balance bénéfice-risque du côté positif, mais elles tendent à converger lourdement vers le côté problématique.

Des personnes vaccinées portent dans leurs narines une charge 251 fois plus importante de virus COVID-19 que les personnes non vaccinées.

The Lancet

Commençons par cette info parue dans The Lancet et rédigée par des scientifiques du prestigieux groupe de recherche clinique de l'université d'Oxford,. On nous dit en gros que le personnel de la santé vacciné transmet le variant delta du SRAS-CoV-2 aux collègues et à aux patients. Et c'est le précieux Dr Peter McCullough qui l'analyse dans Global Research.

Juste une remarque avant de lire ce qui suit. Je vous invite à vous souvenir du fait que les personnes vaccinées ne sont pas testées quand elles arrivent à l'hôpital.

 lilianeheldkhawam.com

De plus en plus d'hôpitaux appliquent la logique sous-jacente au pass sanitaire, qui au-delà de la création de citoyens de seconde zone, autorise les vaccinés à diffuser et à contaminer tranquillement leur entourage vaccinés ou pas. Rappelons inlassablement que ce choix, assumé par les autorités sanitaires, introduit des biais statistiques, utilisés par la suite pour semer la pagaille morale et psychologique, qui génère à son tour anxiété, division et terreur Et pendant ce temps, le virus circule avec une charge virale centuplée.

Méthodes : Nous avons étudié les infections chez les travailleurs de la santé d'un grand hôpital spécialisé dans les maladies infectieuses au Vietnam.
Nous avons collecté des données démographiques, les antécédents de vaccination et les résultats du diagnostic par PCR ainsi que des données cliniques.
Nous avons mesuré les anticorps (neutralisants) du SARS-CoV-2 au moment du diagnostic et aux semaines 1, 2 et 3 après le diagnostic.
Nous avons séquencé les virus en utilisant le protocole ARTIC.

Résultats : Entre le 11 et le 25 juin 2021 (semaine 7 à 8 après la dose 2), 69 agents de santé ont été testés positifs pour le SRAS-CoV-2. 62 ont participé à l'étude clinique. 49 étaient (pré)symptomatiques dont un nécessitant une supplémentation en oxygène. Tous se sont rétablis sans incident. 23 séquences complètes du génome ont été obtenues. Ils appartenaient tous à la variante Delta et étaient phylogénétiquement distincts des séquences de variantes Delta contemporaines obtenues à partir de cas de transmission communautaire, suggérant une transmission continue entre les travailleurs. Les charges virales des cas d'infection par le variant Delta révolutionnaire étaient 251 fois plus élevées que celles des cas infectés par d'anciennes souches détectées entre mars et avril 2020. Le délai entre le diagnostic et la PCR négative était de 8 à 33 jours (médiane : 21).Les taux d'anticorps neutralisants après la vaccination et au moment du diagnostic des cas étaient inférieurs à ceux des témoins non infectés appariés. Il n'y avait aucune corrélation entre les niveaux d'anticorps neutralisants induits par le vaccin et les charges virales ou le développement de symptômes.  papers.ssrn.com

Présentation d el'étude par le Dr Peter Mc Cullough

Cet article inédit présente des résultats alarmants qui ont un effet dévastateur sur le déploiement du vaccin COVID.

L'étude révèle que les personnes vaccinées portent dans leurs narines une charge 251 fois plus importante de virus COVID-19 que les personnes non vaccinées. 57 scientifiques et médecins de renom demandent l'arrêt immédiat de toutes les vaccinations.

Tout en atténuant les symptômes de l'infection, le vaccin permet aux personnes vaccinées de transporter des charges virales exceptionnellement élevées sans être malades au départ, ce qui peut les transformer en super-diffuseurs pré-symptomatiques.

Ce phénomène pourrait être à l'origine des flambées post-vaccinales choquantes dans les populations fortement vaccinées du monde entier.

Les auteurs de l'article, Chau et al, ont démontré l'échec généralisé de la vaccination et la transmission dans des circonstances étroitement contrôlées dans un hôpital fermé à Ho Chi Minh Ville, au Vietnam.

