par Sébastien Renault et plus
La castorisation
Elle a encore fonctionné, sur fond de masochisme économique et politique à la française d'un électorat de moutons soumis à la très crasse bêtise «antifasciste» (par la volonté de ceux qui, fascistes centristes et ultra gauchistes en acte, affectent la «lutte contre le fascisme», ce qui marche de manière immanquable sur le moutonnisme électoral). La meilleure des dictatures a bien les apparences de la démocratie (cette lamentable fumisterie) - raison pour laquelle je n'ai personnellement jamais voté de ma vie, ni n'ai jamais souscrit au moindre parti politique (par nature voué à la corruption qu'induit l'aspiration au pouvoir et l'inféodation à des intérêts immondes).
Castorisation systématique ou pas, il faut évidemment comprendre que même avec un deuxième tour sans coup d'État médiatique «antifasciste» et autres méphitiques «alliances» contre-nature profitant à la macronie, rien n'aurait de toute façon altéré vers le mieux la trajectoire de la France, déjà dépossédée d'elle-même par programmation européiste de longue date (dépossession à laquelle souscrit peu ou prou l'opposition contrôlée à droite, conformément à la fragmentation assimilatrice opérée par la fiente macronite de part et d'autre de l'éventail des partis).
Tout ce cirque de tartuffes politicards, tout en étant parfaitement pathétique et écœurant, a néanmoins apporté son lot réel de divertissement, digne de notre si belle époque...
Le divertissement politique outre-atlantique
La suite au prochain numéro (préparez les popcorns !), notamment avec les élections présidentielles de novembre aux États-Unis. Pour l'heure, le politicien archi-véreux et sans vergogne qu'est cette pauvre canaille de Biden, déjà inapte à la présidence étasunienne il y a quatre ans, se décompose chaque jour un peu plus dans la dégénérescence cérébrale irréversible. Pour autant son entourage, corrompu lui aussi jusqu'à la moelle (entre autres sa femme Jill et son fils Hunter), persistent et signent.
L'État profond derrière cette escroquerie colossale a estimé devoir le faire élire de manière illégale en 2020 (par le triple jeu de la tricherie statistique organisée, de la covidiotie institutionnelle et d'un syndrome politico-médiatique de dérangement anti-Trump exacerbé là aussi par fanatisme et par bêtise partisane), parvenant à ses fins, comme chacun sait - en faisant croire au monde que Biden avait recueilli le plus grand nombre de voix de l'histoire de la présidence américaine, soit 81 millions, une farce qui n'a pu convaincre que les imbéciles les plus endurcis.
Il est désormais assez cocasse de voir les mêmes rats du parti démocrate parfaitement hypocrites (et leurs minions journalistiques) céder à la panique générale, faute de pouvoir démettre leur propre production tragico-comique de ses fonctions présidentielles (la famille Biden faisant tout ce qui est en son pouvoir pour maintenir «Joe» dans son rôle de marionnette pathétique «à la tête» des États-Unis).
Parole de climatologue :
Bon été à tous. Attention, il pourrait bien faire chaud au soleil !
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Annexe 1
La fiente macronite, l'actualité selon pressibus.org
Post-scriptum du 2 juillet 2024
L'effrayant constat de Marc EndeweldIl a toujours été l'architecte du chaos (3 mn 20). Il a hystérisé le débat, il a été le bordélisateur en chef, il y trouve une forme de jouissance (4mn 30). Il a un appétit de pouvoir féroce, c'est sa principale obsession (5mn 35). En privé, Macron parle de «grand remplacement» (36 mn). Il a dit en 2015 qu'il manque un roi à la démocratie (39 mn, articles : 1 2). Depuis 2017, la constitution n'est pas respectée (41 mn, article). On peut tout attendre d'Emmanuel Macron (42 mn). Le principal producteur de fake news depuis 7 ans, c'est la Macronie... sans aucun scrupule... Il en a fait de façon quasi industrielle, parfois en disant tout et son contraire dans la même journée... (45 mn 20″). Emmanuel Macron a beaucoup plus de signes communs avec Trump qu'on peut le penser... (48 mn 10). Là, c'est carrément 1984, Hannah Arendt (citation en fin Chapitre 20), le totalitarisme... la novlang du langage, la réalité qui est totalement dévoyée. Donc ça, il n'a pas cessé de le faire... (48 mn 20). Depuis sept ans, à l'Élysée, l'aile Madame, comme les journalistes l'appellent, a eu un poids politique essentiel (1h 5 mn 50) On est dans un fonctionnement de clan, le clan Macron, comme il y a un clan Le Pen (1h 6mn 35).
