21/09/2019 socialnetwork.ovh  16 min #161964

La théorie du grand remplacement (du système)

L'Alpha et l'Oméga du système social du futur

Bon, reprenons depuis le début (je fais ça toute ma vie). Des fois quand on fait une remarque du genre "Hé mais pourquoi ne pas faire tel truc simple et logique qui résout tout ?" et que personne ne nous répond, il y a deux hypothèses au fait que les paroles ne soient suivies d'aucun effet : soit ce qu'on dit est stupide car en réalité les choses sont plus complexes, et en ne disant rien les gens restent polis, soit ce qu'on dit les dépasse, et en ne répondant rien ils ne s'engagent pas. Et toute ma vie, dès l'école primaire, j'ai toujours été confronté à ça, à me demander si ce que j'avais dit était stupide, et à chercher à mieux l'expliquer. J'espère seulement que la répétition des mêmes idées depuis des années ne bourre pas le papier dans la photocopieuse ("créer un blocage").
Mais maintenant ça va mieux, la question du "système" a me semble-t-il été entendu. C'est une question qui s'est hissée dans la préoccupation publique. Elle subsiste car elle soulève un grand nombre de choses irrésolues. Par contre ce que je n'entends toujours pas, ce sont les solutions. Et j'ai peur de celles qu'on va bientôt entendre. Certains feront des classements, de trois, cinq, vingt-cinq combinaisons de solutions, et cela ne mènera à rien.

Les différentes sortes de solutions ne sont pas contradictoires, elles doivent s'inscrire toutes ensemble dans un contexte entièrement rénové ; c'est cela l'enjeu de l'étude d'un système social qu'on va qualifier de fonctionnel. Le critère sur lequel on pourra évaluer une solution sera celui-ci, sa fonctionnalité.

Mais avant même de se lancer dans ce travail, sur lequel certains comme moi passent leur vie, il faut partir de ce dont on est sûrs, et sûrs que tout le monde en est forcément sûrs. L'Alpha et l'Oméga de la résolution du problème doivent être clairement identifiés.
C'est indispensable de s'entendre sur les tenants et aboutissant de la révolution en cours.
Dans toute révolution, on se fonde sur ce qu'on ne veut plus, et sur ce qui a existé comme contre-exemple de ce qu'il faut obtenir. On requalifie l'existant selon de nouveaux termes, qui deviennent un point de référence servant à évaluer ce qu'on veut et ce qu'on ne veut plus.
La fonctionnalité est un de ces nouveaux paradigmes.

Je trouve que c'est important de définir consensuellement un Alpha et un Oméga à la réponse qui doit être apportée au constat "il faut changer de système".
(J'ai répondu à cela en proposant un concept basé sur une infrastructure et des règles dans mon  livre.)
Mais toute recherche honnête doit admettre les tenants et aboutissants du problème.

*
Alpha : La conscience du problème

L'Alpha, le point de départ d'une recherche de solution, est la certitude de la nécessité de ne pas rester sans rien faire. C'est à dire que la marche du système est telle, qui si on ne fait rien, elle continue. Et de même, les deux effondrements, économique à court terme, et écologique à long terme, pour qu'ils adviennent, il suffit de ne rien faire. Ainsi on s'entend pour dire qu'une solution a besoin d'être créée.
Cela contrarie de facto la doctrine.

Là, la déclaration des Gilets-Jaunes de cette année porte précisément, clairement et objectivement sur la problématique de "Changer de Système" ; Alors que l'année dernière, elle portait sur, genre, "Oulala c'est trop cher l'essence on se demande pourquoi". Dans mon for intérieur, j'ai perçu dès le début du mouvement les prémisses de ce que c'est devenu, un mouvement mondial en faveur d'une réforme radicale du mode de gestion des richesses naturelles. Leur slogan c'est "Fin du monde, fin de mois, même combat". Ils en ont fait du chemin ces petits. La force motrice du mouvement était de passer par-dessus les dissensions pour prendre une posture unitaire, et pacifiste, avec raison d'ailleurs, car quand on a raison il est absurde d'être violent.