Les scientifiques ont étudié des travailleurs de la santé qui n'ont pas pu quitter l'hôpital pendant deux semaines. Les données ont montré que des travailleurs entièrement vaccinés - environ deux mois après l'injection du vaccin Oxford/AstraZeneca COVID-19 (AZD1222) - ont acquis, porté et vraisemblablement transmis le variant Delta à leurs collègues vaccinés.

Il est presque certain qu'ils ont également transmis l'infection Delta à des personnes sensibles non vaccinées, y compris leurs patients. Le séquençage des souches a confirmé que les travailleurs se sont transmis le SRAS-CoV-2 entre eux.

Ces résultats concordent avec les observations faites aux États-Unis par Farinholt et ses collègues, et avec les commentaires du directeur des Centers for Disease Control and Prevention, qui a reconnu que les vaccins COVID-19 n'ont pas réussi à stopper la transmission du SRAS-CoV-2.

Le 11 février, l'Organisation mondiale de la santé a indiqué que l'efficacité du vaccin AZD1222 était de 63,09 % contre le développement d'une infection symptomatique par le SRAS-CoV-2. Les conclusions de l'article de Chau corroborent les avertissements des principaux experts médicaux selon lesquels l'immunité partielle et non stérilisante des trois vaccins COVID-19 notoirement « fuyants » permet le transport d'une charge virale de SRAS-CoV-2 251 fois supérieure à celle des échantillons pré-vaccination en 2020.

Nous disposons donc d'une pièce maîtresse du puzzle expliquant pourquoi l'épidémie de Delta est si redoutable : des personnes entièrement vaccinées participent à l'épidémie en tant que patients COVID-19 et agissent comme de puissants propagateurs de l'infection, à la manière de Typhoid Mary.

Les personnes vaccinées propagent des explosions virales concentrées dans leurs communautés et alimentent de nouvelles poussées de COVID. Les professionnels de la santé vaccinés infectent presque certainement leurs collègues et leurs patients, causant d'horribles dommages collatéraux.

La poursuite de la vaccination ne fera qu'aggraver ce problème, en particulier chez les médecins et les infirmières de première ligne qui s'occupent des patients vulnérables.

 lilianeheldkhawam.com

Les systèmes de santé devraient abandonner immédiatement les obligations vaccinales, faire le point sur les travailleurs rétablis du COVID-19 qui sont solidement immunisés contre le Delta et considérer les relations des soignants actuellement vaccinés comme des menaces potentielles pour les patients à haut risque et leurs collègues.

Les porteurs de charges virales explosives ne sont pas testés

Les auteurs ajoutent en fin de publication que: Les infections à variantes Delta Breakthrough sont associées à des charges virales élevées, à une positivité PCR prolongée et à de faibles niveaux d'anticorps neutralisants induits par le vaccin, expliquant la transmission entre les personnes vaccinées. Les mesures de distanciation physique restent essentielles pour réduire la transmission de la variante SARS-CoV-2 Delta.

Cela nous renvoie dans le cadre hospitalier à des aberrations inadmissibles où des bombes virales se baladent tranquillement. Les autorités sanitaires ne veulent pas les prendre en compte pour ne pas faire pencher la balance des bénéfices-risques en défaveur du vaccin. Pendant ce temps, on fait monter les amplifications du test PCR et on fait passer le test à des patients asymptomatiques qui n'ont rien à faire avec le Covid.

Combien de non-vaccinés hospitalisés sont comptabilisés en tant que Covid+ grâce à un test PCR à 45 et combien de vaccinés (personnel de santé, visiteurs, livreurs,) chargés à fond en SARS CoV2 ne sont ni inquiétés, ni comptabilisés?

 lilianeheldkhawam.com

Les mensonges s'accumulent et ne peuvent plus être cachés. La vaccination commence à faire penser à un génocide qui ne dit pas son nom.

1,6 million de doses de Moderna retirées au Japon pour cause d'interaction avec les aimants. 2 décès.

Le Japon est le seul pays à avoir eu le courage de prendre au sérieux les multiples photos et vidéos de malheureuses victimes de Big Pharma. Le Japon a osé faire ce qu'aucun autre Etat n'a fait: contrôler et admettre la présence de corps étrangers qui réagissent aux aimants! On nous dit:

Plusieurs centres de vaccination ont signalé que les flacons de vaccins contenaient des corps étrangers, selon une annonce du ministère, qui a ajouté qu'il cherchera à minimiser l'impact du retrait sur le programme de vaccination du pays.

