10/05/2025 francesoir.fr  20min #277478

 Comprendre les frameworks, outils pour structurer, influencer et coordonner- partie I

Résister aux frameworks : préserver la liberté, la créativité, et la vérité (partie Iv)

Xavier Azalbert, France-Soir

Résister aux frameworks : préserver la liberté, la créativité, et la vérité (partie IV)

Résumé : dans un monde où des frameworks normatifs – algorithmes, institutions, médias – tissent des fils barbelés pour capturer la vérité et étouffer la liberté, une vague humaine s'élève. L'esprit critique, arme essentielle, défie les narratifs imposés par la vérification et le questionnement, brisant les bulles informationnelles.

Aux États-Unis, Jay Bhattacharya au NIH, le DOJ, et RFK Jr. luttent pour libérer la science des griffes pharmaceutiques, tandis que Science Guardians protège les dissidents du harcèlement orchestré par des outils comme PubPeer et DISARM.

En France, France-Soir, Alain Houpert, BonSens.org et des citoyens dénoncent la censure institutionnelle, de l'opacité politique aux notes sanitaires biaisées. La Floride, en criminalisant la géoingénierie, montre que les institutions peuvent servir le peuple. Enfin, la créativité non linéaire, célébrée comme un chaos magnifique, devient une force de résistance, brisant les cadres pour faire éclater un kaléidoscope de vérités.

L'appel est clair : vérifiez, questionnez, créez, résistez – l'information appartient au peuple, pas aux puissants.

Article

Cet article est le quatrième volet d'une série dédiée aux frameworks, ces cadres méthodologiques qui structurent nos sociétés, nos pensées et nos décisions. Dans le premier article, nous avons  retracé leur histoire. Le second a exploré  la tension entre l'unicité humaine – son désordre, sa pluridisciplinarité, sa « folie » – et la « normatisation » imposée par ces cadres, qui menacent notre créativité et notre non-linéarité. Le troisième volet s'est penché sur les  usages modernes des frameworks dans la gestion de l'information qui redéfinissent notre rapport à la vérité et à la prise de décision. Ce dernier volet évoque comment résister aux frameworks en préservant la liberté, la créativité et la vérité des dérives et des captures avec des exemples actuels.

Résister aux frameworks - partie 4 - La vague humaine

La vague contre les fils barbelés

Imaginez un océan d'information, où les vagues de données s'entrechoquent, certaines limpides, d'autres troubles, charriant vérités et mensonges dans un même tumulte. Dans ce chaos, des cadres invisibles – algorithmes, institutions, revues scientifiques – tissent des filets pour capturer les esprits, imposant des narratifs uniformes qui étouffent la pluralité. Ces fils barbelés, qu'ils prennent la forme de campagnes de désinformation institutionnelle, de censure médiatique, ou de harcèlement en ligne, cherchent à normer la pensée, à museler la dissension, à éteindre la flamme de la créativité humaine. Pourtant, une vague se lève : des individus, des communautés, des institutions osent défier ces cadres, brisant les chaînes pour redonner à l'information son pouvoir émancipateur. De Jay Bhattacharya réformant la science au NIH à la Floride criminalisant la géo ingénierie, en passant par les combats judiciaires et citoyens en France, un mouvement global s'affirme, porté par l'esprit critique, la non-linéarité, et une quête obstinée de vérité.

Nous plongeons ici dans l'art de la résistance. Comment contrer la capture scientifique, le harcèlement, la censure, et la désinformation institutionnelle ? Comment préserver la créativité humaine face à des systèmes qui cherchent à la linéariser ? À travers des exemples récents, des États-Unis à la France, nous tracerons un chemin pour transformer l'information en un kaléidoscope de vérités, où chaque éclat reflète la diversité des perspectives humaines. Car l'humain, ce chaos magnifique, est une vague capable de tout submerger, si seulement il ose déferler.

L'esprit critique : un rempart contre les narratifs imposés

Dans un monde où les narratifs s'imposent comme des décrets, l'esprit critique est un bouclier. Les institutions, les algorithmes, et les médias dominants façonnent des vérités préfabriquées, exploitant nos réflexes pour nous aligner. Mais ce bouclier peut être forgé, aiguisé, brandi.

