par Paul Derogis
80 ans après la Libération, la parole se libère dans les campagnes bretonnes.
Pendant 80 ans, Aimée Dupré a préféré garder le silence sur le viol de sa mère en 1944.
À l'approche des célébrations du Débarquement des troupes alliées en France, elle ne veut plus se taire et raconte le viol dont elle a été victime, commis par deux soldats américains, un «fait de guerre».