07/06/2020 telex.ovh  13 min #175055

Contre le darwinisme déclinant : Nature et évolution

J'ai lu ce document en entier, à l'égard des éducateurs sur ce qu'on a le droit de laisser dire ou pas. En clair ça ressemble à : "Ah oui au fait, si on vous dit que l'état a fait des conneries, ne les écoutez pas".

C'était marrant de voir ressurgir un élément d'une de mes analyses lues par personne, selon laquelle le covirus, (même si c'est une fabrication humaine) est finalement une œuvre de "la nature" (dans laquelle s'articule l'activité humaine avec des conséquences sur le plan philosophique, en passant par la biologie), et qu'en ce sens, à cause des répercussions (qui consistent à forcer à la sobriété énergétique), "la nature" nous parle, comme dans une sorte d'acte divin.

Ben ça, on n'a pas le droit de le dire, par exemple.

La société est prise dans une maladie dégénérative, dont la seule médication connue, plus d'argent, est la cause de sa dégénérescence. Heureusement il y a toute une autre frange qui s'est manifestée, dont la conscience a été aiguisée au principe selon lequel le monde peut changer, et qui a le plus véritablement, et dans l'effet constaté et constatable, changé le monde ces derniers mois, à l'occasion d'une crise d'hystérie globale à cause d'un poly-virus génétiquement modifié, utilisé comme arme bactériologique à l'encontre de toute l'humanité, à la place des bombes nucléaires jugées trop critiquables ; et cela au sein d'une guerre souterraine dont personne n'a l'air de comprendre d'où ça venait. Mais bon, passons sur les détails de l'histoire, hormis pour dire que le public n'a pas du tout été protégé comme il fallait, ni même été informé du fait que les poly-virus avaient une durée de vie assez courte, dans les faits.

C'est cela le plus sidérant dans cette histoire, que la peur soit si précieuse pour les gouvernements, qu'on oublie de dire que le virus est mortel à court terme (à moins que quelqu'un en injecte une nouvelle souche, ce qui s'est produit en Iran). Tout a été fait pour que les gens conservent une opinion statique, incompatible entre le passé et le futur. Soit tout était vrai, soit tout était faux, "un test grandeur nature", "une arnaque", etc. Mais aucun ne se dit, ou n'a l'air de comprendre, que les choses sont dynamiques, qu'elles sont dans un état à un moment, et dans un autre état le moment d'après. Le virus était virulent et très mortel, oui c'est vrai, mais après il n'est devenu qu'une simple grippe, oui c'est vrai aussi.

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Sur le plan scientifique c'est vraiment très intéressant, tout le monde devrait savoir cela : quand on modifie génétiquement un organisme vivant, la nature n'aime pas cela, et s'empresse de le faire régresser à un état "naturel". Ce qui se passe touche véritablement à la grande question du darwinisme, du grand Pourquoi et Comment les espèces s'adaptent à leur milieu ? Comment la nature fabrique des oiseaux avec des becs prévus pour aller chercher de la sève dans des plantes qui sont taillées pour ces becs ?

Plutôt que de la peur et de l'effroi, qui fige la pensée, on a l'occasion de s'extasier devant une théorie méconnue du "Design Intelligent", c'est à dire de l'existence, véritable, d'une "intelligence" qui préside à l'évolution génétique. Il est temps d'ouvrir son esprit à la science de la vie !

Quand on pense que ce fameux darwinisme rendu manichéen par "la loi du plus fort" est à la source de la pensée occidentale ayant pondu le nazisme et le libéralisme, c'est quand même un sujet brûlant. Surtout que la nature vient juste de nous démontrer le contraire, sous nos yeux ébahis (et aveuglés). En clair le plus fort ne gagne pas, il est érodé pour redevenir compatible avec les autres. C'est un "étranger" qui doit être "éliminé". Là on parle bien des "plus forts" et non des "plus faibles".

Les gars (du passé) ont mal interprété volontairement une avancée scientifique pour en faire un cauchemar mondial. Leur postulat était que le virus méchant de la Terre, qui se venge, allait nous attaquer, en accord avec les mensonges de l'église qui crée un "dieu vengeur", et que seuls les plus forts allaient survivre. Et cette idéologie de "la loi du plus fort" est très ancrée, au point qu'on préfère largement continuer dans le mensonge sur un méchant virus, statique et fatal, qui fait répand l'effroi et engendre des comportements violents. Et tant que les gens croient en ces fadaises, ils sont perdus dans un marasme mental.