Ils disent :

rejeter, d'une même voix, un système capitaliste, raciste, sexiste, néocolonial et néolibéral destructeur autant de nos droits collectifs que des écosystèmes et des équilibres climatiques.
Ce système qui repose sur la domination, sur l'exploitation des êtres humains et de la nature à une échelle planétaire, ne nous laisse pas le choix.
nous avons un objectif commun, celui d'un changement profond de l'organisation de la société.
Soyons créatifs, sortons des chemins balisés et inventons cette solidarité nécessaire au changement.

Et quand j'entends cela, je ne peux rester sans rien faire. Ma première mission, ayant constaté que seul même une bonne idée n'est examinée par personne, il faut créer un processus logique constructif. Et le point de départ de ce processus est la définition d'un Alpha et d'un Oméga, à partir duquel on pourra déclarer : "Vous avez les données du problème, à vos crayons !".
Il y a de nombreuses sources qui permettent d'échafauder graduellement des dénominations plus exactes les unes que les autres, par exemple quand on passe de "changement profond de l'organisation de la société" à "mode de gestion des richesses". En réalité quand on va plus loin, on peut carrément parler de "système de justification des transactions", et même finalement si on se passe du système de l'argent, on ne parle plus que de "justification des transferts".

En fait il y a plusieurs strates de changements qu'impliquent un tel appel.
- Les premiers à parler seront les plus méchants et stupides, ils donneront des réponses qui sont de l'ordre de l'arrangement et du compromis. Mais cela n'éteindra pas le sentiment d'une élite qui plane au-dessus des peuples et leur impose de penser de façon égoïste plutôt que de façon unitaire.
- Une tonne d'économistes déclareront que tout irait parfaitement bien si et seulement si on arrêtait l'hémorragie monétaire. Mais seulement à condition de baser la production sur le pillage des ressources des autres qu'on laisse dans la famine, et dont on subit l'effet boomerang, de sorte que dans la vie "tout se paye".
- Pas mal d'intellectuels envisageront peut-être des systèmes autarciques ou circulaires, locaux ou régionaux, en axant leur concentration sur leur géographie immédiate, sans vraiment se soucier de tout ce dont ils dépendent en réalité, et donc de toutes leurs failles.
- En enfin une clique d'aberrants absurdes inécoutés comme moi proposent des solutions inspirées d'une déformation professionnelle ou culturelle, sans argent, de totale gratuité, de propriété publique, ou de contrat social.

Chacune de ces strates s'appliquent en fait à une échelle de temps, les plus lointaines étant les plus vagues, et les plus immédiates étant les plus promises à l'obsolescence.
C'est donc vraiment une question difficile.
C'est pourquoi la première chose à faire avant de commencer, est de définir le point Alpha actuel, qui s'exprime par la conscience du problème.
Ainsi toute solution faisant état d'une mauvaise conscience du problème doit être rejetée.

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La sous-jacence du point Alpha

Maintenant en tant que spécialiste des arnaques du langage je veux avertir sur le sens du terme "Système" qui est employé. Ils (les GJ) utilisent ce terme pour désigner l'ensemble des facteurs qui poussent à agir comme on le fait, qu'on nommera des vecteurs d'action. En un sens, les manifestations pour la fin du système font partie du système, puisque sa défaillance engendre son besoin d'évoluer ou de changer. Il faut pouvoir "sortir" de cette définition absconse.
Un système c'est une mécanique qui, quand elle marche correctement comme on l'a prévu, produit les effets escomptés. Le capitalisme n'est pas un système, c'est une arnaque. Or concernant les choses de l'humanité, la moindre erreur coûte cher à tout le monde. Il est donc nécessaire d'envisager un système qui soit réellement pensé comme tel, en établissant clairement les règles du jeu, et non en les subissant et en les modifiant au gré des puissants.
A partir de là on a fait e constat que le système capitaliste n'a jamais été pensé, théorisé, et mis en application avec succès par qui que ce soit. Il n'est pas "prévu" pour faire quelque chose, et n'a aucune ambition à être "un système", puisqu'il part du principe qu'on peut se débrouiller sans lui, alors qu'il accapare tout.

