Comme à mon habitude, j'ai suivi l'aventure du GazaFreedomFlotilla comme j'avais suivi celle de 2010, ainsi que quelques autres.
Gros casse-tête pour les nazisraëliens. Quel crime le plus horrible possible peuvent-ils commettre dans de telles conditions, avec les caméras du monde entier braqués sur eux ?
J'ai spéculé que, comme dans les psychopathologies avancées, l'exhibitionnisme du crime faisait partie de l'équation. C'est à dire que cela les démange, et ils y pensent.
Ce qui m'inquiète, est ce que les candides candidats à la mort ne soupçonnent pas encore, ils n'ont pas les moyens de comprendre la violence psychologique qui va leur être infligée. En réalité, peu de monde l'est, et c'est cela qui fait la force de Nazisraël.
Il faut dire qu'en 2010 les passagers ont tout bonnement été exterminés, puisque c'était possible.
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Ascendance
Les politiciens aussi, comme la plupart des gens, qui sont d'intelligence moyenne, n'ont pas les moyens de comprendre, rivaliser, répondre à l'ascendance, la verticalité, aux nombreuses impositions implicites, ni à l'assurance pleine de vigueur des ce genre de psychopathes. La pensée "juive", puisque c'est ainsi qu'on la nomme, est un peu spéciale à appréhender, tant elle tournicote d'inversions et de renversements successifs. Ici on a affaire à des spécialistes de classe mondiale de l'inversion de charge, propre aux pervers narcissiques (PN).
Et je m'en veux de laisser ces jeunes personnes naïves et sans défense, dont la force réside dans le cœur et la noblesse des intentions, additionnée à leur popularité et leur relative fortune personnelle, affronter un tel cauchemar.
De même, comme je disais, les politiciens ne sont pas pour autant épargnés par cette pression, mais j'ai moins pitié pour eux. Cependant on voit bien comme ils se font facilement dominer et manipuler comme des feuilles de guigne.
Pour répondre à un PN, il faut avant tout exercer une très grande force mentale dirigée vers la préservation de sa liberté propre, et une véritable expérience en tant que résistant. C'est sûr que ce n'est pas aux politiciens qu'on peut demander cela.
Dans la pratique, les PN sont particulièrement capables de s'adapter de façon robuste à n'importe quelle psychologie. Il y a toujours moyen de faire plier la volonté de quelqu'un. Imposer sa force, sa domination, un contrôle total et complet sur sa victime, est le seul et unique but.
Pour cela ils s'y prennent avec méthode, précaution, tactique, de façon rusée et persistante. Ils recueillent l'information - en particulier sur la connaissance du terrain - et dénichent les failles sur lesquelles ils peuvent appuyer pour que cela fasse le plus mal possible. On n'a pas affaire à des enfants de chœur.
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Liberté ? "Freedom" ?
Nos sociétés sont contrôlées et manipulées depuis la nuit des temps. Quand un président ou un pape entre en exercice, il hérite de dossiers planifié des décennies et des siècles à l'avance. Dès l'an mille, l'ONF savait déjà appliquer ces politiques de façon publique dans la gestion des forêts, à cinq cent ans près. En Chine, la personnalité des présidents successifs dénotent le chemin qui veut être pris par le pays dans le siècle à venir. Ce n'est pas une nouveauté.
Et dans nos sociétés, la "liberté" a été promue comme outil de contrôle des masses. En réalité il n'y a aucune liberté. Comment peut-on dire cela ? C'est simple : la liberté est ce qui permet à l'imbécile de commettre des erreurs dans l'espoir qu'avec le retour de bâton, il en apprenne ses leçons, et que la prochaine fois son action soit guidée par plus de raison, une plus grande conscience.
La liberté est la borne inférieure de la conscience. Lorsqu'on agit en conscience, avec la raison, de façon rationnelle, on n'a plus beaucoup le choix, sauf celui d'affronter les tempêtes.
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Briser la carapace
Les peuples autochtones des pays colonisés, occupés et pillés, n'ont vocation qu'à être exterminés ou au mieux servir d'esclaves. Pour que des peuples étrangers vivent ensemble il faudrait qu'ils se comprennent et qu'ils aient le même socle culturel.
Dans l'état actuel des choses, le peuple autochtone de la Terre, les terriens restants (on va dire) sont emprisonnés. Ils n'ont pas le droit de s'échapper, se reproduire, au risque de revenir plus tard pour reprendre ce qui leur a été prit.
Du moins, c'est ce que suppose le pervers narcissique qui n'a aucune prédisposition pour élaborer le sujet qui est devant lui comme étant autre chose qu'un reflet de lui-même, et sur lequel il projette ses propres schémas mentaux. Ils le déteste car il se déteste. Il veut le détruire et le dominer, car il veut se détruire et se dominer. Même si c'est contradictoire, cela ne l'est pas pour lui.