Et devant les faits qui réfutent les fondements scientifiques de leur lubie et de leur construction psychosomatique, que constate-t-on ? Rien du tout ! le silence le plus mortel du monde ! L'ignorance érigée au rang de cécité mentale volontaire ! Non, les hommes sont plus occupés à être frigorifiés de peur, parce que ça au moins ça fait tourner le business !

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Alors que la réalité elle, nous montre quelque chose de fascinant et d'extraordinaire. Oui on a bien libéré dans la nature un supervirus, génétiquement modifié avec une insertion d'ADN afin d'obtenir un VIH, un virus orwellien qui s'attaque aux défenses immunitaires pour laisser n'importe quel petit microbe faire le travail à sa place, et ensuite dire qu'il est innocent. On a réussi à obtenir un virus contenu dans une coquille de lipide faite pour s'accrocher aux poumons et dissimuler sa présence, pour pour que son attaque soit retardée le temps qu'ait lieu sa propagation. C'est rudement vicieux !

Mais "La Nature" n'est pas restée inactive face à cela. Elle ne l'est jamais face aux OGM. Les OGM ne sont pas reconnus ni aimés par "la nature". S'ils devaient exister, s'il avait fallu par exemple faire du blé qui chasse les insectes, la nature les aurait fait exister.

La nature est un ensemble harmonique de fonctionnements biotopiques qui sont tous encastrés les uns dans les autres. Tout tient compte de tout, à toutes les échelles. Elle procède d'un fonctionnement, et d'une harmonie.

Et quand un supervirus artificiel est lâché dans la nature, il ne trouve rien dans son environnement qui le contraigne à continuer à garder cette forme de génération en génération. Ainsi, à chaque génération a lieu une mutation, de sorte que progressivement le virus reprenne sa forme d'origine, celle d'avant les insertions de brins d'ADN.

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Notez à ce stade que même les bon médecins continuent à croire en un vaccin, fabriqué à partir du virus d'origine, alors qu'il mute sans cesse.

Le vaccin contre une maladie inexistante ne va rien faire d'autre que produire des effets similaires à la maladie ; de même que lorsque qu'on veut guérir d'un manque de vitamine, ou de calcium ou de fer, ou de sucre, et que c'est faux, et qu'on se retrouve avec une surdose : la déficience ou l'excès ont les mêmes effets. Et cela en raison du fait que l'excès diminue l'efficacité du traitement du produit, ce qui engendre, par homéostasie, une adaptation, dans le but de retrouver un bon dosage. Le dosage qui est jugé "bon" l'est par "la nature". Et si ensuite on retrouve un équilibre alimentaire comme celui d'avant, le temps de réadaptation consiste en un sevrage, qui peut être douloureux. Bref ceci pour dire qu'il ne fait pas faire n'importe quoi, et que le mieux est de ne pas vouloir penser à la place de la nature, mais de lui donner ce qu'elle demande, strictement et rien d'autre qua cela.

Pour ce qui est de se prémunir à l'avance des maladies, le corps fait déjà ce travail naturellement. Il combat chaque jour des milliers de microvirus sans qu'on s'en aperçoive, et s'entraine, garde la forme, pour les jours où il faut en combattre des plus gros. Le pire à craindre pour le système immunitaire est de rester enfermé chez soi, à l'abri de tous les microbes, dans une bulle de savon. C'est à cause de cela qua eu lieu, à l'échelle de toute une génération, une épidémie d'asthme.

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Évidemment pour reconnaître que le virus était dynamique, il aurait fallu admettre sa nature d'arme biologique, ce que les instances gouvernementales ne sont pas prêtes à faire. Au lieu de cela elles préfèrent largement surfer et entretenir l'ignorance populaire, en faisant croire que la nature est une chose qui s'oppose à l'être humain, et qu'il faut la combattre, "être en guerre" contre elle. Car c'est bien de cela qu'il s'est agit, être en guerre contra la nature.