Non, ce qu'on veut c'est un système qui soit prévu pour produire des résultats spécifiques.
C'est en mesurant ces résultats qu'on pourra évaluer l'efficacité du système.
Ainsi, le système doit se définir par ses buts, à court terme et à long terme confusément.

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B) Le point Oméga

Il est question de définir l'émergence du système, ce qui en résulte quand il fonctionne, ce à quoi il sert, c'est à dire le monde dans lequel on veut vivre (voir  newsnet.fr).

Ce qu'on veut, c'est une liste très longue de revendications, qu'on peut voir comme "les contraintes du système", c'est à dire les conditions que son fonctionnement normal doit remplir. (Son fonctionnement "normal" est une manière de dire que ce résultat doit être obtenu sans forcer, et avec une marge de manœuvre, par opposition au turbo-capitalisme qui procède du "toujours plus".)

Inutile de lésiner. On veut :
- Manger se loger se soigner s'éduquer et avoir une information correcte sur l'état du monde.
- On veut que cela ne soit pas un privilège mais appliqué à tous de façon inaliénable.
- On veut que notre système de production soit non seulement non polluant mais pérenne, c'est à dire auto-suffisant. Cela implique de ne plus piocher dans la nature mais de ne consommer que ce qu'on a déjà. De ne plus dévaster des terres vierges et au contraire d'en préserver un maximum possible. C'est à dire d'avoir une réelle efficacité de l'utilisation de nos ressources. Et pour que la production soit pérenne, il faut nécessairement qu'elle soit guidée par autre chose que l'appât du gain. Sauf si "le gain" peut être corrélé avec "le bien commun", mais ça pour l'instant, ce n'est que dans les rêves.

Bon. L'Alpha et l'Oméga semblent assez clairs, et pas très loin de ce que postulent un nombre grandissant de personnes qui passent leur temps à y penser. J'aimerais bien qu'ils viennent ajouter ou demander d'enlever ce qui dans cette liste ne correspond pas à leur Alpha et leur Oméga, de façon à avoir un document de travail initial, qui résonnerait comme un appel disant : "Voici les données du problème, proposez des solutions".

*
Sur l'efficacité du système

Ce n'est qu'en mesure des buts concrets qu'on peut mesurer l'efficacité du système.
C'est pourquoi il est si important de les définir d'un bloc.
On pourra même en découvrir de nouveaux en chemin, puis en tellement grand nombre qu'on finira par les classer en niveaux d'importance. Mais qu'importe, ce qu'on veut c'est un système social qui ne puisse pas être accusé de ne rien faire d'autre que de produire des déchets et léguer aux générations futures une terre stérile.

Pour être sûrs que les richesses produites profitent le mieux possible, il faut qu'elles soient tracées et que les chaînes de conséquences soient suivies. Si le système social est capable d'assumer ce rôle, de garantir que ce qu'on produit sert le mieux possible, alors on aura une bonne source d'information pour guider nos choix.
A vrai dire ce dont on a besoin c'est d'un monitoring plus qu'un système, de quelque chose qui guide nos choix, plutôt que de les imposer. Ensuite seulement si ces résultats sont correct le système pourra s'amuser à promouvoir ou freiner certains choix.

Pour obtenir l'efficacité dont on a besoin, ce n'est que de la logique, ce qu'on veut (nous les révolutionnaires) c'est avoir un contrôle sur le système ; savoir ce qu'il fait, ce qu'il peut faire, et en décider de façon collégiale et rationnelle, en appuyant nos décisions sur des études.