Le PN ne contrôle pas ses pulsions, car il n'a aucun moyen d'avoir conscience de ses émotions. Il aime bien les stimuler chez les autres pour voir s'il peut se les approprier. En général, elles sont une interférence qui le dérange, qui le crispe, et que la présence de l'autre attise, ce qui fait de l'autre un perturbateur à ses yeux. Il faut dire qu'en l'absence d'émotions, la pensée est claire, lucide, efficace, rationnelle, immédiate. Tout est plus simple, évidemment. Et surtout en l'absence de contrôle des émotions, la pulsion est irréfragable, elle doit absolument avoir lieu, et l'action est inarrêtable, elle doit absolument se faire, par tous les moyens.
L'action commise par le bateau humanitaire consiste ni plus ni moins, en rien d'autre qu'à briser la carapace hermétique que constitue l'intérieur mental du pervers-narcissique. Si l'aide entre, alors une brèche est ouverte, et cette lésion va laisser entrer l'eau du barrage, dont la pression, très vite, va le faire exploser. Le PN connaît bien cette sensation et il la redoute. C'est le moment où "le mal" se déverse sans frein. Seule une discipline de fer et un mental d'acier lui permettent de maintenir le minimum de contrôle de soi nécessaire pour paraître normal en public.
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Luffy contre les pirates
On peut se demander pourquoi dans le monde entier il n'y a qu'un seul petit bateau qui soit volontaire pour aller affronter un monstre aussi pantagruélique et tentaculaire. C'est que les autres ont la trouilles.
N'importe quel milliardaire aurait pu mettre en place une (vraie) flottille de cargos remplis à bloc de vivres et de médicaments, passant par la mer, prévoyant des véhicules terrestres et aériens pour les livrer, et précédée d'une équipe armée louée chez Wagner, par exemple. En procédant de la sorte, ce serait la fin immédiate de l'entité nazioniste.
La personne faisant cela aurait pu créer un pays à son nom, avec de nouvelles règles économiques et un système faisant concurrence au capitalisme. En somme son opération aurait été bénéficiaire sur tous les tableaux. Mais bon, je m'emporte. J'avais juste envie de dire : "Hey, Musk, avant que tu ne sois complètement ruiné, tu ne veux pas faire quelque chose de bien pour l'humanité ?".
Le premier, le précurseur, le pionnier, est un aventurier solitaire. Son bateau est petit et donc manœuvrable et c'est cela qui fait sa force. Ils passe entre les failles des filets qui sont tendus pour le piéger. Son discours est simple, clair, sans fioriture et universel : "Je viens parce qu'il faut le faire".
Chacun essaie d'y voir un sens métaphysique, symbolique, caractériel ou même politique, comme si c'était une pub pour des paquets de bonbons - comme si c'était factice - et qu'il y avait un plan en arrière-plan dont il fallait se méfier. Par contre pour se faire vacciner ils se précipitent pour faire la queue.
Cela nous rappelle comme Nazisraël avait, dans sa furie conventionnelle, empêché les palestiniens de recevoir les maudits vaccins. C'est eux qui ont été bernés par une force bien supérieure, et ils devraient maintenant se le dire.
Et la chose amusante est que, si notre délégation de pionniers de l'humanité au sens propre est partie seule à l'aventure, à bord du Great Greta, un peu comme Luffy à la recherche du One Piece, ce sont bien des pirates qui les ont abordé et kidnappés. D'autres pirates. Des méchants. Luffy lui, fait partie des bons pirates. Il va falloir revoir l'histoire des pirates !
Mais tout cela est-il factice ? Les pirates sont ceux qui s'étaient rebellés contre la décimation des autochtones, et l'histoire leur a collé une étiquette de brigands. Mais qui sont les brigands ? Et déjà aujourd'hui, au temps présent, on cherche à coller une nouvelle étiquette péjorative à ces "pirates" piratés.
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L'inconnaissance
Je suis particulièrement reconnaissant et fier que Rima Hassan ait représenté la France auprès de Greta Thunberg dans cette aventure. Jusqu'ici je frôlais certaines de ses connaissances en leur disant que je ne croyais pas en elle. Et pour ainsi dire, je suis toujours méfiant devant l'ignorance. En particulier sur des considérations à propos de la tactique du mal : on ne s'imagine jamais à quel point il est perfide et peut se servir des gens contre eux.
