Après que nos médias aient annoncé la reconnaissance par la Russie de la présidente autoprclamée ce qui est bele et bien de la désinformation dont ces médias sont hélas coutumiers, voici la déclaration officielle. La question est de savoir pourquoi la presse françaisee, européenne et etasunienne en général a py ainsi sciemment diffuser des fausses nouvelles probablement dans le seul but de donner de la légitimité à un coup d'Etat, comme l'a fait avezc vassalité et en viom de tous principes démocratiques et respect de lois internationales l'UE (note de danielle Bleitrach)
Nous traduisons ci-dessous la déclaration intégrale de Serguéi Riabkov, vice ministre des relations étrangères de la Fédération de Russie. Le diplomate russe insiste sur la dimension putchiste des évènements en Bolivie.
« Nous sommes au courant du fait que la deuxième vice-présidente du Sénat bolivien, Jeanine Añez, a assumé les fonctions de présidente intérimaire de la Bolivie. Nous partons du principe que la nomination et, ce qui est fondamental, la légitimité d'un chef d'État doivent être en accord avec les normes législatives de la Constitution nationale, contribuer à l'union et non provoquer la division de la nation.
L'élection des dirigeants est une question de souveraineté du pays et de son peuple. Nous sommes préoccupés par le fait que l'évolution des événements précédents a été caractérisée par des éléments substantiels de COUP D'ÉTAT. Le Sénat lui-même n'a pas pu réunir le quorum pour élire Mme Jeanine Añez à sa présidence. En conséquence, sa décision de diriger la nation est plutôt basée sur son interprétation des clauses de la Constitution.
En même temps, si nous partons de la situation réelle en Bolivie, il est entendu que Mme Jeanine Añez sera perçue comme un dirigeant de la Bolivie jusqu'à ce que la question de l'élection du nouveau président soit réglée. La question de la reconnaître ou de ne pas la reconnaître à ce titre ne se pose pas.
Aujourd'hui, la Bolivie a besoin de paix et d'un dialogue de paix inclusif. Il est nécessaire de rétablir le fonctionnement des institutions publiques dans le cadre constitutionnel. Nous espérons que tous les membres de la communauté internationale, tant en Amérique latine qu'ailleurs, adopteront également une attitude responsable.
La Russie est intéressée par une Amérique latine politiquement et économiquement stable, y compris la Bolivie, avec laquelle nous sommes liés par des relations étroites d'amitié et de coopération mutuellement bénéfiques ».
FIN DE LA DÉCLARATION