Réseau social

 Mobilisations du 17 novembre : ce que proposent la gauche et les mouvements sociaux

 Gilets jaunes : nous sommes le peuple

 De la crise symbolique à la crise politique

 Live: France - Gilets jaunes: Nouvelle journée de tensions à Paris

 Gilets jaunes: l'aventure continue

 France/gilet jaunes: mobilisation modérée pour l' » acte 5 » à Paris

 Acte 6 des Gilets jaunes : une diversion organisée à Versailles ?

 Acte 7 des Gilets jaunes : une mobilisation bien plus forte en province qu'à Paris

 Acte 8 des Gilets jaunes : après les vœux de Macron, première mobilisation de 2019 (En Continu)

 Acte 9 : les Gilets jaunes se mobilisent partout en France (En Continu)

 Acte 10 des Gilets jaunes : une mobilisation sur fond de Grand débat national

 Acte 11 : les Gilets jaunes poursuivent leur mobilisation (En Continu)

 Gilets jaunes : un acte 12 en hommage aux blessés et aux victimes (En Continu)

 Acte 13 : les Gilets jaunes à nouveau dans les rues aux quatre coins de la France (En Continu)

 Acte 14 : après trois mois, la mobilisation des Gilets jaunes se poursuit (En Continu)

 Gilets jaunes : un acte 15 marqué par un rebond ? (En Continu)

 Acte 16 : des Gilets jaunes se rassemblent partout en France (En Continu)

 Acte 17 des Gilets jaunes : le maire d'une petite commune prend un arrêté interdisant les Lbd

 Gilets jaunes : un acte 18 pour marquer une nouvelle phase de la mobilisation (En Continu)

 La mission Sentinelle mobilisée et renforcée pour la prochaine manifestation des Gilets Jaunes

 Gilets jaunes : un acte 19 à haut risque (En Continu)

 Acte 20 des Gilets jaunes : Bordeaux au coeur de la mobilisation ? (En Continu)

 Acte 21 : les Gilets jaunes poursuivent leur mobilisation (En Continu)

 Acte 22 : situation tendue à Toulouse, manifestations dans le calme à Paris (En Continu)

 Acte 23 des Gilets jaunes : situation tendue à Paris (En Continu)

 Acte 24 : après les annonces de Macron, les Gilets jaunes de nouveau dans la rue (En Continu)

 Acte 25 : Après le 1er Mai, des rassemblements des Gilets jaunes prévus dans toute la France

 Acte 26 : manifestation dans le calme à Paris, tensions à Nantes et à Lyon (En Continu)

 Acte 27 des Gilets jaunes: de nombreuses manifestations prévues malgré l'essoufflement (En Continu)

 Urgences en grève : rassemblement de personnels hospitaliers devant la mairie de Paris (Images)

 Grand malaise aux urgences : le conflit social se durcit

25/06/2019 francais.rt.com  4min #158275

 Grand malaise aux urgences : le conflit social se durcit

Arrêt maladie général pour les infirmiers des urgences de nuit du Chu de Besançon, déjà en grève

© 𝕏 @Google streetview

Le 24 juin, tous les infirmiers des urgences de nuit du CHU de Besançon (Doubs) ont été placés en arrêt de travail pour épuisement professionnel. Un poste de nuit avait été supprimé dans ce service d'urgences, déjà en grève depuis six semaines.

Les sept infirmiers et infirmières de nuit des urgences du CHU de Besançon, dans le Doubs, sont à bout. Ils ont tous été placés en arrêt maladie le 24 juin au soir, pour cause d'épuisement professionnel. Le personnel se plaignant de ne plus pouvoir faire face à la suite de la suppression d'un poste. Sur les sept infirmiers, deux ont été arrêtés pour une semaine, et cinq pendant 15 jours.

Lire aussi

«Rester 48h sur un brancard, c'est inacceptable !» : le personnel soignant exprime sa colère

Thibaud, un infirmier en arrêt maladie a confié à  France Info se retrouver «tout seul, sans aide-soignant, sans collègue, pour s'occuper de dix box de soins». «C'est une situation qui n'est pas tenable», a-t-il ajouté. Mais selon lui, face à leurs supplications, la direction répond qu'elle n'a «pas les moyens» pour remédier à cette situation.

Le 14 juin, le ministère de la Santé, à l'issue d'une réunion avec les représentants du secteur, a annoncé que le  gouvernement allait débloquer 70 millions d'euros de mesures immédiates pour tenter d'apaiser les  personnels des services d'urgences mobilisés depuis trois mois.

Une large part de ce montant (55 millions) sera consacrée à la généralisation et à la revalorisation d'une prime «de risque de 118 euros bruts (100 euros nets mensuels)», versée dès juillet «à tous les professionnels des services d'urgence (hors médecins)», soit 30 000 personnes. Mais ces sommes ne sont pas destinées à résoudre le problème de sous-effectif chronique dont se plaignent les urgentistes dans toute la France, engagés dans une grève depuis trois mois.

 Lire aussi : Hôpitaux en grève : 70 millions d'euros vont être débloqués d'urgence

 francais.rt.com