16/01/2015 4 articles lesmoutonsenrages.fr  5min #94652

 Charlie Hebdo: Plusieurs détails troublants annoncent un false flag

Black Out pratiquement total sur Helric Fredou, le policier qui enquêtait sur l'attentat contre Charlie Hebdo

On en a parlé dès le 08 Janvier,  le commissaire Helric Fredou qui enquêtait sur Charlie Hebdo s'est suicidé dans un grand silence, combien de médias en ont parlé? Une chaine de télévision a-t-elle consacré quelques minutes à ce commissaire? Étrangement non, rien, alors que de nombreux médias à travers la planète ont mis en avant ce suicide comme étant un fait important, comme le journal américain NSNBC pour ne citer que lui, dont la traduction de l'article vous est proposée ici. Il suffit de chercher le nom de ce commissaire dans un moteur de recherche pour bien s'en rendre compte...
Le commissaire de police Helric Fredou, numéro deux du Service régional de la police judiciaire de France (JP), à Limoges (Haute-Vienne), s'est suicidé dans la nuit de mercredi à jeudi sur son lieu de travail.

Le Commissaire Helric Fredou enquêtait sur l'attaque terroriste contre le journal  Charlie Hebdo.

Les frères Cherif et Saïd Kouachi qui ont été abattu par la police le 9 Janvier, ont passé leurs années de lycée dans la région de Limoges. Nul doute que c'était l'objet de l'enquête de la police de Helric Fredou. Pourtant, la police et les médias affirment que ce même mercredi, il a participé à une réunion avec la famille de l'une des victimes Charlie Hebdo.

Le mercredi, dans le cadre de l'enquête sur l'affaire  Charlie Hebdo, il a dépêché une équipe de fonctionnaires de police sous sa juridiction. Il aurait attendu le retour de son équipe pour un débriefing. Immédiatement après le débriefing, il a commencé à rédiger de son rapport de police.

Selon les rapports des médias, il s'est suicidé à environ 1 heures du matin le jeudi, quelques heures après le débriefing. Il a utilisé son arme de police, un SIG-Sauer.
Au moment de sa mort, la police a prétendu ne pas connaître la raison de son suicide présumé. Cela s'est reflété dans leurs déclarations officielles aux médias: «On ne connait pas à ce moment les raisons de ses actions ».

Cependant, la police a ensuite déclaré à la presse que Fredou était «déprimé et surchargés de travail. Pour tout agent de l'application des lois en France, il serait assez étrange que quelqu'un souhaite manquer le plus grand événement unique terroriste du siècle.  (Wire 21e siècle,)

« Une autopsie a été pratiquée à l'Hôpital de l'Université de Limoges,  « confirmant le suicide».

Il y a eu un black-out total nouvelles.

Les médias français ont décidé ou ont été chargé de ne pas couvrir l'incident. Pas de nouvelles? Voilà pour le « Je suis Charlie » et « la liberté d'expression » dans le journalisme.

De même, les médias occidentaux, y compris tous les services d'information majeurs (AP, AFP, Reuters, Deutsche Welle, etc.) n'ont pas couvert la question.

 Un rapport isolée dans Le Parisien présente l'acte de suicide comme étant totalement sans rapport avec l'enquête autour de  Charlie Hebdo.

Bien que décrit comme étant dépressif et souffrant d'un épuisement professionnel, les rapports de police indiquent que le suicide de Helric Fredou était totalement inattendu.

S'est-il réellement suicidé ou a-t-il été suicidé?
Son rapport a-t-il été publié?

Ce sont des questions pour les journalistes français. Ce est ce qu'on appelle le journalisme d'investigation. Ou est-ce pure et simple censure des médias?

Source:  nsnbc.me, traduction Les moutons enragés

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