22/03/2022 6 articles apar.tv  10 min #204607

L'avocate Me Virginie de Araujo-Recchia raflée chez elle, devant ses enfants, par l'État français

En début d'année, Maître de Araujo-Recchia, en partenariat avec son confrère Jean-Pierre Joseph, et deux autres juristes, ont déposé une plainte devant le doyen des juges d'instruction pour le compte des associations BonSens.org, l'AIMSIB et le Collectif des Maires Résistants à l'encontre des parlementaires ayant validé la loi du 5 août relative à la gestion de crise sanitaire. Ce texte de loi visait à contraindre des millions de professionnels à se soumettre à une thérapie génique expérimentale sous peine de perdre leur emploi. Les associations plaignantes ont été informées que les parlementaires de la Commission Mixte Paritaire (CMP) ont conclu un accord en hors du cadre de la CMP au profit d'intérêts privés en contrepartie de leur vote pour un projet de loi qui viole la Constitution française, le droit international et les règlements des deux Chambres que les Parlementaires sont tenus de respecter.

by  Rrose Sélavy

 22 mars 2022

Aujourd'hui, Me Virginie de Araujo Recchia, admirable défenseur des droits et libertés participant donc aux travaux du Jury citoyen avec Reiner Fuellmich a été raflée chez elle ce matin à l'aube devant ses enfants. Nul ne sait actuellement où elle se trouve ! Embarquer une personne à discrétion sans dire où elle est emmenée est une violation gravissime des droits fondamentaux.

D'après des sources proches du dossier, elle travaillait sur une plainte visant des partis politiques et les agissements de certains de leurs membres, et aurait été emmenée à la DGSI, à Levallois.

Il y a un an, elle avait osé déclarer : « On empêche les gens de travailler, on empêche les gens d'avoir une vie sociale, on isole les personnes depuis plusieurs mois, après leur avoir fait croire que tout irait mieux en portant le masque. » Ce qui n'a pas du arranger ses relations avec l'État.

Elle venait de rendre public son rapport intitulé « Dictature 2020 » accusant le pouvoir de « terrorisme d'État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et crime contre l'humanité ». Ce document entendait constituer la base d'une poursuite pénale contre les membres du gouvernement

Téléchargez le rapport ici de Maître de Araujo-Recchia.

Merci de faire circuler cette information le plus largement possible, la mobilisation de chacun d'entre nous compte !

Extraits de l'entretien

Kernews : Quand on parle de « crimes contre l'humanité », on pense toujours au cliché du dictateur tyrannique qui veut assassiner ses opposants, un groupe ethnique ou religieux. Évidemment, vous ne qualifiez pas Emmanuel Macron de tyran, vous n'accusez pas le gouvernement de vouloir instaurer un régime dictatorial, mais votre analyse explique que les conséquences des mesures prises pour lutter contre la crise sanitaire, sur notre santé physique ou psychique, sont identiques, pour certaines personnes, aux effets de celles instaurées par un régime dictatorial. Quel est votre raisonnement ?

Virginie de Araujo-Recchia : Dans la définition du crime contre l'humanité, notamment ce que l'on appelle le génocide, il n'y a pas uniquement l'atteinte physique, comme tout le monde peut le concevoir, mais également l'atteinte à l'intégrité psychique des personnes. Il y a aussi l'intégrité physique, avec cette histoire de masques obligatoires qui a des conséquences sur la santé, notamment de nos enfants. C'est aussi une mesure qui a des conséquences sur l'intégrité psychique des citoyens. Nous avons aujourd'hui des personnes qui sont en grave danger psychologique, qui font des tentatives de suicide, qui prennent des antidépresseurs, notamment chez les jeunes. Il y a déjà eu des cas de suicides d'entrepreneurs. Il va y avoir des entreprises en liquidation et l'on est en train d'étouffer toute une partie de la population. On empêche les gens de travailler, on empêche les gens d'avoir une vie sociale, on isole les personnes depuis plusieurs mois, après leur avoir fait croire que tout irait mieux en portant le masque. Ce n'est pas du tout le cas et les mesures prises sont de plus en plus liberticides.

Vous évoquez le terme de « génocide » qui peut légitimement choquer de nombreuses personnes, car cela consiste à s'attaquer à une population en fonction de ce qu'elle est : par exemple, les nazis qui voulaient exterminer les juifs parce qu'ils étaient juifs. D'abord, on ne peut pas dire que le gouvernement vise un type spécifique, puisque le confinement concerne tous nos concitoyens. De plus, cette mesure est prise au motif de protéger la population. Que répondez-vous à cela ?