Le ministère a déclaré plus tard dans la journée que la substance qui avait été mélangée pouvait être du métal. « C'est une substance qui réagit aux aimants », a déclaré un responsable du ministère. « Ce pourrait être du métal. »

 asia.nikkei.com

Dans une vidéo publiée par la BBC, le journaliste Jack Goodman souligne que "tous les vaccins contiennent des traces non toxiques d'aluminium, mais l'aluminium n'est même pas magnétique." Dans une interview, il a soulevé le problème avec le physicien Eric Palm, qui certifie :
Les aiguilles servant à vacciner sont extrêmement fines, elles font bien moins d'un millimètre de diamètre. C'est pourquoi même si une particule extrêmement magnétique était injectée, elle serait si petite qu'elle ne permettrait pas à un aimant de coller à la peau."
 bbc.com

Les médias européens évacuent le plus important de l'information

La même information que celle du Nikkei est diffusée par les médias européens qui refusent aux lecteurs le droit de savoir que les lots de Moderna contenaient des produits réagissant aux aimants.

Les médias francophones que j'ai consultés ont réussi à mentir de manière affligeante en gardant l'essentiel de l'information MAIS en évacuant la sensibilité du vaccin aux aimants! Formidable manipulation, toujours dans le but d'envoyer un maximum de gens aux vaccinodromes!

La rétention même partielle de l'information transmise par Nikkei est de la désinformation. Les populations européennes doivent savoir pourquoi ces lots ont été retirés du circuit de la vaccination. 

Voici quelques-uns attrapés en plein délit de manipulation/désinformation

 challenges.fr  lapresse.ca  lepoint.fr

Deux vaccinés décèdent au Japon suite à la 2ème injection de Moderna

Leurs décès sont survenus quelques jours après avoir reçu une deuxième dose du vaccin.

Les hommes dans la trentaine sont décédés ce mois-ci quelques jours après avoir reçu leur deuxième dose de Moderna, a indiqué le ministère dans un communiqué. Chacun a eu une injection de l'un des trois lots suspendus jeudi. Les causes du décès sont en cours d'investigation.

Le Japon a interrompu l'utilisation de 1,63 million de doses de Moderna expédiées à 863 centres de vaccination à l'échelle nationale, plus d'une semaine après que le distributeur national, Takeda Pharmaceutical Co, a reçu des rapports de contaminants dans certains flacons.

« Pour le moment, nous n'avons aucune preuve que ces décès sont causés par le vaccin Moderna COVID-19 », ont déclaré Moderna et Takeda dans un communiqué samedi. « Il est important de mener une enquête formelle pour déterminer s'il y a un lien. »

Zerohedge et  brunobertez.com

Le composant de nanoparticules lipidiques de la plateforme ARNm-LNP utilisé dans les études précliniques sur les vaccins est hautement inflammatoire

 biorxiv.org

Le coeur de l'injection anti-Covid est comme tout le monde le sait: l'ARNmessager. Cependant, les vaccins ont besoin d'adjuvants. Dans le cas des vaccins à ARN, celui-ci n'est autre que la nanocapsule lipidique. Souvenez-vous de ce billet de mars 2021 où on se demandait ce qu'il y avait dans le vaccin à part l'ARN messager C'est cette capsule qui est bien plus qu'une simple goutte d'huile. Il s'agit d'une prouesse nanotechnologique dont on parle décidément pas assez.

 lilianeheldkhawam.com  lilianeheldkhawam.com  lilianeheldkhawam.com

Et maintenant, je vous prie de découvrir dans le texte qui suit les effets inflammatoires désastreux qui me rappellent les victimes des injections. Il suffit de voir à ce sujet les groupes se multiplient sur les réseaux sociaux afin de recenser les effets indésirables. Je vous invite à aller faire un tour pour voir les drames humains qui sont en train de s'y jouer.

Après avoir évacuer de la planète des personnes âgées, qui ont eu le chic de ne plus avoir besoin de l'argent de leur retraite, on met en ce moment de jeunes parents dans des difficultés insurmontables à cause d'injections aux trop nombreux effets secondaires dévastateurs. Des familles et des vies sont brisées. Désarmant.