Macron néofasciste - En complément, Marc Endeweld s'exprime dans un article du 24 juin dernier sur le site «Contre-attaque», intitulé «Macron a toujours été d'extrême droite», avec une vidéo de 3 mn 51. On y lit : «Cela peut étonner, tant Macron a été vendu par les médias comme un personnage lisse, de centriste, de modéré et de barrage «aux extrêmes». En réalité, nous l'écrivons depuis quasiment 10 ans, cet individu a toujours eu des affects néofascistes. (...) Cela parait évident pour tout le monde actuellement, mais nous sommes gouvernés par un lepénisme qui ne dit pas son nom depuis 2017. La dissolution n'est finalement qu'une étape supplémentaire, massive et terrifiante, vers le néofascisme souhaité et préparé par Macron». Cela montre à quel point le pervers Emmanuel Macron est beaucoup plus dangereux que Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon, dont la nocivité est plus banale et voyante.
Cela rejoint les conclusions de Violette Vénère, qui, en cet article de fin 2022, analysait le macronisme à la lumière des critères de reconnaissance du fascisme, exposés par l'écrivain Umberto Eco dans un de ses livres. Elle en déduisait que «sur de nombreux points, le macronisme s'apparente à un fascisme, dont il emprunte des caractéristiques idéologiques aussi bien que psychologiques».
Comme de nombreux commentateurs, Endeweld estime qu'après la gamelle que Macron va prendre à ces élections législatives, il perdra toute légitimité et devrait démissionner, mais qu'il ne le fera pas... Il s'accrochera au pouvoir et continuera sa politique du pire, avec deux types de soutiens : celui passif et éclaté de ceux qui disent être ses opposants, depuis les partisans de Le Pen (RN) jusqu'à ceux de Mélenchon (LFI), et celui actif des inconditionnels obtus, les représentants de Renaissance, Horizons, Modem, qui ont voté toutes les turpitudes de Macron, surtout le «quoi qu'il en coûte», la politique de refus des traitements précoces anti-Covid, d'inutiles confinements, d'absurdes ports généralisés de masques (même en plein air, même pour de jeunes enfants !), l'apartheid de juillet 2021, la loi Retraite, les tirs de LBD contre les Gilets jaunes, le référendum partisan calamiteux en Nouvelle-Calédonie, le soutien aux va-t-en-guerre Ukrainiens, le refus de reconnaître la Palestine, etc. Par rapport à la violence, inouïe mais médiatisée acceptable, de cette extrême centre ( Annexe D 22), on voudrait nous faire croire au danger d'une extrême droite et d'une extrême gauche qui ont laissé faire tout cela avec une mollesse et une bêtise parfois crasse, notamment quand LFI a refusé de s'allier au RN pour réintégrer les soignants suspendus ( article).
Alors, on nous bassine maintenant avec un «arc républicain», les valeurs de 1789, etc. Il était où cet arc, quand le roi Macron, avec le soutien de ses députés, celui des sénateurs de droite et celui gravissime du Conseil constitutionnel, a foulé les principes de liberté, égalité et fraternité de notre République, en mettant au ban de notre société 15% au moins de sa population, par une gigantesque tromperie en faveur de Big Pharma (obligation d'une vaccination inutile et dangereuse, alors que le Covid était devenu moins agressif qu'une grippe) ? Et ces syndicats vermoulus qui ont permis que les stupides masques, symboles d'obéissance aveugle, s'imposent à l'école et qui ont refusé de défendre les soignants privés de leur travail ? Même avec du recul, il n'y a eu aucun «mea culpa», aucune condamnation des excès passés, même ceux ayant provoqué blessures et décès. Ils préfèrent qu'on oublie leurs compromissions à la Macronie, ils sont prêts à recommencer pour le moindre prétexte analogue. Ils n'ont rien retenu des dérives de la marionnette Macron au service de puissances étrangères. McKinsey et autres nuisibles, manipulateurs d'opinion publique, n'ont pourtant pas disparu.
