14/03/2020 logic.ovh  11min #170300

 Ecoles fermées, maintien des municipales... Les annonces de Macron pour faire face au coronavirus

À l'heure des virus mortels planétaires

C'est du bout des doigts que j'écris cela. Je pense que le bruit est trop fort pour s'exprimer avec intelligence, la menace trop oppressante, et les enjeux trop importants.

Alors bien sûr, le président Macron a dégainé une profession de foi contre le capitalisme, la privatisation, le système marchand, bref tout ce qui a conduit sa politique jusqu'à hier. Et personne ne le sait mais ce n'est pas ça, le plan, ou l'évolution à laquelle la situation nous conduit. Ce n'est que l'évolution souhaitable, et tel que cela se passe quand on discute avec l'ennemi, il ne nous la montre que pour mieux la faire oublier.

Le site a triplé son chiffre d'affaire, en passant de cinquante à cent-cinquante mille lectures par jour. Les gens, en cas de crise réellement vitale, cherchent une vraie information, non déviante, complète, sincère, dépassionnée, et permettant d'avoir une meilleure perception de ce qui se passe. Rien que le serveur m'a coûté une blinde.

À l'heure des virus mortels planétaires, de la menaces existentielle, le moindre mensonge, la moindre fausseté peut coûter des milliers de vies. Et pour autant que je sache, lisant ce que j'ai lu, la situation est la suivante : une arme de guerre biologique, dans le cadre d'une guerre commerciale contre la chine a été activée, provoquant un crime de masse à l'échelle mondiale. C'est ce qu'on appelle, dans une nouvelle catégorie de classification, un crime de lèse-humanité.

Le plan, dans cette phase, est le suivant : affaiblir la Chine, pour mieux relocaliser l'industrie dans les circuits nationaux. La victoire de la Chine contre la pauvreté a été le déclencheur de cette guerre, car elle a montré son pragmatisme quant à l'usage de ses richesses, et décrédibilisé toute l'architecture capitaliste.

Le virus en lui-même, est un OGM, en ce sens, la nature n'aime pas les OGM et ces organismes ne tardent pas à retrouver leur intégrité, en devenant moins virulents. En attendant ces mutations, le virus se propage très rapidement sur toute la terre, jusqu'aux plus lointains recoins, tuant des dizaines ou des centaines de millions de personnes.

Pour le capitalisme c'est une bonne chose : moins de chômeurs, plus d'emplois libérés, les chiffres seront au vert. Big Pharma se frotte les mains et cherche la manière la plus onéreuse de sauver le monde.

Mais ce n'est pas encore cela, le vrai plan. L'effondrement économique, qui n'est qu'une question de mathématiques, de logique simple, d'évidence (car les gens doivent rembourser des intérêts à ceux-là mêmes qui créent l'argent), est un crime dissimulé à la recherche de faux-coupables. D'abord c'étaient les manifestations sociales à l'échelle mondiale, qui ont été impulsées sciemment, en faisant tout ce qui est possible pour irriter les gens au maximum. Vous aurez du mal à le croire mais cela n'a pas été facile, il a fallu mettre le paquet sur cette partie du plan.

Or comme dans tous les plans, tout est une question de timing. Si une partie du plan déborde sur l'autre, tout le plan dans son ensemble peut tomber à l'eau, en révélant par mégarde ses ficelles, sa stratégie, et son but. Un plan qui se déroule "sans accroc", est un plan dont on ne connaît la finalité que lorsqu'elle apparaît comme un fait accompli, et que la situation nouvelle est imparable et irréversible.

Le plan est tellement connu que personne n'ose le croire, il s'appelle le gouvernement mondial (ou nouvel ordre mondial). Ce plan, en soi, est juste, et souhaitable, ce qui ne l'est pas c'est "quel" gouvernement mondial. (Je vais revenir sur lequel est le bon). Il s'agit donc d'une course au gouvernement mondial, en sachant que le premier arrivé aura tout pouvoir de verrouiller la situation, et son propre pouvoir. Évidemment ce qui est souhaité par les possédants, ces seize personnes (anonymes) - ou du moins on les estime à 0,009% de la population - qui détiennent 50% des richesses mondiales, et qui ont à leur service, à un degrés ou à un autre, 50% de la population mondiale, est de profiter des structures d'injuste répartition des richesses pour pérenniser leur puissance, afin d'obtenir la légitimité de contracter avec des entités aliènes colonialistes, malfaisantes, et ayant beaucoup en commun avec ce qui existe déjà. Eux, veulent des humains dociles et en bonne santé, dont le politiquement correct soit gouverné par leurs valeurs, dénués de créativité, psychorigides, et prompts à renier les valeurs de liberté et les droits de l'homme.

