Par Nadine Acoury
Tandis que l'étau se resserre autour du bunker de Bab al 3azizyia à Tripoli, après la chute de Al Zawya dans les mains de la révolution, les révolutionnaires se sont adressé à la communauté internationale, et notamment à Hillary Clinton (qui insinue dans ses discours une éventuelle intervention américaines sous divers déguisements onusien ou otanien) : "Nous ne tolérerons PAS UN SEUL SOLDAT ETRANGER sur notre terre sous quelque prétexte que ce soit, on n'en a pas besoin, on s'occupe de Gadhafi, le plus gros est fait et on va y arriver."
Le peuple s'entraine au maniement des armes à Benghazi (photo Suhaib Salem, Reuters)
"Si vous voulez faire quelque chose d'utile, bloquez la circulation de l'aviation qui transporte les mercenaires, ou brouillez la communication entre le bunker du majnoune et ses troupes."
Par ailleurs, la révolution a lancé un appel à tous les médecins libyens dans le monde : "Posez des vacances et rentrez au pays, on a besoin de vous."
[Photos sur The Guardian].