Mieux vaut donc, au pouvoir, l'extrême droite ou l'extrême gauche que l'extrême centre. Quoi qu'en disent les politicards donneurs de leçons, pour éviter que continue le pire, quand la configuration s'y prête, il est légitime de voter extrême gauche au premier tour et extrême droite au second, ou inversement : il ne faut pas se tromper d'adversaire. Moins il y aura de députés Modem, Horizons, Renaissance, mieux notre rejet du psychopathe Macron pourra s'exprimer, jusqu'à ce qu'il cesse de nous «emmerder jusqu'au bout», jusqu'à ce qu'il dégage enfin. Alors naîtront de nouvelles perspectives.
Post-scriptum du 9 juillet 2024
Les macronistes ont utilisé une stratégie efficace pour limiter les dégâts : faire profil bas en ne se réclamant plus du chef et en faisant en sorte que celui-ci se taise durant la semaine d'entre deux tours ( article). Avec l'aide intéressée de la gauche par désistements réciproques, cela leur a permis de garder 163 députés sur les 245 de 2022 ( évolution selon le ministère de l'intérieur). Cela devrait être très provisoire, car l'absence de majorité parlementaire stable redonnera probablement de l'énergie au couple élyséen, qui, acculé, reprendra la politique néfaste qu'il mène depuis sept ans. Il affrontera une opposition renforcée et toujours divisée. La tension montera... et ce sera plus dangereux. Pour enfin repartir sur de meilleures bases, la priorité reste la même : virer Macron. Et la méthode la plus rapide consiste toujours à viser «Brigitte»... En faisant en sorte que cessent l'hypocrisie, les aveuglements, mensonges et atermoiements. Comme dans les mois précédents, de nouveaux éclairages arriveront sur ce que Candace Owens a présenté, avec certes trop d'emphase, comme étant «le plus grand scandale politique de l'histoire de l'humanité» ( P.-S. 42). Disons «un des plus grands»... Le plus grand actuellement en France, expliquant pourquoi nous avons un tel président de la République, accro au pouvoir, manipulé, capable du pire.
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Annexe 2 : Virons-les, par Virons-les
Virons les uns, retournons les autres, accrochons-nous.
Après les deux tours de ces législatives précipitées, chaussons nos lunettes d'extralucides, et en avant les mots d'ordre contre le chaos macronite :
- Vous avez voté pour un député que vous aimez bien, de personne à personne, dans la confiance et le respect, soit.
- Vous avez voté contre, contre l'extrême quelque chose que vous détestez, soit.
- Vous avez voté pour ou contre Macron le médiocre menteur arnaqueur qui voudrait se faire passer pour le centre de gravité de la France, soit.
- Vous n'avez pas voté, vous avez voté blanc, vous voyez rouge quand on vous arnaque, soit.
Et maintenant, qu'allons-nous faire ?
- Ramener tout ce beau monde vers le vrai centre :
- Soutien à la Palestine occupée, désertifiée, torturée, crucifiée
- Parce que les prétendants au trône du monde actuel voudraient faire de nous tous des Palestiniens à écraser
- Parce que la terre sainte c'est historiquement et spirituellement, le cœur des batailles
- Parce qu'il y a une question secrète au cœur de notre équilibre mental à chacun
Ne laissons pas insulter la vérité, la justice, le droit, et la conscience.
Et ce n'est pas tout :
- Non à la guerre contre la Russie par Ukrainiens interposés
- Non à toutes les guerres coloniales
- Non à la guerre contre nous-mêmes, nos familles, nos valeurs morales, nos traditions, nos héros
- Non à la guerre contre la liberté d'expression
- Non à la censure qui étouffe les médias
- Non à la répression qui menace chacun et emprisonne déjà de nombreux penseurs et militants
- Non au sectarisme des extrêmes et au fanatisme des utopistes
- Non, la sexualité n'est pas le summum de l'identité, pas plus que la race ou l'affiliation idéologique
- Nous sommes plus que notre cul, que notre QI, que nos héritages et nos bagages
- Parce que l'énergie vient en marchant, les idées viennent en combattant, l'esprit vient en écoutant :
Oui à la résistance et à la convergence
source : Entre la Plume et l'Enclume