Cette question n'a l'air de rien mais "avoir un contrôle sur le système" est un défi extraordinaire. Actuelle personne n'a de contrôle sur le capitalisme, qui est en fait un système-monstre de procédures agglutinées et gélatineuses, inamovibles et collantes, dont le maître-mot est l'impuissance. Rien que de penser à réduire le temps de travail relève de la gageur ; En terme général quoi qu'on veuille changer, ça en bouscule plusieurs autres. On ne peut pas contrôler la loi du profit, ni les entreprises, ni nos achats, ni la pauvreté ni les guerres, pas plus que les catastrophes naturelles. On est ballotés de partout. La question d'avoir un contrôle sur le système est celle qui permet d'introduire une notion de souplesse structurelle, permettant de de juguler la production d'après des paramètres. C'est un défi parce qu'en premier il faut dessiner cette structure, c'est à dire la logique qui justifie l'existant.

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Toute solution devra naître dans le système actuel

Si ce n'était pas le cas, de meilleures solutions pourraient advenir plus vite, mais le point de départ se produit dans un monde complètement pourri par le fric, où les politiciens sont des gens malhonnêtes, en prise avec la justice, les médias autant que les autres travailleurs peuvent allègrement subir le chantage de leur hiérarchie et produire de l'injustice, et quand on remonte le fil de la corruption on arrive dans des conglomérats mafieux de banquiers et de traders qui ont carrément l'air de jouir de la souffrance qu'ils engendrent ; et qui se mettent des milliards dans la poche à chaque minute. Donc le voilà, "le système".

Sur un plan philosophique on peut ne pas s'étonner que l'appât du gain, l'avarice, la concupiscence, l'égoïsme, la cécité mentale, et une furieusement historique tendance au dogmatisme et à la soumission à l'autorité aient poussé une humanité à accepter de donner tout ce qu'ils produisent, et tout ce qui est vivant, et tout ce qui appartenait au générations futures à une bande d'ingrates élites. On peut se dire que le système engendre ce qui le motive, et révèle au grand jour ce qui était était caché en lui : la désolation, la peur, et la solitude.

Sur le plan systémique on voit bien que le business principal ce sont les guerres, et là aussi ce n'est pas très étonnant pour un système social dont l'optimum de son fonctionnement se situe en situation d'après-guerre, quand il faut tout reconstruire et qu'on a l'avenir devant soi ; il engendre la destruction dont il a besoin. On peut dire aussi que c'est un système qui a le hoquet, comme un avion qui décroche souvent parce qu'il n'est pas assez puissant. Ceci je l'explique comme le fait d'une insuffisance de complexité du système. En effet si on examine de quoi le système tient compte pour fonctionner, cela ne va pas loin, puisque les prix sont psychologiques, et que le modus operandi est la pratique du commerce, qui consiste à intercaler des coûts dans la chaîne de distribution. Et il s'en intercale un nombre qui grandit très vite ; de nos jour les activités subalternes sont centralisées et les sociétés sont de plus en plus souvent rien d'autre que des "settings" de services existants (comme "Nike").
Finalement, quand on achète une tomate, on paye pour le système mais la tomate est offerte.

Dans le même temps, l'idée initiale de la civilisation qui posa des fontaines dans les villes, qui consiste à développer une richesse publique, s'est vue contrecarrée par la voracité du système commercial, ennemi de tout ce qui est gratuit, abondant, facile, et de bonne qualité.

Bon, j'espère en avoir fait un bon petit tour d'horizon.
Ceci est le point de départ, non pas de l'analyse pour une solution (cela on le fait en gardant l'Oméga en tête), mais du travail qui va devoir être fait dans la réalité pour réussir à changer les choses.
C'est dans cette réalité qu'une solution doit pouvoir s'ancrer.
Et cela pose de sérieux problèmes.
Mais bon, le capitalisme a mené l'humanité jusqu'ici, on remercie la barque, et on débarque.

*

Concrètement à chaque fois qu'on détruira une industrie, il faudra pouvoir dire à ceux qui en vivent "ne vous inquiétez pas, les travailleurs du nouveau système ne vous laisseront pas tomber, rejoignez-nous !". Sinon évidemment ce sont les frères eux-mêmes qui vont devoir se battre à cause des riches.