Il y a une définition tout à fait précise : « Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre de faire commettre, à l'encontre des membres de ce groupe l'un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ; soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe. » On peut analyser les mesures, comme beaucoup de gens le disent, comme des erreurs ou des faux pas, sauf que nous avons une technique de manipulation qui est utilisée aujourd'hui à travers certains médias de masse qui sont dans la pensée unique. Lorsque certaines personnes essayent d'avoir un discours différent, elles sont lynchées sur les plateaux. Il y a la censure quasi permanente sur les réseaux sociaux, pour un simple article qui tente de démontrer autre chose que ce que l'on veut faire rentrer dans la tête de la population, donc j'ai un peu de mal à me dire que les choses sont faites de manière innocente aujourd'hui. On a tous le droit à l'erreur, on peut s'être trompé en mars dernier, mais continuer de confiner la population, avec des experts qui demandent que grand-mère dîne à la cuisine le soir de Noël, pour moi, c'est fait sciemment.

Le juriste Yves Laisné affirme qu'il s'agit de tester la réaction de la population face à des mesures répressives et il prend l'exemple du dressage des animaux...

J'invite vos lecteurs à regarder la charte de coercition décrite par Albert Biderman et ils seront surpris de constater les différents points permettant d'affaiblir et faire changer de comportement un être humain. Pour produire un changement de comportement, il faut affaiblir les anciennes attitudes. On parle beaucoup de remise à zéro avec Klaus Schwab qui veut prendre des décisions pour le monde entier, et notamment pour l'Europe, c'est une technique pour changer aussi le comportement des êtres humains. La méthode consiste à isoler, priver la victime de ses soutiens sociaux, de ses capacités à résister, à monopoliser la perception, provoquer la faiblesse et la fatigue, menacer, et récompenser quand on obéit. La lecture de ce tableau est effarante. C'est ce qui est appliqué à la population aujourd'hui. En plus, on joue beaucoup sur les incohérences, avec des règles absurdes, cela paralyse les gens. C'est la technique de la double pensée pour faire en sorte que les gens restent chez eux, ne parlent plus à personne et restent devant leur écran de télévision. On rend les gens dépressifs, puisqu'ils ne voient plus leur avenir. Les gens perdent leur immunité corporelle puisqu'ils ne sortent plus, donc il n'y a plus d'échanges de virus et de bactéries, car il ne faut pas oublier comment l'être humain fonctionne avec l'immunité naturelle. Dès l'âge de six ans, on a des enfants qui passent leurs journées avec des masques, alors que ce sont des nids à microbes. Les enfants ne voient même plus le visage de leur instituteur. L'exécutif ne peut pas ignorer cela. Le port du masque, c'est fait pour se protéger, même les professionnels ont des problèmes de migraines. Aujourd'hui, tout le monde doit travailler avec un masque sur le visage, c'est aberrant. Maintenant, on nous parle des vaccins... J'ai du mal à croire que tout cela soit fait de manière innocente et sans volonté de porter atteinte à la santé des citoyens.

Dans votre rapport, vous évoquez la violation des droits du peuple à travers des atteintes à la liberté individuelle, celle de circuler, la volonté de mettre à l'isolement des citoyens, une violation du principe général de mener une vie familiale normale et de la liberté d'entreprendre. Pourtant, cela se passe ainsi dans tous les pays et l'on ne peut pas dire que le monde entier soit en train de renverser la table...

Nous n'avons pas une vision tout à fait objective de la situation. Il s'agit uniquement de certains pays et je trouve assez étrange que les pays qui n'utilisent pas les traitements que l'on connaît ont mis en place des mesures liberticides, notamment la France, l'Angleterre ou l'Australie. Mais, l'Inde, la Russie ou la Chine, qui sont des grands pays, ont des traitements qui sont à la disposition de leurs citoyens. Donc, on est loin d'être en phase avec le reste du monde. C'est ce que l'on veut nous faire croire. Il y a beaucoup de pays qui soignent leur population. En ce qui concerne la positivité des tests PCR, il y a un gros souci : ils sont remis en cause dans différents pays, y compris en Floride, donc ces mesures ne concernent pas le monde entier. En France, on refuse au médecin la liberté de prescrire, il faut vraiment garder cela à l'esprit.