Leur postulat Darwinien manichéen est que la nature est violente, sauvage, et qu'il faut se battre contre elle. Et qu'en imposant cette souffrance aux hommes, elle sélectionne les meilleurs souches, et élimine les plus faibles, qui ne servent à rien. Elle procède à un renforcement, qui a prit forme, dans la narrative, d'immunité collective. Immunité contre la nature quand même. Et il y a beaucoup de gens qui ont fait de ce postulat parfaitement sombre et idiot, toute leur psychologie.

Mais au contraire, et sous nos yeux, la maladie disparaît. Car la nature ne la tolère pas, car la nature agit, et a toujours agit et agira toujours en faveur de la VIE.

La VIE, a exactement le sens que vous entendez par ce terme. C'est la joie, le bonheur, l'envie de vivre, l'abondance, la richesse pour tous, l'eau claire, le soleil et les enfants qui jouent dans l'herbe verte. La vie, au sens vraiment strictement scientifique, c'est le fait que les organismes du vivant s'organisent en faveur de la croissance et du bien être des organismes vivants.

Personne ne le sait mais quand on aime une tomate, on influence et on renforce le souffle de la nature pour qu'elle crée plus de tomates avec cette saveur si particulière. Il est donc très important de savoir aimer la nature, car cela jour un rôle vérifiable. Inutile de chercher comment ça marche, c'est ce qui marche. Cela marche aussi pour les plantes, si on les dorlote, elles aiment ça. (C'était juste une parenthèse).

En termes stricts la vie se définit par l'augmentation en complexité d'un système, de sorte que cette augmentation soit la plus efficace et économe possible. Les systèmes sont à leur tour définis comme, tout simplement, la densité des liens entre les composants ; c'est à dire la densité informative. Par exemple un arbre a des liens avec les oiseaux qui y nichent et les insectes qui y travaillent la terre. Couper l'arbre fait perdre en densité informative. Par un autre exemple un cerveau qui a des connexions synaptiques plus denses, est plus intelligent. Ainsi toutes les connexions qu'il peut y avoir au sein de la nature la rend plus efficiente, et mieux capable de s'auto-gouverner.

Quand, par un contre-exemple, on rompt des chaînes alimentaires, en épuisant des espèces, cela perturbe l'ensemble du système-vie, qui conforme une intelligence globale. Quand on rase une forêt, ou extermine une espèce animale, le cerveau de la nature perd des connexions synaptiques. Il garde son âme, mais diminue sa complexité et son efficacité. Il subit une entropie.

Cette entropie est très grave, car de nombreux systèmes vivants ont besoin du plus haut degrés de complexité dont est capable la nature. En particulier, les animaux supérieurs, et les humains.

Il n'y a aucun doute que sous un certain seuil de complexité, combiné à la charge des entités complexes que cette complexité est sensée soutenir, le système dans son ensemble finisse par collapser soudainement, tel que c'est prévu pour l'année 2166. Ce sera l'effondrement biotopique. L'humain est sensé être assez intelligent pour le voir venir et agir en conséquence.

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Si l'ensemble du système-vie subit une entropie, qui est contraire à sa tendance naturelle de complexification et d'harmonisation, il se retrouve avec des charges (les systèmes complexes) qu'il ne peut plus gérer, en plus d'avoir à gérer la reconstitution des pièces élémentaires à la survie des systèmes complexes. Souvent on peut constater que les forêts rasées repoussent bizarrement vite.

C'est parce que la nature fait tout son possible pour agir en faveur de la vie, de la maintenance de la vie, pour ensuite qu'elle continue son chemin vers sa progression. Pour qu'ensuite l'humain, qui est un écosystème en entier à lui tout seul, puisse suivre sa propre évolution, guidée par ses idées.

Il y a seulement que l'humain est à la fois biologie et idées. Les deux sont des écosystèmes. Le progrès spirituel fait partie des actes de "la nature" dans son grand ensemble. C'est du moins la nature humaine. Mais le cheval qui avance, lui, l'animal, a des besoins propres, et il convient de les respecter. Sinon on se retrouve à pied dans le désert. Et les idées ne sont plus d'un très grand secours.