Et grâce à cela on a eu l'honneur d'admirer les armées numériques mises en place à grands frais pour produire une contention maximale de l'opinion publique, grâce à des petits chefs qui s'appellent "on", "nous", pour représenter hypocritement l'esprit de la France, en tirant à boulets rouges sur la parlementaire élue en souhaitant ouvertement qu'elle se fasse trucider "pour nous foutre la paix". Et pour ce qui est de l'apologie du terrorisme, la haine sur internet, le harcèlement et la persécution, ils n'ont rien à craindre de la loi, ce qui montre bien qu'ils sont payés par "la loi".
Le problème des populations mollassonnes est qu'elles sont particulièrement mal informées. Et c'est aussi un peu de la faute de ces parlementaires et politiciens, qui sont sans cesse en train de mettre du sucre dans leur dénonciation du crime. Comme je l'ai dit plus haut, l'ascendance nazisraélienne est telle qu'elle fait peser une épée de Damoclès sur ceux qui y vont un peu trop fort avec la critique. Dans la culture, une entreprise, dans l'armée ou en politique, c'est la porte direct, sans indemnités, et la violence du silence, la surdité de l'absence.
Et donc les populations triviales et très occupées à survivre ont très peu d'information sur ce qui se passe vraiment, et encore moins une grille de lecture qui leur permette de comprendre par déduction ce qui est sous-entendu dans tel ou tel éclat médiatique. Ce sont de bons moutons. Je suis pareil concernant le Sénégal, je n'y connais rien, je sais juste qu'il y a "un truc" et il paraît que c'est horrible. À ce niveau d'abstraction, des informations contradictoires s'annulent les unes les autres, et on n'a aucun moyen de les dimensionner ou de les sous-peser. On se dit "Qu'ils se débrouillent entre eux".
Et en même temps les armées numériques pourvoient la maigre curiosité qui voudrait s'aventure à comprendre ce qui se passe d'une grille de lecture pondue par les colonisateurs eux-mêmes, et défendue avec dédain ou de manière scandalisée par des commerçants télévisés. Le ton de leur voix fait toute l'information. Le sens est secondaire, lointain, approximatif, et rendu malléable par la posture qu'il est de bon ton d'avoir. Les gens sont comme cela, et cela leur suffit.
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Un nouveau cran dans le mensonge ?
Deux articles ont éveillé ma curiosité. La question est de se demander, avec une relative habitude, si tout ceci ne serait pas une vaste arnaque. Il est naturel et sain de se poser la question, vu comme on en a l'habitude.
Je trouve que ces éminents et hautement honorables auteurs, se trompent. On peut être un excellent journaliste, scientifique ou médecin, et se planter royalement dès qu'il s'agit d'émettre un jugement.
Le premier, Alan MacLeod, dit : "De coqueluche des médias à persona non grata : le parcours de Greta Thunberg". Le second, Lucas Leiroz, dit : "L'antisionisme libéral et le sionisme : les deux faces d'une même médaille".
Ils sont contradictoires sauf pour ce qui est de la tendance naturelle et salvatrice à se méfier des arnaques.
Il faut dire qu'à l'époque du Green Agenda, Greta Thunberg a été utilisée comme un paravent, porte-voix d'une considération inepte, afin de mettre place de nouvelles taxes fondées sur du vent. Les accords de la Cop 21 de Paris étaient beaux, parce que les pays se mettaient d'accord sur quelque chose. Après, ces accords n'ont pas résisté à la corrosion, mais bon.
Dix ans avant Greta je prévenais tout le monde que le changement climatique deviendrait un énorme problème. Je ne savais pas à l'époque que la berlue pouvait à ce point l'emporter sur la réalité des faits. Les faits sont que regarder les nuages se former dans le ciel pendant qu'on éradique l'humus - dont personne n'a entendu parler et sur lequel repose toute la chaîne alimentaire - qu'on éradique des forêts, et qu'on dépouille les sols de ses minerais pour les jeter à la mer juste après (à l'échelle humaine), cela s'appelle une diversion.
Les gens sont coincés dans un système de pensée binaire où, "puisqu'il y a un réchauffement climatique, qui est indéniable", alors, il faut appauvrir tout le monde. Et si on refuse de se faire taper dessus, alors, on détruit la planète. Il y a quelqu'un dans l'histoire qui se fait passer pour "la planète" mais on ne sait pas qui. L'activité humaine et la température ne sont corrélés que dans l'intérêt de cette personne. Mais en réalité ils ne sont pas corrélés. Bref, c'était une arnaque. Et ce n'est pas parce qu'on est un super scientifique - quand Greta disait "écoutez les scientifiques" (au lieu de faire des études elle-même) - qu'on a un jugement sûr. Les prescriptions de ces scientifiques partaient d'un principe qui était seulement supposé, hypothétique, et invérifiable. Ils se fiaient sur l'évidence, et personne n'a vu le problème. C'est vraiment très grave !
