À lire les journaux italiens, Israël est un modèle. Une campagne de vaccination record, une organisation efficace quoique de caractère militaire, une efficacité du vaccin très élevée, du moins selon les données du Ministère de la Santé. Un petit tableau idyllique pour l'ineffable Burioni :
« Les données qui arrivent depuis Israël dépassent toute attente ; sous peu, ils pourraient être délivrés de ce cauchemar grâce au vaccin. Il n'est pas possible que l'Europe reste en arrière. Vaccinons tout le monde, whatever it costs ».
Mais, comme il n'est pas difficile de l'imaginer, les choses sont très, vraiment très différentes de la façon dont on nous les présente. La première place dans les vaccinations n'est que le fruit d'une expérimentation de masse pro-Pfizer, souvent obtenue par la force, la violence et le chantage. Les modalités nazi-sionistes dans sa réalisation sont la manifestation la plus avancée de l'autoritarisme déployé selon la nature du régime naissant du Great Reset.
Quant aux résultats en matière de lutte contre le Covid, ils sont bien différents de ceux que vantent aussi bien le gouvernement israélien que ses amis qui occupent la scène médiatique en Occident.
Mais, pour ces Messieurs, c'est là, au fond, un aspect secondaire. Ce qui compte, c'est plutôt l'instauration, qui avance à pas de géant, d'un nouveau et monstrueux modèle de société.
Le double apartheid
Mais entrons en matière.
La première chose à rappeler, c'est que, si Israël est en tête du classement du pourcentage de vaccinés, c'est uniquement dû au fait que le gouvernement Netanyahou a signé un contrat spécial (et gardé largement secret) avec Pfizer. En vertu de ce contrat, la multinationale usaméricaine a donné la priorité absolue à Israël pour la fourniture des vaccins. En échange, Netyanahou a mis entre les mains de Pfizer toutes les données sanitaires des vaccinés. Une violation évidente du droit à la vie privée, un acte nécessaire pour réaliser la plus grande expérimentation de masse (qui plus est, sans consentement) d'un médicament dépourvu des tests nécessaires pour en certifier aussi bien l'efficacité que la sécurité.
Ce premier problème conduit à deux réflexions. La première : le soussigné, pour une série de raisons, n'est pas porté à utiliser l'expression « dictature sanitaire », mais, face à cette aberration, il lui faudra peut-être revoir sa position. La deuxième : voilà comment procède le monde merveilleux de la science réelle, celle qui est aux mains des gigantesques intérêts privés que nous connaissons. Rien là qui puisse nous étonner, naturellement, mais attention à ne pas regarder ailleurs, comme si ce qui arrive n'était qu'une parenthèse momentanée.
Le pourcentage élevé de vaccinés (environ un tiers des Israéliens a déjà reçu la deuxième dose) n'est pas le fruit d'une extraordinaire adhésion spontanée, mais plutôt la conséquence des pressions exercées, y compris par la violence et les menaces. De nombreux témoignages parlent de cela. Souvent, les militaires entrent dans les maisons et obligent à se faire vacciner, tandis que les menaces sont la norme sur les lieux de travail, pour l'accès aux moyens de transport et aux locaux publics. Quand elles ne suffisent pas, la police et l'armée ont recours à la violence pure et simple, comme cela arrive normalement dans les quartiers habités par les Juifs orthodoxes qui n'ont pas l'intention de se faire vacciner.
Même si le vaccin n'est pas formellement obligatoire (ce qui impliquerait une responsabilité de l'Etat en cas de dommages aux personnes), on s'arrange pour qu'il le soit en fait. D'où l'introduction du « Green Pass », une sorte de certificat de double vaccination indispensable pour pouvoir exercer toute une série d'activités. La violence est donc physique et morale, mais aussi légale. Une « légalité » qui est du reste une escroquerie, car introduite seulement de façon subreptice par le chantage, chantage au poste de travail en particulier.
Ces procédures coercitives trouvent de nombreux partisans en Italie aussi ; pensons par exemple au coup de pouce donné pour que l'INAIL [Institut National pour l 'Assurance contre les Accidents du Travail] ne reconnaisse pas comme maladie le Covid contracté sur le lieu de travail pour ceux qui ne se seraient pas fait vacciner. En somme, l'Etat, pour ne pas répondre des dommages, ne vous oblige pas formellement à vous faire vacciner, mais il s'arrange pour qu'on y soit tout de même obligé de fait. Dans ce domaine aussi, Israël fait école, en véritable avant-garde du régime qu'on veut construire.