Résister, c'est refuser de plier face à ces pressions, en s'armant de faits, de questions, et d'une curiosité insatiable.

Résister aux frameworks - partie 4 - Garder l'esprit critique

La vérification est la première arme. Plutôt que d'avaler les rapports institutionnels, il s'agit de remonter aux sources : données brutes, études originales, contrats publics. Quand Robert F. Kennedy Jr. exige des essais cliniques avec groupes placebo pour les vaccins, il incarne cette démarche : disséquer les chiffres, pas les conclusions des industriels. En France, des citoyens ont scruté les rapports de Santé publique France, révélant des incohérences sur les effets secondaires vaccinaux, ou analysé un sondage montrant que  83 % des Français se sentent ignorés par leurs dirigeants. Ces efforts montrent que la vérité se conquiert par l'analyse.

Questionner est tout aussi crucial. Une posture socratique – douter, interroger, défier – perce les consensus. Quand une institution affirme qu'une politique est « la seule solution », demandez : sur quelles bases ? Qui profite ? Si un narratif est qualifié de « désinformation », exigez des preuves précises : quelle affirmation est fausse ? En restant calme et factuel, vous retournez le piège contre l'accusateur, exposant ses failles.

Les algorithmes, qui amplifient les narratifs normés, peuvent être contournés. Des outils numériques – plateformes décentralisées comme Mastodon, navigateurs anti-censure comme Tor – permettent d'accéder à des perspectives alternatives. Partager des analyses critiques via des canaux parallèle comme Telegram, loin des filtres des GAFAM, est une tactique efficace. Ces pratiques, accessibles à tous, brisent les bulles informationnelles, renforçant l'autonomie intellectuelle.

Cette résistance individuelle est une nécessité. Chaque esprit critique qui s'élève fragilise les narratifs imposés, comme une vague qui érode un mur.

En vérifiant, questionnant, et contournant les filtres, nous reprenons le contrôle de l'information, transformant un outil de capture en un levier d'émancipation.

Restaurer l'intégrité scientifique : la résistance américaine

La science, pilier de la vérité, est devenue un champ de bataille. Les revues scientifiques, influencées par des intérêts pharmaceutiques et technologiques, filtrent les recherches pour aligner les conclusions sur des agendas. Des études sont rétractées sans justification claire, des chercheurs dissidents sont marginalisés, des narratifs normés s'imposent comme des dogmes. Aux États-Unis, une résistance s'organise, portée par des figures et des institutions qui refusent de plier. De  Jay Bhattacharya à  Robert F. Kennedy Jr.,  en passant par l'enquête du Département de la Justice,  un vent de réforme souffle, redonnant à la science sa rigueur et sa liberté.