Alors revenons à cette étude sur les souris qui aurait sans doute été plus utile avant de forcer les gens à la vaccination.

Résumé

Les vaccins basés sur des nanoparticules lipidiques (LNP) contenant de l'ARNm sont une nouvelle plate-forme prometteuse utilisée par deux vaccins de premier plan contre la maladie à coronavirus en 2019 (COVID-19). Les essais cliniques et les vaccinations en cours présentent des niveaux de protection très élevés et divers degrés d'effets secondaires. Cependant, la nature des effets secondaires rapportés reste mal définie. Nous présentons ici des preuves que les LNP (Protéine nanolipidique) utilisés dans de nombreuses études précliniques sont hautement inflammatoires chez la souris. L'injection intradermique de ces LNP a conduit à des réponses inflammatoires rapides et robustes, caractérisées par une infiltration massive de neutrophiles, l'activation de diverses voies inflammatoires et la production de diverses cytokines et chimiokines inflammatoires.

La même dose de LNP administrée par voie intranasale a conduit à des réponses inflammatoires similaires dans les poumons et a entraîné un taux de mortalité élevé.

En résumé, nous montrons ici que les LNP utilisées pour de nombreuses études précliniques sont hautement inflammatoires. Ainsi, leur puissante activité adjuvante et leur supériorité rapportée par rapport à d'autres adjuvants pour soutenir l'induction de réponses immunitaires adaptatives pourraient provenir de leur nature inflammatoire. De plus, les LNP précliniques sont similaires à ceux utilisés pour les vaccins humains, ce qui pourrait également expliquer les effets secondaires observés chez l'homme utilisant cette plateforme.

Introduction à l'étude

La plate-forme de vaccin ARNm-LNP à modification nucléosidique utilisée par Pfizer/BioNTech et Moderna dans leurs vaccins contre le SRAS-CoV-2 a été largement testée dans des études précliniques, et son efficacité à soutenir les cellules Tfh et les réponses immunitaires humorales protectrices égale ou surpasse d'autres vaccins (1). Le composant d'ARNm de ces vaccins est modifié par les nucléosides pour diminuer la reconnaissance immunitaire innée potentielle (14, 15).

Le LNP a été choisi comme véhicule porteur pour protéger l'ARNm de la dégradation et faciliter l'administration intracellulaire et l'échappement endosomal. Les LNP sont constitués d'un mélange de phospholipides, de cholestérol, de lipides pégylés et de lipides cationiques ou ionisables. Les phospholipides et le cholestérol ont des rôles structurels et stabilisants, tandis que les lipides pégylés favorisent une circulation prolongée. Les lipides cationiques/ionisables sont inclus pour permettre la complexation des molécules d'ARNm chargées négativement et permettre la sortie de l'ARNm de l'endosome vers le cytosol pour la traduction (38).

Les données confirment que certains LNP contenant des lipides ionisables/cationiques sont hautement inflammatoires et peut-être cytotoxiques (38). Une étude préclinique a montré que l'ARNm complexé avec les LNP a une activité adjuvante (34). Cependant, la nature inflammatoire potentielle de ces LNP n'a pas été évaluée (1  ; 35, 34).

L'inoculation intradermique avec des LNP induit une inflammation robuste. A.
L'inoculation intradermique de LNP a induit des niveaux visibles d'inflammation.
Les photos ont été prises 24 heures après l'injection de PBS ou de LNP.
B.
Des échantillons de peau des souris injectées avec du PBS ou du LNP ont été récoltés aux moments indiqués, analysés par cytométrie de flux et affichés en pourcentages cellulaires.
C. Pourcentage de cellules mortes dans des échantillons de peau naïfs (PBS) ou injectés de LNP récoltés aux moments indiqués. Pour tous les graphiques, les données ont été regroupées à partir de deux expériences distinctes et affichées en pourcentage ± SD. Chaque point représente un animal distinct. Le test t bilatéral de Student a été utilisé pour déterminer la signification entre les échantillons naïfs et expérimentaux. ****p

 lilianeheldkhawam.com

 Commenter

Référencé par :

1 article