par James Howard Kunstler
« J'en ai assez d'entendre les démocrates se plaindre de l'âge de Joe Biden. Cet homme sait comment gouverner. Taisez-vous et votez pour sauver la démocratie ». (Rob Reiner, savant hollywoodien)
Peut-être savez-vous que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) prépare un plan pour imposer sa volonté à toutes les nations souveraines de la planète en cas de futures pandémies. Cela signifie, par exemple, que l'OMS donnerait des ordres aux États-Unis en matière de confinement, de vaccins et de passeports vaccinaux et que nous, citoyens américains, serions supposés être obligés de les suivre.
La raison pour laquelle le régime de « Joe Biden » s'associerait à cette supercherie mondialiste est l'un des plus grands mystères de notre époque - sauf qu'il s'associe à tout ce que la cabale de Genève prépare, comme les attaques contre les agriculteurs, la production de pétrole, les relations entre les hommes et les femmes, la vie privée et la liberté économique dans toute la société occidentale, comme s'ils faisaient des heures supplémentaires pour la faire disparaître. Et nous tous avec.
Je pense qu'ils font des heures supplémentaires parce que les citoyens mécontents de la société occidentale ont compris leur jeu et s'en inquiètent. La cabale genevoise est donc engagée dans une course contre la montre avant que le mât central de son chapiteau ne s'effondre et que les nations du monde ne soient contraintes de suivre le zeitgeist dans le sens d'une décentralisation, ce qui mettrait en échec tous ses grands projets.
Le régime de « Joe Biden » feint d'ignorer que cet accord avec l'OMS est en fait un traité qui nécessiterait une ratification par un vote des deux tiers du Sénat, un résultat improbable. En tout état de cause, il serait manifestement illégal de confier à l'OMS - en fait, à son chef Tedros Adhanom Ghebreyesus - le pouvoir de bousculer les citoyens américains comme un gigantesque troupeau de bétail.
Le mât central du chapiteau du cirque est l'économie mondiale qui vacille. Il tient à peine la toile au-dessus des trois pistes du cirque. Dans la piste centrale, le spectacle mortel de l'affaire criminelle de la famille Biden se joue devant un public immense (nous). Cette semaine, un coup de feu a été tiré au FBI et de la fumée s'échappe du canon. Le directeur du FBI, Christopher Wray, a été contraint de vérifier qu'il était assis depuis trois ans sur un document incriminant émanant d'une source humaine confidentielle « de confiance », c'est-à-dire d'un informateur, affirmant que la famille Biden avait reçu un pot-de-vin de 5 millions de dollars de la part d'une entité étrangère à l'époque où « JB » était vice-président.
Il ne s'agit bien sûr que d'un pot-de-vin parmi tant d'autres, comme l'atteste l'ordinateur portable de Hunter Biden, et il doit être évident qu'il s'agit d'un comportement de trahison qui exigera la démission ou la destitution. Au fur et à mesure que cette affaire s'étendra dans les semaines et les mois à venir, pensez-vous que les Américains seront d'humeur à accepter d'autres insultes telles que l'abandon par « Joe Biden » de notre souveraineté nationale à l'OMS ?
Quoi qu'il en soit, vous devez vous demander : pourquoi diable devrais-je faire confiance à l'OMS pour quoi que ce soit ? N'a-t-elle pas participé au bouleversement du monde avec le Covid-19 ? Comment ces confinements ont-ils fonctionné ? Pensez-vous qu'ils aient détruit suffisamment d'entreprises et ruiné suffisamment de ménages ? Comment se porte le programme de vaccination ? Efficace ? Sûr ? Oui, peut-être pas tant que ça. Peut-être qu'il tue beaucoup de gens, détruit les systèmes immunitaires, stérilise les organes reproducteurs, provoque des handicaps graves, brise des vies.
Bien entendu, en plus de trois ans, ni l'OMS ni les autorités médicales américaines n'ont manifesté le moindre intérêt pour aider à comprendre comment le virus Covid-19 a été fabriqué en laboratoire et comment il s'est répandu dans le monde. Dernièrement, le Dr Ghebreyesus a mis en garde le monde contre des pandémies futures bien plus graves, censées nous tomber dessus. Ah ? Vraiment ? Que sait-il de plus que nous ? Que de nouveaux efforts pour concocter des maladies chimériques sont en cours dans des laboratoires du monde entier ? (Vous savez que des dizaines de laboratoires de ce type ont été découverts en Ukraine au début de la guerre en 2022). Que fait le Dr Ghebreyesus pour arrêter cela ?
Si des organisations et des citoyens américains sont impliqués dans cette « recherche », pourquoi l'OMS n'alerte-t-elle pas nos dirigeants gouvernementaux pour qu'ils puissent y mettre fin ? (Le feraient-ils ? Je n'en suis pas si sûr.) Et qui est derrière tout cela cette fois-ci ? Encore l'Eco-Health Alliance, comme pour le Covid-19 ? D'ailleurs, cette organisation a reçu une autre subvention énorme l'automne dernier de la part des NIH pour « étudier » les virus des chauves-souris - juste après que les NIH aient mis fin à une subvention précédente parce que l'Eco-Health Alliance n'avait pas remis ses carnets de notes et d'autres documents.
Non, on ne peut pas faire confiance à l'OMS sur quoi que ce soit. « L'horizon de confiance » (un concept introduit par la grande Nicole Foss, défunte de The Automatic Earth) se rétrécit. Vous ne pouvez plus faire confiance à des autorités lointaines. Vous ne pouvez pas non plus faire confiance au gouvernement fédéral américain (en particulier à la branche exécutive derrière « Joe Biden »). Et remarquez : l'horizon de confiance se rétrécit au moment même où le monde se décentralise. C'est là, voyez-vous, la principale contradiction derrière les ambitions tordues des mondialistes de tout contrôler, y compris vous. Ils travaillent à contre-courant de l'histoire humaine qui pousse tout vers la réduction d'échelle, la relocalisation et la réaffirmation de la souveraineté de l'individu.
Cette tendance deviendra de plus en plus évidente lorsque les choses organisées à l'échelle géante commenceront à imploser - les chaînes de distribution géantes, les mastodontes de la médecine, les fonds spéculatifs, les grandes banques, et j'en passe. Le monde n'a plus le goût du mondialisme. Il y a lieu de se demander aujourd'hui si les États-Unis ont le mojo nécessaire pour rester une entité nationale unifiée d'États. Notre gouvernement fédéral n'est pas seulement en faillite financière au-delà de tout calcul cohérent, il est aussi en faillite morale, et il a décidé de faire la guerre à son propre peuple. Rien de tout cela n'est satisfaisant et rien de tout cela ne fonctionne. Il est temps de déterminer à qui et à quoi vous pouvez faire confiance et d'agir en conséquence.
source : James Howard Kunstler
traduction Réseau International