Résister aux frameworks - partie 4 - Des exemples concrets aux USA

  • Jay Bhattacharya, nommé à la tête du NIH en 2025, incarne cette lutte. Dissident de la première heure, il a défié les narratifs sur les confinements avec la Great Barrington Declaration, prônant des approches ciblées. Harcelé, censuré, il a tenu bon, s'appuyant sur des données. Sa mission au NIH est claire : restaurer la liberté académique, ouvrir les débats, et contrer la censure scientifique. En réformant les politiques de financement et de publication, Bhattacharya veut briser la capture des institutions par les intérêts industriels, permettant aux voix divergentes de s'exprimer.
  • Le Département de la Justice (DOJ) renforce ce combat. En 2025, il  enquête sur les revues scientifiques, ciblant les biais de publication et les conflits d'intérêts. Des études révèlent que des articles critiques, notamment sur les vaccins, sont rejetés ou rétractés sous pression. Cette investigation impose des standards de transparence : publication des données brutes, déclaration des financements, audits indépendants. C'est une gifle aux cadres normatifs qui ont transformé la science en outil de pouvoir.
  • Robert F. Kennedy Jr. complète ce tableau. En  plaidant pour des essais cliniques rigoureux avec groupes placebo, il défie l'industrie pharmaceutique, accusée de manipuler les résultats. Sa proposition oblige les autorités à revoir les normes des tests vaccinaux. Ces initiatives – Bhattacharya, DOJ, RFK Jr. – valorisent la dissension, refusant les narratifs qui étouffent la recherche. Elles tracent une voie pour une science libérée des fils barbelés, où la vérité naît du débat, non du consensus imposé.
  • La résistance américaine ne s'arrête pas là. En 2025,  la suspension des activités dans un laboratoire de haute sécurité révèle comment des frameworks technocratiques ont pu empêcher le débat contradictoire. Cette décision, imposée par Jay Bhattacharya, illustre comment la science capturée par des impératifs politiques ou économiques, doit totalement être libérée et surtout que la transparence doit être faite pour les citoyens.
  • Dans le même temps, un décret signé par  Donald Trump le 6 mai 2025 interdit le financement fédéral de la recherche sur le gain de fonction, une mesure attendue, mais controversée qui répond à des craintes légitimes sur les risques de bioterrorisme. Si ce décret peut être vu comme une restriction, il met aussi en lumière les dérives de l'opacité de certains frameworks scientifiques, où des recherches risquées sont menées sans débat public.
  • Enfin, une étude récente, marginalisée par les institutions, montrent  une augmentation paradoxale des décès liés au COVID-19 malgré la vaccination, un scandale qui souligne l'urgence de libérer la science des narratifs normés et captifs d'intérêts financiers opaques Ces initiatives et révélations – de Bhattacharya au DOJ, en passant par RFK Jr., Trump, et les chercheurs indépendants – montrent que la dissension est une force vitale pour restaurer l'intégrité scientifique, brisant les chaînes des cadres oppressifs.

Contrer le harcèlement et la fraude :  Science Guardians vs  PubPeer

Les dissidents affrontent un ennemi insidieux : le harcèlement. Des réseaux coordonnés ciblent ceux qui défient les narratifs normés, utilisant insultes, menaces, et accusations de fraude pour les réduire au silence. Ces campagnes, amplifiées par des plateformes comme  PubPeer, s'alignent souvent sur des cadres comme DISARM, transformant des outils d'intégrité en armes de désinformation. Mais, des résistants, comme BonSens.org ou  Science Guardians, ripostent, exposant les fraudes académiques et protégeant les victimes, forgeant un rempart éthique contre ces attaques.

Science Guardians s'impose comme une force de vérité. En 2025, ils révèlent une fraude académique majeure, où des chercheurs sont harcélés, des réseaux sociaux instrumentalisés pour soutenir un narratif pharmaceutique. Leur méthode – documentation rigoureuse, confidentialité et soutien aux victimes – incarne une résistance éthique. En protégeant des scientifiques harcelés, ils brisent le cycle de la peur, permettant aux voix critiques de s'élever.

Résister aux frameworks - partie 4 - ScienceGuardians offre comme un bouclier

PubPeer, conçue pour promouvoir l'intégrité via des commentaires post-publication, est  devenue un terrain de chasse. Des commentaires anonymes, souvent malveillants, ciblent les chercheurs qui s'écartent des narratifs dominants. Ces campagnes, en synergie avec DISARM, qualifient les dissidents de « fraudeurs » pour les discréditer. Cette pollution informationnelle obscurcit la vérité, transformant un espace de débat en tribunal virtuel.

Ce harcèlement a un coût humain. Les scientifiques ciblés, comme ceux soutenus par BonSens.org ou Science Guardians, subissent stress, isolement, et parfois abandonnent leurs recherches. Les équipes de médias indépendants, comme France-Soir, affrontent des pressions similaires, menacées par la perte de ressources. Pour résister, il faut du soutien : réseaux de solidarité et espaces sécurisés pour s'exprimer. Ces stratégies, en renforçant la résilience, transforment les victimes en combattants.

La stratégie est claire : documenter, exposer, résister. Archiver les attaques fournit des preuves pour des actions judiciaires. Exposer les biais des harceleurs, comme leurs liens industriels, désamorce leur crédibilité. Créer des réseaux de solidarité protège les victimes.

Cette résistance transforme le harcèlement en carburant pour la dissension, brisant les chaînes de la peur.