Une autre méthode aussi, sachant qu'il s'agira de bâtir une industrie, des chaînes de fabrication, et des produits qui soient garants des termes et contraintes du nouveau système (avec un label), c'est à dire sous contrôle citoyen, en bénéficiant des meilleures informations scientifiques, serait tout simplement de recycler les industries existantes en coopératives qui contribueraient à ce nouveau système.

Car de toutes manières, on veut changer de système mais aussi, cela aurait été bête d'oublier de le dire, on ne veut changer "que" le système, pas les gens ou les profession. Le système qu'on veut est celui qui va pouvoir faire vivre les gens aujourd'hui, et en prime, demain aussi.

En tout état de cause, il est également certain que des erreurs fondamentales auront lieu, et qu'il est déraisonnable de vouloir décider d'un système social et de l'appliquer globalement et soudainement ; il est certain que jamais les choses ne se feront comme ça, c'est de l'ignorance crasse. La méthode scientifique exige de faire des tests et de nombreux essais, puis d'évaluer les intérêts de chaque variante.

Il y a aussi un autre facteur qui joue, c'est celui de l'urgence. On n'est pas en vacances ! L'extinction absolument complète de toute trace de vie sur Terre est prévue pour 2190. Certaines réponses, alors même qu'on n'a pas encore décidé de ce qu'il y aura entre l'Alpha et l'Oméga, doivent être immédiates.
Dans ce cadre le RIC est un pont-levis vers un autre système social.

Il me semble que le premier acte d'une révolution devrait consister à nationaliser absolument tout ce qui est de l'ordre des besoins élémentaires, nourriture, habitation, habillage, transports, énergie, communications, et les brevets, afin qu'ils soient à prix coûtant ou gratuits ; ainsi que tout ce qui s'enrichit follement en terme général (il n'y aurait plus aucun impôt à payer).

Ceci est faisable par le biais de la loi, que le peuple peut décider librement, et ceci après avoir complètement remplacé l'ensemble du personnel politique par le biais d'une personne qui aura été élue à cet effet.

Dans le cadre expérimental qui va suivre, le chemin sur lequel l'humanité va s'engager, est celui de sa survie, mais même beaucoup plus, de la découverte de la vie. C'est à dire que les peuples deviennent conscients et actifs dans la vie politique, en ne faisant au moins pas l'erreur de laisser se gangréner des cliques de nobles politiciens vereux.

Ce qu'on veut, est à peu près équivalent à l'institutionnalisation de la Liberté en 1789, quand les nobles répondaient "La liberté ? ce sera l'anarchie !". C'est le même pallier qui demande à être franchi, et le même blocage cognitif (dû à une trop grande complexité du problème) qu'il faut affronter.

Si on réussi à obtenir un système viable, sa viabilité à elle seule sera assez exemplaire pour que ce modèle se répande.

*

La seule réponse à la menace d'une autodestruction à long terme, ne peut être que celle de la remise en question de nos erreurs, et de s'appliquer à ne pas les reproduire. Nous nous échappons d'un monde préhistorique avec un système prévu pour des tribus isolées, et nous allons à la rencontre d'un monde unifié sous une bannière noble et intelligente, doté d'un système rationnel, fondé sur une alliance des mathématiques et de l'éthique.

En définitive, l'homme du futur, on l'espère, on le souhaite, ne sera pas obsédé par les choses matérielles. Elles viendront à lui automatiquement :) C'est là-dedans qu'il faut puiser les solutions qui leur conviendront. L'homme est fait pour rêver de grandes choses !
L'humanité, curieusement, ne peut survivre à long terme qu'en trouvant les solutions de son propre bonheur, car le fait de rendre le monde meilleur, et de se créer un bel avenir, sont une bonne raison de vivre (meilleure que celle de l'appât du gain).

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