Netanyahou a annoncé la mort de Sinwar, tué à Rafah, mais a tenu à préciser qu'il ne s'agissait pas de la fin de la guerre.
Cette guerre à laquelle il tient tant pour assoir son pouvoir et remplir ses objectifs annexionnistes.
« Aujourd'hui, le mal a pris un coup dur - la mission qui nous attend n'est toujours pas terminée », a-t-il déclaré, pour ceux qui se seraient imaginé que les dirigeants israéliens avait pour but l'élimination des chefs du Hamas et non le génocide de la population palestinienne de Gaza.
D'ailleurs après cet assassinat, les bombardements israéliens ont continué avec la même intensité sur toute la bande de Gaza ce vendredi matin.
Le président Biden a félicité Netanyahou, on n'en attendait pas moins de lui et Antony Blinken, le secrétaire d'État américain, soutien inconditionnel au génocide israélien à Gaza, doit se rendre en Israël dans les prochains jours.
CAPJPO-Europalestine