05/04/2022 reseauinternational.net  3 min #205553

La phase finale de la bataille de Marioupol

L'Ukraine perd définitivement tout accès à la mer d'Azov

par Strategika 51.

La ville de Marioupol est perdue à jamais et ne sera plus jamais ukrainienne. L'Ukraine a définitivement perdu tout accès à la mer d'Azov.

Cet achèvement stratégique est l'œuvre d'une unité spéciale de la police tchétchène qui combat aux côtés des Marines russes et des miliciens de Donetsk. L'expérience en matière de guerre urbaine des Tchétchènes a été déterminante face aux forces spéciales britanniques.

267 militaires ukrainiens appartenant au 503e bataillon des Marines se sont rendus aux forces tchétchènes. Le commandant de cette unité d'élite, Pavel Sbitov, un natif de Lviv et un vétéran de la guerre au Donbass depuis 2014, a été neutralisé le 03/04/2022 par les Tchétchènes.

Les plus radicaux ont fui avec des bus remplis de civils vers une installation industrielle pour les utiliser comme des boucliers humains.

Tous les fournisseurs occidentaux d'imagerie satellite ont fourni gratuitement et en temps réel des données et des informations collectées par les satellites-espions et d'observation de l'ensemble des pays de l'OTAN aux forces ukrainiennes à Marioupol. Celles-ci étaient conseillées par des forces spéciales dont les plus acharnées sont celle du Royaume-Uni.

Le président turc Tayep Reçep Erdogan a utilisé son influence à Moscou pour demander à la Russie l'exfiltration des « étrangers » bloqués à Marioupol. En réalité, la Turquie a été mandatée par Washington et Londres pour agir auprès de Moscou afin de permettre l'exfiltration des agents de liaison des services spéciaux et des unités de combat constitués de membres des forces spéciales de plusieurs pays et des mercenaires (Géorgie, Maroc, Kudistan irakien, Pologne, etc.) portant l'uniforme ukrainien.

Les forces tchétchènes sont les seules parmi l'ensemble des unités militaires russes qui n'avaient aucune illusion sur les méthodes barbares du SBU ukrainien et de son mentor britannique (Mi-6) qu'ils désignent sous le terme de shaitans (diables). Les autres militaires russes avaient fait preuve d'un certain sentimentalisme et croyaient que les Ukrainiens étaient des Slaves comme eux et qu'ils se plaignaient de leur régime imposé par l'étranger. Ils se sont lourdement trompés. Les prisonniers de guerre russes qui ont eu le malheur de tomber entre les mains de l'ennemi ont tous été massacrés sans aucune forme de procès. Les blessés sont achevés après mutilations.

La tuerie de Bucha porte tous les signes distinctifs des opérations clandestines de l'empire et plus précisément du Mi-6 britannique. Bucha est la suite logique du faux massacre de Timisoara en 1989 (un cimetière où on avait déterrés des cadavres de morts), de la fausse infirmière koweitienne, en réalité fille de l'ambassadeur du Koweït aux États-Unis, témoignant sur un prétendu massacre de bébés par les soldats irakiens en 1990, de la petite fiole remplie d'un liquide douteux brandie par Colin Powell au Conseil de sécurité des Nations unies en 2002, des troupes libyennes galvanisées au viagra en 2011, du faux génocide au Soudan et qui a disparu aussitôt que Khartoum a cédé son territoire, de la fausse répression des Ouïghours en Chine, etc. Le modus operandi des médias de guerre n'a pas changé d'un iota : des cris d'hystérie en chorus et Joe Biden qui tente de crier plus fort pour sauver son fils Hunter et son frère, compromis dans de très graves affaires de corruption en lien avec la dispersion de pathogènes dans plusieurs régions du monde. Il faut être totalement naïf ou complètement amnésique pour croire un seul mot de ce que débite la narration orientée et thématisée de l'infoguerre atlantiste qui agit toujours en meute et selon un seul mot d'ordre.

L'histoire retiendra les deux poids deux mesures d'un empire totalement hypocrite, amoral et profondément corrompu.

source :  Strategika 51

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