Le fait est que l'augmentation de la température statistique globale, ainsi que l'amplitude des variations climatiques et la diminution de la capacité homéostatique à la réguler, est principalement due à l'activité du soleil (qui chauffe le noyau terrestre et qui fait remonter la chaleur, d'où les séismes et volcans), et que la seule conclusion qui vaille, est de se demander comment l'humanité réagit aux catastrophes naturelles. Avec quelle générosité. De plus, on voile le ciel en pensant repousser les rayons du soleil alors que cela accentue l'effet de serre. Aussi il faut noter que c'est la pauvreté qui est la principale cause d'émission de gaz lourds qui absorbent les rayons du soleil. Enfin, le principal pollueur sur Terre, ce sont les guerres. Pourtant c'est comme si on voulait faire peser toute la charge de responsabilité sur les peuples pour les appauvrir et qu'ils soient constamment en guerre.
Alors oui on s'est faits arnaquer. Et le fait qu'aujourd'hui Greta revienne avec un nouveau sujet qui me tient à cœur, forcément, réveille toute cette histoire. Et je sais que lorsqu'un mensonge ne tient plus, il en faut un autre qui soit encore plus grandiose et inconcevable.
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Great Greta
Les deux articles que j'ai cité incitent à se méfier.
Le premier dit que Greta est passée de "coqueluche des médias à persona non grata" (Greta non grata, c'est drôle). On se souvient qu'elle a même incité les gens à être de bons citoyens bien écologiques en se faisant vacciner. Et encore une fois "au lieu d'étudier la science" ; en faisant une confiance aveugle à des aveugles. Et en même temps du côté des personnes qui sont dotées d'une vraie conscience, elle est passée de méprisée à estimée. Elle a mis sa popularité au service d'une cause noble, la Palestine. Et je suis persuadé qu'elle fait cela au sens propre, au premier degrés, avec son cœur, qui est magnifique et magistral !
Dans cette vidéo elle pleure presque, débordée d'émotion, et enfin elle pose une question, la seule et unique question, la plus grande de toutes, celle que personne n'ose poser : "Pourquoi vous faites cela ?". C'est là qu'elle est grande, et que je l'appelle "Great Greta".
youtube-nocookie.comCe qui est fulgurant à noter est que la compassion, l'empathie, l'émotion sont les moteurs de l'intelligence. C'est exactement ce qui manque aux ennemis de l'humanité.
Et la question que je me pose est : comment vont-ils se servir d'elle pour récupérer cela à leur avantage ? Car il est certain que les plans ne vont pas être remis en cause, puisque c'est cela, "la raison".
Et là arrive le deuxième article : "L'antisionisme libéral et le sionisme : les deux faces d'une même pièce". Pour ma part je peux juste dire que tout le monde ignore, par pensée binaire, à quel point une chose peut amener son contraire, implicitement et immédiatement. C'est parce que la réalité n'est pas binaire, enfin si, elle l'est, justement, mais pas le jugement qui fabrique la réalité. Une chose est son contraire, tout dépend de la façon dont on l'utilise. Ce qui est certain en revanche, est que : "il faut payer". Il faut que cela rapporte. Il faut que cela serve les intérêts. Peu importe si les gens veulent des barbapapas, ça sera fait pour aller dans le sens du plan, de domination des humains autochtones, par les envahisseurs commerçants.
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Récupération médiatique
C'est dingue qu'on puisse venir se plaindre à la télé, coupable de crime de silence, et dire : "c'est à cause du silence des médias". Et eux répondent "Ah oui c'est sûr". Comme s'ils n'étaient pas concernés, et ainsi désolidarisés de toute faute, n'ayant plus qu'à accuser des fantômes. Et ça marche. Tout est dans l'air. On Air.
C'est là que l'esprit nazioniste resurgit. Sa marque de fabrique est l'auto-victimisation, la délégitimisation de l'autre, en passant par l'étape de la peur, la méfiance, l'effroi. Il s'agit toujours de se présenter en victime, assez héroïque pour venir en défense des plus faibles comme soi, de faire planer une menace, et de faire qu'elle s'abatte sur des personnes bien ciblées.
La posture de victime, dont s'habillent les tortionnaires, est retirée à leurs vraies victimes. Elle suscite des émotions humaines, la compassion, qui sont incontrôlables, et dont on peut faire ce qu'on veut. Ce sont des pulsions comme le sont les pulsions criminelles des psychopathes, alors ils aiment cela, et en même temps ils les détestent. Pour eux, les gens qui marchent dans la combine sont comme la souris avec laquelle joue le chat jusqu'à ce qu'elle soit morte. Ensuite, il s'en désintéresse.
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