Défier la censure institutionnelle : le combat en France

En France, la censure institutionnelle frappe fort, visant à museler les voix critiques par la désinformation, la concurrence déloyale, et l'opacité politique. Ces fils barbelés, tissés par des institutions et des médias dominants, cherchent à imposer une vérité unique. Pourtant, des résistants – médias, citoyens, parlementaires – brisent ce miroir déformant, révélant les failles des narratifs normés.

L'affaire de  l'agrément de France-Soir est un cas d'école. En août 2024, le ministère de la Culture retire son agrément de presse en ligne, sous prétexte de « manquements déontologiques » et de « danger pour l'intérêt général ». France-Soir, qui, entre autres, a dénoncé l'opacité des contrats vaccinaux, l'instrumentalisation de la science sur les traitements précoces, y voit une censure politique. En allant jusqu'au Conseil d'État, le média riposte, transformant une attaque en combat pour la liberté d'expression, et pourtant cela n'a pas suffi pour l'instant. Mais, cela a permis de mettre à jour de nombreux dysfonctionnements au ministère de la Culture, des mensonges et manquement de la Direction Générale de la Santé. Cette bataille juridique illustre une stratégie clé : utiliser le droit pour défier les institutions. Et être patient.

La  résolution du sénateur Alain Houpert, déposée le 22 avril 2025, incarne une autre forme de résistance. Face à une crise de confiance –  83 % des Français estiment que leurs dirigeants ignorent leur volonté, selon un sondage MIS Group – Houpert propose un contrôle parlementaire renforcé sur les engagements militaires et financiers en Ukraine. Inspirée par une résolution citoyenne de 21 500 signataires, dont 68 anciens militaires, cette initiative exige le respect des articles 35 et 53 de la Constitution, dénonçant les décisions unilatérales de l'exécutif. En amplifiant la voix du peuple, Houpert défie la technocratie, montrant que la souveraineté appartient aux citoyens, non aux élites.

Le  dénigrement par Le Monde, qualifiant France-Soir d'« outil de désinformation » et de « blog complotiste » en août 2024, relève d'une concurrence déloyale visant à marginaliser les voix critiques. France-Soir répond en exposant les biais du Monde et en appelant à un soutien citoyen, transformant l'attaque en tremplin pour la pluralité.

La désinformation institutionnelle atteint son paroxysme avec la note de la Direction générale de la santé (DGS), signée par Grégory Emery. Cette note, justifiant des politiques sanitaires, cite une étude rétractée, un scandale révélé par des chercheurs indépendants. La réponse ? Exposer ces failles publiquement et exiger la transparence des sources.

La désinformation institutionnelle ne s'arrête pas là. En avril 2025,  le ministre de la Santé Yannick Neuder se lance dans une lutte contre la désinformation alors que dans le même temps, Santé Publique France désinforme le public sur la vaccination et frôle ainsi la tromperie. En minimisant des données contraires au narratif officiel (ici en prenant des données anciennes et incomplètes de 2023), il illustre comment les frameworks institutionnels manipulent l'information pour contrôler les esprits, étouffant la vérité sous un vernis d'autorité.

À cela s'ajoute une autre forme de censure médiatique :  l'AFP, dans une dépêche de 2025, diffuse de fausses informations sur le Général Paul Pellizzari, affirmant à tort sa radiation de l'armée. Il faudra  15 droits de réponse et une mise en demeure de France-Soir pour que l'AFP corrige sa dépêche, un cas emblématique de l'usage des frameworks médiatiques, comme DISARM, pour discréditer les voix dissidentes. AFP désarmée dans sa dépêche erronée, les médias qui ont repris cette dépêche sans vérifier sont contractuellement forcés de modifier leur propre article. Une réaction en chaine.

Enfin, l'opacité politique atteint son paroxysme avec Alexis Kohler, ancien secrétaire général de l'Élysée, qui  refuse en avril 2025 de comparaître devant une commission d'enquêtesur l'affaire Nestlé Waters. Une plainte contre X pour subornation de témoin est déposée, dénonçant des décisions à géométrie variable et l'impunité des élites technocratiques qui se croient au-dessus des lois. Ces combats, contre l'AFP, contre Neuder, et contre Kohler, montrent que la résistance, qu'elle soit médiatique, citoyenne, ou juridique, est essentielle pour briser les fils barbelés de la censure institutionnelle.