On ne peut quand même pas suspecter Emmanuel Macron, Jean Castex ou Édouard Philippe de vouloir le malheur de leurs concitoyens ! Peut-on penser qu'Emmanuel Macron essaye de bien faire et que votre analyse, sur le thème du génocide et du crime contre l'humanité, est susceptible de l'amener à réfléchir et à revoir sa position ? Peut-être ne se rend-il pas compte de là où on l'a emmené ?

Quand on veut bien faire, on prend ce rapport, on l'analyse et on en tire les conséquences. On arrête de confiner, on arrête de bâillonner et on relâche tout le monde. On accepte de proposer les traitements disponibles, on arrête de harceler les médecins pour qu'ils ne donnent pas différentes molécules. Et tout ira bien. Si ces personnes se sentent agressées par mon rapport, qu'elles se tournent vers des scientifiques qui n'ont pas de conflits d'intérêts, au lieu de parler au Conseil scientifique, on dit cela depuis des mois, donc, qu'elles en tirent les conséquences en relâchant la population.

Si je me mets à la place d'un ministre, lorsque je confine, je reçois des plaintes parce que je ne le fais pas assez, au prétexte que je mets en danger la vie de mes concitoyens, mais si je confine trop, d'autres, comme vous, viendront me dire que c'est excessif et se plaindront également... On ne sait plus quoi faire...

Quand on est aux responsabilités, on peut très bien expliquer les choses. Les Français sont capables de comprendre. Avec l'histoire des masques, si l'on explique que les masques sont inutiles, parce que c'est dangereux, je pense que les Français seront capables de comprendre et qu'ils ne sont pas en mesure de porter plainte puisqu'il n'y a aucune étude scientifique pour dire que le masque est quelque chose d'utile. Je peux vous en présenter une quinzaine affirmant le contraire. Dans une mesure générale comme celle-ci, on ne se demande même pas si la personne a un handicap ou une malformation du nez, on ne fait pas du tout attention au cas par cas. En plus, on nous dit que l'on va peut-être continuer à porter cela pendant plusieurs années ! Il n'est jamais trop tard pour bien faire et, si le gouvernement lit mon rapport, avec une quinzaine d'études scientifiques en lien, il est temps de supprimer cette mesure. C'est la même chose pour le confinement. C'est une mesure lourde, on joue avec la population, on nous parle maintenant de couvre-feu, c'est au doigt levé.

Enfin, votre rapport parle de dictature. Ce terme n'est-il pas exagéré ?

Les citoyens peuvent se faire une opinion en vérifiant si, aujourd'hui, il y a une séparation des pouvoirs, ou si tous les pouvoirs sont phagocytés entre les mains de quelques personnes. Le Parlement ne peut pas fonctionner, ne peut pas aller à l'encontre des mesures qui sont prises, les maires ne peuvent rien faire alors qu'ils ont été élus, ce sont les préfets qui prennent des décisions, tout est en vase clos entre les préfectures et les ARS. Le Conseil constitutionnel va maintenant dans le sens des mesures de l'État. Il n'y a plus de contre-pouvoir. On dit que la presse est un contre-pouvoir, ce n'est pas le cas aujourd'hui, en raison des financements et des questions de corruption. Plus personne ne peut faire son travail aujourd'hui. Lorsque les citoyens n'ont plus leur mot à dire, nous sommes dans une dictature.

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DR

Le 22 mars dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia ainsi que six autres personnes ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d'une enquête liée à Rémy Daillet, mis en examen le 22 octobre dernier pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle". Elle était l'avocate de cet homme, connu pour ses appels insurrectionnels visant à renverser le gouvernement. Elle ressort de garde à vue le 24 mars et nous confie aujourd'hui son ressenti à travers un communiqué officiel, dans lequel elle souligne que "rien ne lui est reproché".

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Dans nos démocraties de théâtre, on arrête même les avocats Virginie est actuellement en garde à vue. Son crime ? Sans doute qu'appartenir au collectif d'avocats internationaux avec Maître Reiner Fuellmich peut être une « raison » Sa participation au Grand Jury pour dénoncer les tests bidons et les injections peut aussi être un facteur aggravant. Pour l'instant nous n'en voyons pas d'autres Mais par contre ce que nous constatons, c'est encore une preuve que nous ne vivons pas dans un Etat de droit

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