C'est dommage qu'en disant cela je pollue ainsi mon article d'une considération totalement hors-norme. Les gens s'attendent d'habitude à entendre ce qu'ils savent déjà ; c'est comme ça qu'on fait un succès et qu'on devient populaire. Cependant il se passe un truc, à l'heure de l'effondrement global et planifié de l'économie. C'est l'inconvénient du plan en cours. C'est sa faille. Il se passe que pendant des années, quand on parlait d'effondrement global ou de catastrophe planétaire mettant à sac tout ce qui fait la vie quotidienne, quand on prévoyait ce qui allait se passer, personne ne nous croyait.

Les Macron qui aujourd'hui disent que rien n'a plus de valeur que la santé publique, et qu'elle ne doit pas être une affaire de commerce, mais de bien commun, hier à peine, lui et tous ses subordonnés, tous les patrons, toutes les personnes bien-pensantes, n'en pensaient pas un mot. Et c'est à peine si on osait les contredire. Ils répondaient toujours par des phrases assassines, des certitudes pré-fabriquées, et même - typique de l'époque - une sorte de compréhension hypocrite en disant qu'au fond ils étaient d'accord mais qu'en réalité, les gens qui pensent cela, il faut les sortir du jeu. Ils pouvaient être d'accord avec vous et vous assassiner dans la foulée.

Allez dire à un entretien d'embauche que l'effondrement économique est imminent.
Ce qui est un service à rendre, et qui peut sauver des vies, changer la donne, permettre d'anticiper une énorme quantité de souffrance, en impulsant le devoir de trouver de nouvelles voies évolutives, cela est, enfin, était écarté immédiatement.

*

Deuxième aspect de la situation actuelle. Maintenant il faut aller de l'avant (elle est amusante cette expression, "aller de l'avant", pour dire "aller dans l'après" ; de l'avant vers l'après).

Aujourd'hui grâce au noble président Macron qui n'hésite pas à rendre publiques les armes que les peuples devraient brandir pour se défendre contre ce qu'il représente - car s'il représente le peuple en façade, il représente d'abord l'industrie multinationale, en profondeur (dont il vante les mérites de l'écoulement de richesses sur les plus pauvres, alors que c'est prouvé comme étant faux) - il se passe quelque chose de nouveau :

Allez dire à un entretient d'embauche que l'effondrement économique est imminent. C'est de la redite, du surfait, tout le monde le sait déjà ; vous êtes dans le moule. Mais ce que cela signifie en premier lieu, et ce qu'il faut bien mémoriser lors de ce passage d'une époque à l'autre, avant que cela ne devienne banal, c'est à quel point ceux qui disaient cela avaient raison, et ceux qui ont mis les autres au chômage pour leur discours qui fait peur, avaient tort. Ce que cela signifie, c'est qu'il ne fait jamais avoir peur de dire la vérité, même si elle blesse ou même si elle est impossible à croire, et qu'elle dépasse l'entendement. La vérité gagne toujours, et on n'a jamais trop tôt fait de s'y préparer.

*

Donc voilà le plan (tel que je le connais) : L'épidémie est un déclencheur pour justifier l'implosion de la finance. Elle a été activée parce que les émeutes sociales n'ont pas été suffisantes pour porter le chapeau, bien qu'on ait souvent fait propager - tel un virus - l'idée que, je cite, "Les Gilets-Jaunes ont foutu la France en l'air". Mais cela n'a pas marché. Maintenant la presse s'est empressée de dire "Le virus a provoqué le crash économique", et ils s'empressent de rajouter, effrayés par leur propre stratégie "mais ne vous inquiétez pas, ça reviendra". Évidemment il ne faudra pas que les gens deviennent trop vite autonomes, car la dépendance est le maître-mot de la domination qui est planifiée.

La crash économique tel qu'il est planifié est amplement pire que le co-virus, arme de guerre, combinant le SIDA à un grippe hyper-transmissible. Le but est de mettre à terre la population mondiale, qu'elle soit exsangue, et qu'elle supplie le nouveau gouvernement mondial de lui venir en aide. C'est ça le plan.

Il est à noter qu'avec le co-virus arme de guerre, l'OMS a joué un rôle de pré-gouvernement mondial, en supplantant toutes les décisions nationales, dont l'opinion est sans aucun intérêt face au déterminisme.

L'effondrement signifie la faillite en cascade des banques, à qui les gens ont volontairement donné tout leur argent, sans aucune garantie de le revoir, et qu'ils ne reverront bien sûr jamais. Par contre les dettes contractées, grâce au jeu des rachats (des "bonnes affaires", entend-on déjà) elles, resteront valables, du moins pendant les décennies que mettront les tribunaux à en décider autrement.