Les deux, l'esprit et le corps doivent travailler ensemble l'un pour l'autre. Le corps, lui, qui appartient au domaine animal de la nature, le fait bien volontiers, du mieux qu'il peut, sans préjuger de rien de ce que l'esprit en fait, comme un bon cheval. Il se bat pour la vie, comme la nature le fait. Mais l'esprit, lui, doit guider les pas du corps de sorte à le pourvoir de tout ce dont il a besoin, ce qui a un effet libérateur sur les soucis physiques, et permet de se consacrer au monde des idées.

Comme le dit le Pape François, la nature accouche de l'humanité (dans la douleur). Cette douleur est bien sûr l'innocente frénésie des humains qui ne savent pas ce qu'ils font.

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L'humanité doit maintenant s'extraire d'une vision animale de la nature, qui juge au premier degrés et sans aucune compréhension, ni sans aucun contrôle sur la portée philosophique que cela a, comme une lutte entre les forts et les faibles. Sur cette base absurde toute une civilisation s'est fondée. Les élites en sont les spermatozoïdes victorieux ayant atteint l'idéal systémique (la richesse ultime). Et tout le reste de l'humanité ne sont que les déchets.

Dans cette vision du monde, l'humanité entière n'a que le temps de se consacrer à sa propre survie au jour-le-jour. Elle stagne sur la plan "alimentaire" de la conscience. Elle n'accède pas aux nuances fines qui permettent la distinctions nécessaires à l'établissement de la justice, de ce qui est vrai, et qui relève de la logique. Son obsession est le pouvoir, la possession, et la reconnaissance des autres, même si elle est injustifiée ou forcée par la violence.

Pourtant on observe ce virus muter, et révéler au monde sa manie de penser de façon statique, en disant "ce qui est vrai aujourd'hui montre qu'on nous a menti hier", ou alors "c'est qu'on nous ment aujourd'hui". Les gens vivent dans la crainte et la confusion. Mais la nature parle. Elle enseigne que les choses peuvent évoluer. C'est bien le premier enseignement de cette crise qu'on a vécue. Beaucoup de gens croyaient que le monde allait continuer comme il était tranquillement pour toujours, alors que toutes les alarmes hurlaient. Mais les choses peuvent changer, et leur évolution est conduite par un courant global dans lequel on est emportés, celui de l'établissement de la vie.

Il suffit de l'écouter et d'ouvrir son esprit. Ce que veut la nature, ce dont elle a besoin, ce à quoi elle travaille, c'est que les humains vivent en paix et en harmonie. Ces humains munis d'une conscience et d'un libre-arbitre, cependant, n'y sont pas conduits par la force. Ils doivent en manifester la volonté. Et cette volonté doit se fonder, non pas sur des croyances mais sur des aspirations, elles-mêmes basées sur des faits vérifiables et avérés, purement logiques.

Ce dont a besoin l'humanité c'est d'une logique, sur laquelle fonder son aspiration, au point qu'elle se convertisse en volonté d'obtenir, ce que les plantes et les animaux obtiennent sans rien demander, une intégration complète et entière au phénomène de la nature.

Une fois arrivée à ce stade évolutif, l'humanité aura pour elle une compréhension scientifique de la nature, quoi que toujours ouverte à la découverte et à la recherche d'explications ; non pas une connaissance du style occidentale qui soit descendante et qui accuse de tous les maux ceux qui ne rentrent pas dans le cadre établi.

L'esprit de l'humanité doit s'enquérir des auspices de la nature, de son souffle, et s'imprégner de son esprit.

Il reviendra à l'humanité d'être un père protecteur de la nature, et d'établir en son sein des fonctionnements naturels qui seront guidés par une conscience réelle du bien de tous. Elle obtiendra les qualités de l'humilité et de l'imagination créative. Et de cela elle obtiendra une meilleur compréhension de l'erreur légitime dans laquelle une humanité primitive peut s'engluer, quand elle se confisque à elle-même son pouvoir créateur, dès lors qu'elle considère sa supériorité, qui est réelle, comme étant significative, ce qu'elle n'est pas.

Encore et toujours, le signe de l'évolution, ce sont les distinctions fines.

 telex.ovh

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