par Études sur la Neutralité
Au cours de la dernière semaine, plusieurs rapports dans les plus grands médias occidentaux ont confirmé ce que nous savions depuis des années mais qui, pour une raison quelconque, était considéré comme «controversé» à dire et vous vaudrait l'honorable préfixe de théoricien du complot.
Le week-end dernier, le New York Times a publié cet article plutôt étonnant sur la «Guerre d'Espionnage» des États-Unis en Ukraine. Il discute ouvertement de la profondeur des liens entre les unités de renseignement américaines et ukrainiennes. Il affirme également que la relation date de 10 ans. D'autre part, les Français, les Allemands et les Britanniques ont maintenant admis leur propre implication militaire sur les lignes de front de l'Est.
Alors que de nombreux commentateurs croient que la plupart de ces discussions ont été publiées en soutien aux 61 milliards de dollars américains actuellement bloqués à la Chambre, mes craintes vont plus loin. Ces derniers changements sont probablement les signes que l'établissement est prêt à envisager l'échec de la guerre par procuration en Ukraine, ce qui, si c'est vrai, nous amène à une bifurcation très dangereuse dans la manière dont cette situation peut évoluer à partir de maintenant.
Vous voyez, lorsque les guerres par procuration échouent, il n'y a vraiment que deux options restantes : soit accepter l'échec et laisser tomber le proxy, soit redoubler d'efforts en transformant la guerre en une confrontation directe. Examinons les rapports et essayons de tirer quelques conclusions.
source : Études sur la Neutralité