L'important c'est que le sang continue à couler.
La démocratie comme les religions et les idéologies... fait couler le sang pour le bien des humains...dit-on !???
Est-ce alors la faute à ces concepts ou celle des humains de notre temps en dévaluation humaine dans l'homosapianité et en perpétuel révisionnisme existentiel
Une chose est certaine la démocratie est un très bon aboutissement de la marche civique des humains mais il semble qu'elle est en mal d'être dans un monde où les croyances religieuses sont instrumentalisées dans la déviations des sens saints voir l'éloignement des lois éternelles qui sont au-delà des lois relatives des humains. Ces dernières sont certes nécessaires mais exposées aux risques de l'égoïsme dans le pragmatique... Aussi les idéologies reculent devant des pragmatismes des uns et des autres en carence d'éthique et du déontologique. Surtout que l'individualisme se confond avec l'égoïsme ; le pragmatisme avec l'abus du profit... et un certain narcissisme qui fait défaut à la concurrence et mène à l'acculturation par enivrement ou extrémisme de domination.
La science sociale nous oblige à ne pas prendre les gens pour des objets ou des faits...mais des vivants qui justement dans le droit à l'autonomie et l'individuel sont dans la multi variabilités... et donc qu'il faut considérer dans l'optique sécuritaire pour chaque national et tout transnational avec des approches dans lesquelles toute planification sous tout les termes devra être multifonctionnelle dans l'adaptabilité en chaque séquence et que chaque séquence où la notion de phase telle dans la thermodynamique soient intégrative non seulement dans l'homogenèses mais surtout dans l'harmonie globale nécessaire à la pensée de durabilité car l'idéal social oblige des valeurs éducatives qui sont les plus puissants immunisants contre les déstabilisations et l'extrémisme.
La démocratie dans ce sens reste le vrai miroir qui reflète le portrait de l'intelligence des humains dans le bon où le mauvais sens.
Celle d'aujourd'hui est très sanguine pourtant les maîtres des événements vont tous à la maison de dieu soit avant ou après celle de la démocratie. Chose inadmissible si ce n'est par instrumentalisation.