*

Aparté sur les Gris d'Orion : Si cette partie de l'histoire vous dérange, effacez-là de votre mémoire, et à la place imaginez que ce n'est qu'un subterfuge pour mieux symboliser l'idée de ce qui est irréversible dans l'évolution collective. Un pacte signé avec eux signifierait un abandon définitif de notre propre évolution, et des mutations du génome en vue de se trouver assimilés, puis finalement remplacés. C'est cela, leur but, c'est ainsi qu'ils se propagent, tel un virus de l'espace (ce en quoi ils sont colonialistes). Pour nous, il faut simplement se dire que irréversible, en stratégie de guerre, est possible à déjouer si on connaît à l'avance les plans de l'ennemi. Et en l'occurrence, ces plans-là tombent naturellement à l'eau si les peuples sont organisés, prospères, libres, créatifs, et surtout le maitre-mot de la liberté : autodéterminés.

Il n'y a pas à avoir peur. Seulement à garder ce mot en tête.

*

Aparté philosophique sur l'autodétermination : En situation de "calamité publique", telle qu'elle a été prévue par la constitution modifiée à cet effet en 2015, suite aux attentats de Paris, et visiblement en prévision de l'effondrement économique qui était planifié (car prévisible mais utilisé de façon positive par les puissants), en voit bien comme l'autodétermination en pâti. Nous sommes confrontés à un "ciel qui nous tombe sur la tête". L'obligation de survie à court terme prédomine sur toute forme d'organisation sociale. On est complètement dépendants des événements. On n'a que la liberté de se terrer, ou de mourir ignorants.

L'autodétermination dans sa signification profonde touche à l'état d'esprit de l'être humain libre et épanoui (selon le terme spécifique des droits de l'homme). Cela veut dire que dans un cadre social, les décisions sont libres mais concordantes. La détermination avec laquelle on fait les choses, qui sert les gens, est commune, mais cette propriété est secondaire, car en premier elle est individuelle, réfléchie, volontaire et sensée. Elle est vécue intérieurement comme une réalisation de soi. Elle est en accord avec ce qu'on croit de plus profond, ses aspirations, ses sentiments, et ses rêves. L'action autodéterminée, décidée par soi-même, rivalise contre l'influence de la pression extérieure, mais en même temps, quand elle concorde avec elle, elle est l'occasion d'une réelle harmonie sociale. L'important à noter dans ce cas est que les choses sont faites dans une dimension intégrale de la volonté intérieure, en impliquant la sphère affective. On est émotionnellement impliqués dans ce qu'on fait, et par nécessité, on désire en avoir la pleine responsabilité, car si on se trompe, on veut le savoir, et le subir, pour mieux ensuite s'améliorer.

LA nuance est mince avec un genre de dictature où tout cela existe mais de façon superficielle. La seule différence tient à la capacité qu'on a d'exprimer son monde intérieur, ses sentiments, et à l'écoute qu'on peu obtenir d'autrui à leur propos.

Ceci est la fondation d'une humanité viable et pérenne.
Si on ne peut pas s'exprimer en tout inquiétude sur ses émotions profondes, parce que les gens refusent de les entendre ou d'en tenir compte ou de leur prêter un quelconque intérêt, alors le monde est perdu.

Ensuite seulement, à l'échelle sociale, l'autodétermination est l'émergence de cette philosophie de vie. Les pays, et le monde dans son ensemble, sont "auto-déterminés", quand ils refusent de subir la pression du déterminisme, et privilégient le libre-arbitre, vrai et intégral. Et c'est facile de voir s'il n'est pas vrai et intégral puisque l'humanité se confronte sans cesse aux défaillances que cela engendre.

*

À propos du bon gouvernement mondial dont on a besoin : Dans le cadre actuel, capitaliste, il consiste à instaurer une nouvelle strate de pouvoir, qui soit supérieur à celui des multinationales. aujourd'hui elles se comportent avec les industries et les commerces, comme un simple commerce. Elles vendent des denrées qui sont nécessaires et vitales, des matières premières, des brevets, un savoir-faire, et sculptent ce monde à l'image qui leur convient ; d'où la somme des troubles qui ne cessent de croître de façon menaçante.

Ce que nous vivons n'est que le cheminement naturel vers une forme d'organisation plus rationnelle de la gouvernance mondiale. Elle doit être formalisée, et ses buts édictés de façon claire et assumée. Le rôle d'un gouvernement mondial est d'affecter les ressources à ceux qui en ont besoin, en les prenant où elles sont, et en opérant une redistribution que tous jugeront équitable, utile, fonctionnelle, et démontrable comme étant la meilleure. Ce n'est plus une question de personnes et de leur super-intelligence de façade, mais une question scientifique.

Un gouvernement mondial social orientera ses décisions dans l'ordre qui permet d'atteindre des objectifs globaux clairs et simples, tels que la juste répartition des richesses, le juste emploi des énergies, et, le plus important, de tout mettre en œuvre pour garantir, permettre et faciliter l'autodétermination des nations, des peuples, et des individus.

Dans ce schéma, et après j'en ai fini avec cette brève description, les multinationales sont remplacées par une gestion globale des richesses qui consiste à les allouer aux industries nationales de façon concertée et raisonnable.

 telex.ovh