Mais ce n'est pas tout. Etant donné que les menaces ne peuvent pas suffire, on recourt aussi, en Israël, au marquage de ceux qui ne se soumettent pas. Un moine bouddhiste en a parlé dans une récente vidéo. Une de ses affirmations fait particulièrement froid dans le dos, celle où il nous apprend que les non vaccinés sont obligés de mettre une combinaison de couleur différente sur leur poste de travail. Pratique qui rappelle l'obligation de porter, de façon visible, l'étoile de David, imposée aux Juifs par le régime hitlérien en 1941.
Évidemment, cela non plus ne doit pas étonner. Descendants de victimes des camps nazis, les Juifs israéliens sont aujourd'hui les promoteurs du plus grand camp de concentration de notre époque, celui de Gaza. Et à propos du peuple palestinien, il faut signaler que celui-ci ne reçoit aucun vaccin des occupants israéliens. Dans les territoires occupés de Cisjordanie, le vaccin n'est destiné qu'aux colons. En somme, d'un côté l'obligation, de l'autre l'exclusion totale : exemple parlant d'un régime qui conjugue inévitablement autoritarisme extrême, violence généralisée et racisme congénital.
Le tableau décrit jusqu'ici nous dit beaucoup de choses, mais aucun commentateur ne s'en occupe. Face à ces aberrations, l'Occident « démocratique » se tait. Allez savoir pourquoi ! Mais il y a un deuxième problème. Beaucoup penseront que ces monstruosités produisent au moins un résultat positif dans la lutte contre le Covid. Surprise : il n'en est pas ainsi !
Occultant les nombreuses réactions négatives qu'on a signalées, le ministère israélien de la Santé fournit des données spectaculaires sur le vaccin. Les effets sur ceux qui ont reçu les deux doses seraient plus que positifs : dans 98,3% des cas, le vaccin éviterait les formes les plus graves de la maladie, et dans 95,8%, l'infection elle-même. Ces pourcentages sont-ils réalistes ? Le graphique que nous proposons ci-dessous nous dit que non.
Hospitalisation par million et pourcentage de population vaccinée (deux doses) contre le COVID-19 en Italie et en Israël
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Hospitalisations (ISR) Hospitalisations (ITA) Pop vaccinée (ISR) Pop vaccinée (ITA)
Source : https Elaboration graphique : ilpedante.org
Ce graphique, élaboré par « Il Pedante » sur des données de ourworldindata.org, nous montre que l'évolution des admissions (hospitalisations), du début de l'année jusqu'à la mi-février, est parfaitement homogène en Israël (courbe bleue) et Italie (courbe orange). Et ce, malgré l'énorme différence dans les vaccinations entre l'Etat sioniste (courbe en pointillés bleus) et notre pays (courbe en pointillés oranges). Enfin, et ce n'est pas anodin, on peut noter que le nombre des hospitalisations (par million d'habitants) est resté constamment plus élevé en Israël qu'en Italie sur toute la période considérée. C'est cela, le succès du vaccin Pfizer ? On se demande ce qui serait arrivé s'il n'avait pas marché...
Certes, on dira maintenant qu'il est encore tôt pour faire des bilans. Peut-être, mais ce n'est pas nous qui avons publié ces bilans prématurément triomphalistes qu'on lit depuis des jours dans la presse.
Arrivés à ce point, nous pourrions montrer d'autres comparaisons avec d'autres pays. Mais ils nous confirmeraient tout ce que nous a déjà abondamment montré le graphique ci-dessus. Nous nous arrêtons ici, car nous aurons encore l'occasion de revenir là-dessus.
Conclusions
Ce que nous voulions ici mettre en lumière, c'est que le modèle nazi-sioniste d'Israël, précisément parce qu'il est à l'avant-garde du processus de remodelage global de la société (le Great Reset), nous laisse entrevoir l'horrible futur vers lequel nous projettent les forces de cette si réduite oligarchie dominante.
Autoritarisme, violence, arbitraire, en substance, une forme nouvelle et inédite de dictature : tout cela est sous nos yeux en Italie et en Europe depuis désormais un an. Mais le modèle israélien évolue à une autre vitesse, du fait que c'est une société particulière sous de nombreux aspects, militarisée jusqu'à la moelle, née et développée en état de guerre, presque impensable sous sa forme sans celle-ci.
Mais, nous dit-on, Israël est la seule démocratie du Moyen-Orient. Eh bien, justement, le cas israélien est d'autant plus intéressant, car il nous montre où vont finir les libertés au royaume merveilleux des démocraties occidentales...
Et dire qu'il y a encore des gens qui ne voient pas le terrible dessein de remodelage social mis en route justement grâce au Covid-19... Réveillez-vous, avant qu'il soit trop tard !
Courtesy of Tlaxcala
Source: sollevazione.it
Publication date of original article: 24/02/2021