Les citoyens jouent un rôle crucial. Des pétitions contre la censure de France-Soir, des manifestations pour la transparence sanitaire, et des enquêtes collaboratives sur les notes de la DGS montrent que le public peut défier les institutions. Ces mouvements, souvent nés sur les réseaux sociaux, transforment la colère en action, exigeant une information pluraliste.

Ces actions – judiciaires, politiques, collectives – brisent les narratifs officiels, rappelant que la vérité naît du courage de défier.

Réformer les institutions : la voie de la Floride

Les institutions, souvent complices des cadres normatifs, peuvent devenir des phares de résistance. Quand elles choisissent la transparence et la pluralité, elles brisent les chaînes de la normatisation. La Floride,  avec sa loi contre la géoingénierie, incarne cette possibilité, montrant que des réformes courageuses peuvent protéger l'intérêt public.

En 2025, la Floride criminalise les modifications météorologiques illégales, répondant aux préoccupations sur les impacts environnementaux. Cette loi, portée par des législateurs à l'écoute des citoyens, défie les cadres technocratiques qui occultent ces pratiques. Elle envoie un message : la vérité doit être accessible, pas enfouie sous des narratifs normés.

Ce modèle peut être élargi. La transparence – publication des données brutes – démantèle les narratifs opaques. Régulerles géants technologiques limite la censure. L'éducation, inspirée par des pédagogies non linéaires, cultive l'esprit critique. Les réformes du NIH sous Bhattacharya, axées sur la liberté académique, montrent la voie : une institution peut redevenir un espace de débat.

Ces changements, bien que difficiles, transforment les institutions en alliées de la vérité, libérant l'information de ses chaînes.

La créativité comme résistance : la force de la non-linéarité

Face aux cadres normatifs, qui imposent des schémas linéaires, la créativité est une vague indomptable. La non-linéarité – cette capacité à zigzaguer entre disciplines, à défier les conventions – est l'essence de l'humain. En la cultivant, nous résistons à l'apathie et à la perte de curiosité. C'est dans ce chaos magnifique que la vérité trouve son éclat.

L'interdisciplinarité brise les silos. Des scientifiques collaborant avec des artistes pour dénoncer la géoingénierie montrent que la vérité naît à la croisée des regards. Les espaces créatifs – collectifs scientifiques, plateformes collaboratives – sont des laboratoires de dissension, où les idées atypiques prospèrent. Ils contrastent avec les algorithmes, incapables de reproduire l'intuition humaine.

En privilégiant cette intuition, nous résistons à l'automatisation de la pensée.
Résister aux frameworks - partie 4 : la créativité comme un kaléidoscope

La créativité est un acte de courage. Chaque projet qui défie les normes – un article exposant la censure, une œuvre dénonçant la désinformation – est une vague qui érode les cadres oppressifs.

En cultivant cette force, nous réinventons un monde où l'information, libérée, devient un reflet de notre diversité.

Un Kaléidoscope de Vérités

Les cadres normatifs tissent des fils barbelés pour capturer la vérité, imposant des narratifs qui étouffent la pluralité. Mais la vague humaine, portée par l'esprit critique, la dissension, et la créativité, peut tout submerger. Aux États-Unis, Jay Bhattacharya, le DOJ, et RFK Jr. brisent la capture scientifique. Science Guardians et la critique de PubPeer défient le harcèlement. En France, la lutte de France-Soir, la résolution d'Alain Houpert, et la dénonciation des notes biaisées de la DGS exposent les failles des puissants. La Floride, en criminalisant la géoingénierie, montre que les institutions peuvent servir le peuple. Et partout, la non-linéarité humaine éclaire le chemin.

L'urgence est là : sans résistance, ces cadres figeront la vérité dans une matrice rigide. Mais chaque geste compte. Vérifiez une source, soutenez un média indépendant, questionnez un narratif, créez un espace de débat, défendez un dissident.

Ensemble, ces actes forment un kaléidoscope de vérités, où chaque éclat reflète la diversité de l'humain.

L'information n'est pas un décret : c'est un pouvoir qui appartient au peuple. Soyons la vague qui le libère.

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